L'après-midi y a jamais grand monde dans les bars à cul. Andrez Suarez et Ehrik Ortega, deux espagnols qui passent leur temps à niquer, le savent bien. Et c'est justement pour ça qu'ils se sont donné rendez-vous dans un bordel en pleine journée : tout le club est à eux et ils vont pouvoir se vider les burnes trankil ! Bien salope, Andrea pompe à fond la grosse bite de son pote. Obligé, le gars l'entraîne dans un coin pour lui en mettre plein le fion. Et Andrea demande pas mieux, se mettant à 4 pattes pour se faire enculer et chienner à fond. Mais la partie est loin d'être finie : les deux gars vont finir par se baiser l'un l'autre à tour de rôle et se livrer à un duel de sodo bien vénère. Qui déchirera le mieux et crachera le plus fort ?

Aitor Bravo excite tout le monde avec sa gueule de playboy et son corps musclé de footeux viril sportif. Mais s'il fait des merveilles sur le terrain, il sait aussi transformer ses partenaires en des stades où tous les tirs au but sont permis. Ehrick Ortega va découvrir ce que c'est que la baise, la vraie ! Aucun pénalty possible : Aitor est le meilleur des amants et chauffe chaque partie du corps pour mieux la posséder. Après de bonnes pelles de mâle, il suce la tige de son passif pour le faire pointer du gland puis l'amène à le pomper à son tour. Son cul, il le travaille avec la langue, doucement, pour mieux enfoncer sa grosse bite juste après. Quand il pine, c'est comme un chacal, avec un regard qui sonde l'âme pour mieux voler l'innocence du trou qu'il malmène. Un mec sensuel et bourrin qui encule droit dans les yeux, à encaisser sans filets pour bien gicler.

Ce bad boy latino ne s'est pas fait giclé depuis plusieurs jours et il a l'impression de devenir un monstre. Quand tu te soulages pas comme il faut, les burnes pèsent lourd et ça chauffe de trop dans le slibard. Arrive enfin le moment de vider tout ça et le gars s'astique son gros zgeg percé en mode barbare. Il tape bien dessus pour le rendre de plus en plus dur. Sa pine a tellement sué dans son froc qu'elle collerait presque à la main. La bite mouille bien sous la pression des mouvements de plus en plus rapides et rudes. Faut que ça sorte ! A puissance de s'acharner sur sa verge pleine, le mec va enfin parvenir à se libérer. Il a bien transpiré, c'était du taff mais putain ça fait du bien !