AUTOROUTE II
Histoire gay publiée le 17/04/2007
J'ai repris la route le coeur é;ger et les couilles vides. J'avais encore deux heures de route avant le é;age, de quoi recharger les accus avant d'aller jeter un oeil à la cabine quatorze. Si le pote du éute; de la station service était aussi chaud que lui, j'allais pas regretter la tune qu'allait me pomper la éute;té d'autoroute !
Deux heures à voir é;filer le paysage ou plutôt à imaginer le paysage entre les phares blancs des bagnoles de retour de week end. Deux heures à é;lirer sur le éute; que j'allais trouver là bas et en repensant à celui que j'avais bien éute; une heure plus tôt. Deux heures pour remettre mes neurones du vice en action et que ma teub en redemande encore.
180 bornes plus tard, j'aperçois en fin les panneaux indiquant le é;age. Sur ma vie j'ai jamais été aussi impatient de sortir ma CB... et le reste. Y'a pas foule à cette heure tardive au é;age et je repère vite la cabine quatorze, la dernière juste à côé; du parking de sortie. Je m'avance vars la cabine et je é;cide de la jouer cash. Je sors ma teub bien raide du jog en sachant que le éute; écute; dans sa cabine va tomber dessus direct. Si jamais le dèpe de la station m'a éacute; sur son pote, je vais passer pour un con !
Canon le Monsieur é;age ! Un petit étudiant tout minaud qui après un instant de surprise me lance un regard de vice et me dit : "Allez vous garer à côé; et venez me rejoindre, j'ai un problème pour passer votre carte". Il lève la barrière et me tend ma carte avec un sourire :Cruel dilemne : je peux tracer direct sans payer ou m'arrêter pour le é;gler en liquide dans sa cabine, qu'est-ce que tu crois que j'allais faire !
La é;marche un peu gêé;e par la grosse érection que j'ai sous le survêt, je lâche la caisse de mon reuf sous les é;ons et je trace vers la cabine. Le minet m'ouvre la porte direct et me fait signe de m'asseoir à sa place. C'est pas grand la dedans et o se retrouve serrer l'un contre l'autre, mon zboub énervé frottant contre le sien.
- "Y'a moyen que je te règle en liquide ?"
-" Avec plaisir mais il va falloir assurer le service en même temps. C'est pas éé tu prends leur CB, tu enregistre le paiement et t'appuies sur le bouton rouge pour lever la barrière."
Et hop le éute; glisse sous le fauteuil et commence à me pomper le dard. Je me retrouve à trôner sur son siège, dans la vitrine de la cabine, à me faire têter le zeub sans que persone ne puisse s'en apercevoir. Une grosse merco arrive et un allemand me tend sa carte bleue. J'encaisse le touriste en essayant de retenir mon sourire de kiff pendant que la langue du guichetier s'active sur ma teub. C'est trop le kiff !
C'est l'une des meilleures pipes qu'on m'a jamais faite ! Et pourtant j'en ai vu é;filé des bouches gourmandes sur ma teub mais là ... je sais pas si c'est le fait de voir é;filer les automobilistes qui se doutent de rien mais je suis chaud bouillant. Le éute; me lèche le gland comme un pro et ça me donne des petites é;charges électriques tout le long du zeub. Il glisse entre mes jambes et vient é;cher mes couilles avec sa langue baveuse. Je sens sa gueule s'écarter pour en gober une puis les deux en même temps. Mes deux couilles bien au chaud dans sa bouche de lopsa, je kiffe un max. Je kiffe tellement que je ne prends plus la tête et je me vautre sur le fauteuil en laissant la barrière ouverte et en faisant signe aux automobilistes de passer. Tranquille les gars, ce soir c'est Scarlaone qui arrose !
Le éute; revient é;cher ma teub de haut en bas et l'engloutit au fond de sa gorge. Je lui atrappe la tête à deux main et l'enserre pour inviter le passage de sa face. De bons petits coups de reins en avant et mon zboub entre et sort de sa bouche dans des bruits de suscion bien excitants. Il malaxe mes boules en même temps et me lâche pas avec son regard de salope qui en veut encore. Ma parole c'est le roi des biberoneurs ce mec de l'autoroute !
Je sors mon zceg de sa bouche et je le teins à la base pour le faire taper sur la face du éute;. Je lui claque les joues avec mon pieu bien raide et il é;mit des petits cris de salope qui me chauffent un peu plus. Je lui écrase les lèvres baveuses sur mon gland et il sort sa langue pour que je la tape avec ma queue humide de é;sir. Je branle mon zboub avec puissance et mes couilles rebondissent au bord de l'élastique de mon jog au rythme de mes mouvements de poignet. Je me contracte soudain et je gicle en hurlant de grosses flaques de sperme qui se é;pandant sur le sol de la cabine et sur la belle tenue bleue marine du éute;. Il se finit comme il peut en se branlant dans le peu d'espace qu'il a et crache à son tour sur le sol et continuant à aspirer mon zeub encore raide dans sa bouche de suceuse.
Après cette pipe d'enfer, il relève la tête et me dit : "Voilà, j'espère que Monsieur est satisfait des services de l'autoroute, nous éte;rons vous accueillir à nouveau très prochainement sur notre é;seau ... routier !"