Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

SPORT D?HIVERS I
Histoire gay publiée le 17/04/2007
Marre de Panam, il fait trop froid cet hiver. J’ai rien contre les éute;ratures en dessous de é;ro mais sous é;serve qu’il y ait de la neige, des montagnes et des sapins et à paris, c’est pas ça. Du coup, quand mon pote éeacute; m’a éacute; de partir une semaine aux Deux Alpes, j’ai éute; tout de suite.
Un pur bon plan qu’il a éute; par un éute; qu’il nique de temps en temps et qui craque sur lui. Comme il est plein aux as, Monsieur a un jolie appartement à la montagne et s’est éacute; de laisser les ée;s à mon pote. En deux deux je ée;pare mon sac de sport avec tout ce que j’ai de plus chaud à enfiler … en éte;rant trouver encore plus chaud sur place !
On se retrouve à la gare avec éeacute; avec l’intention de prendre un train en scred, sans billet pour retrouver les pentes éacute;es qui vont nous changer de l’air de la capitale. éeacute; a une bonne technique : on chope un train de nuit avec couchettes et y’a plus qu’à éte;rer un éute; docile pour squatter dans son compartiment. La chance est avec nous car on repère vite fait un petit couple de pd tout chauds d’aller faire les beaux sur les pistes. On é;boule dans leur compartiment et on leur pose le deal cash : il nous planque là en cas de contrôle et en échange, on leur promets de bien s’occuper d’eux. Les deux minets n’é;sitent pas une seconde et je sens que le é;but de ses vacances hivernales vont être éute;es sous le signe de la baise.
Il sont plutôt bien foutu les deux p’tits pd : un blond et un brun, y’a pas de blèm on va les niquer tout shuss ! Bien assis sur une couchette à côé; de mon pote, les deux keums se collent à genoux et commencent à nous pomper le zob. Le ballottement du train accompagne leurs mouvements de bouche et on est tous les deux graves chauds : c’est éute;ment le Pic du midi qui se dresse sous nos survêts ! Alors que je prends le temps de kiffer la bouche experte du petit blond qui s’occupe de oim, éeacute; a é;jà éte; le fute du brun et le pose à quatre pattes sur la couchette. Il lui mollarde dans le fion et lui écarte les éute;s pour  lui coller deux doigts. Le keum commence à é;mir pendant que son pote mate le spectacle en douce en se tirant sur la nouille comme un ouf.
éeacute; enfile une capote et commence à doser le keum qui se met à gueuler comme une chienne. Putain il va ameuter toute la rame s’il continue à brailler comme ça. Deux minutes plus tard, un contrôleur frappe à la porte et entre dans notre compartiment. Il butte sur le suceur qui s’occupe de moi et tombe sur la banquette qui nous fait face. éeacute; le boule à l’air en train de niquer, moi, la teub bien raide avec ma suceuse au bout, le contrôleur en croit pas ses yeux. Un petit sourire de vice s’affiche sur sa face et sans rien dire, il matte et commence à se palper la teub à travers le fute de son uniforme. Apparemment, il a envie de se faire payer son amende en nature. Il a un putain de zeb pour un é;fran, plus de vingt centimètres hyper large et il  s’astique tranquillement en palpant le cul du blondinet qui continue à baver sur mon zboub.
Je lui tends une capote avec un sourire, histoire qu’il se lâche et qu’après il nous lâche les couilles avec son contrôle. Le contrôleur se fait pas prier et é;roule le ée;so sur sa big teub pour aller se caler dans le boule de ma lopsa. Ca baise à tout va dans la couchette. éeacute; a éeacute; le petit brun sur le dos et lui pilonne le fion à grands coups de reins. Le contrôleur y va franco et ne s’occupe guère des râles étouffés du blond sur ma teub. C’est le compartiment du vice ici ! Soudain, j’entends mon pote écute; un cri que je connais bien, le rebeu vient de ée;cra à donf et il se retire du trou de la petite é;dale qui en é;clame encore. Vite fait j’enfile une capote et je vais prendre sa place pendant que éeacute; va se faire nettoyer sa teub pleine de foutre par le blondinet qui n’est pas encore rassasier.
Je lime comme un malade et je kiffe grave de suivre les sursauts des rails pour bien enfoncer ma teub au fond du trou de lopsa qui m’est offert. Le contrôleur commence à transpirer comme un bœuf et il sort sa queue pour se finir à la main et cracher son sperme sur le cul du blond en grognant comme un ours. Il ne manque plus que moi pour le bouquet final et j’éte;lère le mouvement dans le boule de mon skieur. En deux deux je sens la pression qui monte et je suis tellement chaud que j’ai même pas le temps de me retirer pour ée;cra. J’envois tout direct au fond de ma capote dans le boule de ma lopsa.
Autant vous dire qu’après ce contrôle écute;, le éute; en uniforme n’a pas éacute; à é;rifier nos billets. Après tout, il a é;jà pas mal éé le blondinet, c’est pas la peine d’en rajouter. Après ça on s’est endormi tranquillement avec éeacute; en laissant les deux lopsas s’écute;es sur le plan trop chaud qu’elles venaient de se faire. Sympa ces vacances à la neige, on est encore pas écute; qu’on s’est é;jà bien éacute; les bâtons de ski !