Histoires de sexe

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SUR LA ROUTE
Histoire gay publiée le 17/04/2007
Nous sommes le matin tres tôt. Je roule sur l’autoroute et prend la bretelle d’accès pour é;nétrer sur l’aire de repos du beau passant (ça ne s’invente pas !). Les vacanciers de cet été ont écute; la place aux routiers. Le jour se lève doucement comme nos avaleurs de kilomètres. Je me gare entre deux bahuts et me dirige vers la station essence pour avaler un kawa.

Je m’accoude à la table et regarde les camionneurs acheter leur sandwich, et comme moi avaler leur feca. Mon regard s’arrête sur l’un d’eux. Il est seule et lit le journal la clope au bec. Je vais le voir pour lui demander une cigarette.
-Excuse moi, t’aurais pas une clope, s’il te plait ?
-Bien sûr, tiens prends dans le paquet devant toi.
-Ouais sympa ; Tu veut un éte; ?
Avant même qu’il est é;pondu je me dirige vers la machine. Il boit du éte; noir éacute;.
-Merci c’est cool, t’est routier ou livreur ?
Il me prend pour un des siens le gars !
-aucun des deux, juste un gars qui rentre chez lui. Et toi t’est quoi ?
-J’suis livreur, j’fais des courses dans le é;partement. J’suis pas routier j’ai une femme et ça me fais chier de la laisser seule à la maison.
-Ok et là tu finis à quelle heure ta écute;e ?
-ah mais j’ai finis là. J’ai plus qu’a ramener la camionnette à ma boite et j’vais rentrer me pieuter.
-Tu vas rejoindre ta femme ?
-Non elle est pas là, elle a emmener les mômes chez la grand mère pour les vacances.
-Ben si tu veut j’tinvite en ville prendre le petit dej et j’en profiterais pour acheter des clopes.
-Ouais, mais tu me suis.

On reprend la route et ma Bm suit à la vitesse d’un escargot le Trafic. La ville, elle aussi se é;veille et les éte;s de la grande place ouvrent leur porte. On s’installe à l’écart du comptoir é;jà investi par les poivrots du coin. La lumière du jour naissant donne des reflets sur le visage de mon livreur. Les yeux tres bruns presque noirs me fixent avec l’éé d’un gars qui semble avoir compris la terminaison de notre rencontre. Ses larges mains entourent la tasse de éte;, ses yeux ne me quittent pas. Un long moment de silence. Des secondes qui durent des heures. Je ne sais pas quoi lui dire et lui ne cherche pas à parler, il se contente simplement de me fixer, imperturbable.

-T’as écute; que j’était homo ?
La question part comme un coup de canon, un éclair dans un ciel bleu. Il ne bouge toujours pas et impassible me dit :
-Si tu veut qu’on aille se toucher, on se barre dans un endroit que je connais avec ta voiture. Ok ?
-On ramène ton bahut et on y va !
C’est tout ce que je lui ai é;pondu. Je ne m’attendais pas aussi rapidement à faire mouche. Nous reprenons la route et arrivons devant un abattoir d’animaux. Je le laisse rentrer et ressortir cinq minutes après à pied. La chanteuse Sade nous accompagne pendant la route. Il m’indique la direction, nous croisons les premières âmes de la écute;e. Je laisse même traverser une petite vieille. Nous arrivons dans une zone industrielle et rapidement je comprends que nous n’allons pas chez lui.
On s’arrête sur le parking d’un hangar qui paraît éé.
Il sort un trousseau de clefs de sa poche et ouvre le cadenas de la grands porte en é;tal. Il entrebâille celle-ci pour que nous puissions rentrer. Il regarde vite si quelqu’un nous as vu et éacute; ferme la porte, le cadenas à l’éte;rieur.

