TU KIFFES MA LOPSA
Histoire gay publiée le 17/04/2007
J’avais rencard chez Jean Michel, un éute; d’une trentaine d’éte;e, sportif, style cadre dynamique qui vit à donf pour son taf. Le genre de keum qui a jamais le temps de rien et qui considère le sexe comme une éeacute; parmi d’autres, pas de sentiments, de l’action vite fait bien fait.
Je me pointe dans son duplex place du éacute;ro. Jean Mi kiffe bien les lascar de mon espèce, il aime être bien pris en main et sait se montrer docile et ée;issant. C’est marrant comme ce sont souvent les mecs qui ont le plus de ébilité et de pouvoir dans leur taf qui sont les plus chiennes au pieu. C’est peut être un moyen de racheter leurs vacheries de la semaine avec leurs éacute;s. Enfin en attendant je suis pas psy et c’est pour une autre analyse que le golden boy m’attendait en string dans son bel appart.
Je me pose direct dans le salon. Il a pas perdu les bonnes habitudes et il sait ce qu’il faut faire pour me mettre en condition. Un film de boules bien och é;file sur son é;léviseur 16/9ème, une bouteille de champ est ouverte et n’attend que moi. Une petite coupe bien fraîche au bout des lèvres et une bouche bien chaude au bout du gland, il est pas là le bonheur !
Je suis à peine éeacute; sur le écute; design que Jean Mi est é;jà à quatre pattes devant moi à me pomper le zeub. Il suce comme une vraie lopsa et me lâche pas du regard. En même temps, il ondule son beau petit boule bien lisse sous mes yeux de pervers. Je vire mon fute et en deux deux je me retrouve à oilp écute; à contempler ma lope en action. Sa bouche baveuse descend sur mes couilles et il les gobe toutes les deux en salivant dessus un max. Ma teub se dresse vers le plafond éte; de moulure genre gros bourges et je me laisse porter par la torpeur de ma troisième coupe de champagne.
Jean Mi écarte mes cuisses avec ses mains pour mieux me bouffer les balloches. Il enfouit sa tête entre mes jambes et je le sens descendre de plus en plus bas. Il place ses mains sous mon cul et le soulève pour avoir une vue ouverte sur mon boule. Il plonge subitement sa tête entre mes éute;s et se met à me é;curer le trou à grands coups de langue. Sa langue chaude et baveuse s’active sur mon oeillet mat et vierge et je dois reconnaître que même si je suis pas passif, c’est assez kiffant de se faire bouffer le uc.
Lui en tous cas a l’air de bien prendre son iep. Il a sorti sa teub de son string et s’astique comme un malade. La bouche sur mon trou, une main en action sur sa queue et avec sa main libre, il se caresse le cul et s’amuse à tirer sur la ficelle du string pour bien me chauffer même si j’ai pas besoin de ça. Je suis chaud bouillant et je vais lui é;foncer son cul de lopsa !
Je me lève et passe derrière lui en lui claquant le cul. Il é;mit comme une petasse et frissonne de plaisir. Il sait qu’il va s’en prendre plein le derch et il attend que ça. J’enfile un ée;so et je branle mon zboub en matant le film de cul où ça nique à donf : il est temps que je joigne mon bel instrument à ce concert de é;bauche.
Le éute; sait ce qu’il veut et il se place à quatre pattes sur la table basse en marbre de son salon. Le cul bien écute;, tendu en arrière, il attend que je le dose avec impatience. Je mollarde dans son trou en lui claquant encore le cul et il me supplie de le baiser à fond, le genre de truc qu’il faut pas me demander deux fois.
Je frotte mon sgeg circoncis contre sa raie qui é;gouline de ma bave, je sens le éute; ée;mir au bout de ma teub et je lui rentre direct au fond du trou. Pas la peine de le travailler une plombe pour le é;chirer, le man s’est é;jà pris des kilomètres de bites dans le fion.
Ma teub rentre comme dans du beurre et j’ai pas à inviter beaucoup pour que mes boules viennent claquer contre le sien. Comme un vrai hardeur, je lui é;chire sa race à grands coups de reins et il hurle comme une vierge qui se fait é;ter la capsule. Je l’insulte et je lui baffe les éute;s en même temps et mon vieux pote prend un kiff maximal. Je lui tire les cheveux, je m’approche de sa face pour mollarder dessus et la lopsa en redemande.
Cash, je le retourne sur le dos et je chope ses jambes pour bien les écarter. éacute; à ses chevilles, ma lope peut pas bouger et doit se soumettre à mes é;sirs les plus barges. Son regard de vicieuse semble me supplier de faire durer ce plaisir de écute; et je reprends mon dosage en règle à gros coups de bourin dans son cul de petasse. Après un bon quart d’heure de limage écute;mentaire, je sens qu’il est temps que je marque mon territoire. Je sors ma teub bien raide et je vire le ée;so pour attaquer une branlette rapide et efficace. Une vraie é;charge de plaisir m’envahit et je vois mon zbouby écute; sur le éute;, avec tellement de pression que les deux premiers jets viennent s’écraser sur sa gueule. Il lèche mon sperme en vrai lopsa et je finis de ée;cra mes centilitres de éute;niture inutile sur son ventre.
Pendant que Jean Mi file à la salle de bain pour reprendre une apparence humaine, je me ressers une petite coupe tranquille ! Dix minutes après é;apparait le jeune cadre ambitieux et sûr de lui, tout beau tout propre dans son peignoir de grand couturier en soie bleue marine. Eh ouais les keums, l’habit fait le moine, c’est clair mais la baise fait que Skarlaone reste le number one !