-Ca te va ou pas ?
-ouais tranquille si personne vient nous faire chier.
Sèchement il demande que je me é;shabille
-Enlève tes frusques et vient m’embrasser.
La j’avoue être étonné voir é;ché par autant d’entrain et d’audaces. J’ée;is en acceptant les règles du jeu. J’enlève mon t-shirt, mon pantalon et me retrouve en slip à embrasser la bouche de mon livreur. Je n’ai pas l’habitude de me retrouver dans une pareille situation mais pour l’instant je trouve marrant d‘inverser les rôles. Je l’embrasse avec fougue, en fait on peut dire que je lui mange la bouche ! Ses mains serrent ma nuque avec éacute; et je ne peux m’empêcher de l’imaginer porter ses carcasses et me serrer dans ses bras après. Mais je ne m’attarde pas sur de telles ée;es et je me laisse bercer par ses demandes. Ma langue cherche le plaisir dans son cou et descend doucement sur son torse imberbe et hâé;. Je trouve son é;ton gauche qui pointe au passage de mes lèvres.
Sa poitrine se gonfle de é;sirs, je contemple son torse massif qui me fais penser à un rugbyman. Je kiffe grave sa mère, comme on dit dans le quartier. Je descend tout seul assumant pleinement son jeu de écute; dominant. J’ouvre tranquillement éte; par des savants massages, son jeans et laisse apparaître la de son slip. J’approche ma langue du tissus et sniffe son odeur.
Il est propre, sens la douche mais pas de parfum excessif. Mes lèvres s’attardent sur les raies qui colorent son slibard. Sa main serre encore ma nuque et tente d’imprimer un suivi du grossissement de sa verge. Je m’amuse beaucoup de cette situation et pousse le jeu jusqu'à commencer à é;mir. Mes râles sont presque sourds donnant l’impression que je lui appartiens. Il aime et enlève son pantalon puis son slip en laissant tomber lourdement sa queue sur mon visage. Elle est encore mi molle mais grossit presque à vue d’œil. Ses cuisses presque imberbes sont écute;es et bien larges, me laissant ée;sumer du meilleur. Ses couilles bien pendantes arrivent à hauteur de mes lèvres et goulûment je les mange, comme sa bouche auparavant. Il vient de me gifler certes doucement mais avec une passion qu’il me fallait calmer rapidement sous peine de me retrouver sans dessus dessous.
-Doucement mon gars, ok, j’veut bien jouer mais pas morfler !

Il s’excuse avec une voix douce presque enjoliveuse, les yeux toujours aussi noirs et é;nétrants.
-T’as é;jà fais des trips bastons ?
-Non mais si tu veut, c’est bon on y va !
D’un coup je me prends un poing doux mais convainquant dans les abdos. Je riposte par une écute;e elle aussi convaincante. Il esquisse un sourire et me prends par les deux bras à la taille en tentant de m’élever. Je suis grand et mon envergure empêche un tel gabarit de me renverser. On ne peut s’empêcher de rigoler et je craque en me laissant tomber à terre.
éacute; de tout son poids sur mon ventre et mes jambes, il me regarde avec ses grands yeux noirs perçants, heureux de m’avoir é. Il me crache sur la face de la salive chaude qui descend doucement le long de mes côé;s. Je n’ai jamais é;cu ma éé à ce point, mais j’avoue que ce soir je bande comme un fou, comme un prisonnier éte;ré au bout de dix ans. Les cailloux qui jonchent le sol me font mal au dos, je me tords é;niblement, mes mains retenues par les siennes. Pour la première fois je ressentais une sorte de souffrance é;langée à un plaisir rempli de vice. J’étais éute;rent, je n’étais peut être plus moi même, mais en aucun cas je ne voulais m’arrêter de vivre ce trip que si souvent j’imposais à d’autres. Aujourd’hui je devenais celui à qui j’avais éacute; le " cri de l’oreiller ".

J’acceptais sans broncher d’aller lui é;cher les pieds, de m’abaisser au maximum sur ce parterre de é;combres de poussières et de pisse. Il me releva et de nouveau m’embrassa fougueusement. Sa langue cherchait à recueillir le maximum de ses odeurs, de ses senteurs. Ma langue passait à l’inspection. Son assurance m’étonnait toujours plus et me laissait soumis face à cette imagination.
Je lui é;chais la bitte avec une attention toute particulière, en comprenant bien comment faire pour le contenter au firmament de ses é;sirs.
Il aimait et râlait de plaisir lorsque je lui serrais le pubis d’une forte poigne. Son gland rougissait et grandissait au maximum de ses éités. Je le contemplais sans oublier de le satisfaire. Il ne se contentait plus de râler, mais é;sormais é;missait. Mes mains éte;rées partirent s’évader entre ses cuisses et massaient celles ci. Ma tête entamait une pipe des plus ée;nétique et ses mains imposaient par leur puissance une cadence de fou. Je devais presque le mordre pour lui faire plaisir. D’un coup d’un seul il s’est écute; et à cracher contre le mur.
J’étais étonné mais en même temps éacute;. J’étais sorti d’affaire car je ne savais pas trop ce qui m’attendait. Je reste sur un drôle de souvenir, ni beau, ni moche. Je me dis juste que j’ai eu raison de ne pas baiser de remontants ou autres " amuses gueule " avec un gars pareil. Le destin m’a peut être éute;gé ou rien de la sorte. Qui sait ?