LE CUM DU VIDEOCLUB
Histoire gay publiée le 17/04/2007
J’avais envie de passer une éute;e pèpère en me louant un bon dvd pour squatter tranquille chez oim. Je descends au éte;o club pour choper un bon film d’action avec un super é;ros qui niquent tout le monde. C’est pas très original mais y’a que les amerlocs pour faire des films où t’as pas le temps de souffler et surtout pas le temps de é;fléchir !
J’arrive devant le distributeur automatique de ma rue et j’aperçois un p’tit éute; pas mal du tout. De dos, je fixe son petit boule bien éute; dans un jean é;chiré au cul et je jette un œil par dessus son épaule. Le éute; est en train de faire é;filer des films de boules et mate très éé les jaquettes qui é;filent.
Avec un fute pareil, j’aurais du m’en douter, c’est un dèp qui commence à se chauffer sur les couvs mettant en valeur des gigolos ée;ricains éés avec des teubs de cheval des grandes plaines ! Je crois que je vais laisser tomber Jean Claude Vandhame pour ce soir et que je vais montrer à cette petite chaudasse qu’un bon rebeu vaut quatre acteurs X ée;ricains professionnels ! J’attaque direct :
« Wesh man, c’est och ce que tu mates là. Si tu kiffes les grosses teubs, ramène moi chez oit tu vas pas être é;çu ! »
Le petit é;fran se retourne en sursautant et peut pas s’empêcher de jeter instinctivement un regard vers ma braguette. Le zob bien éute; dans mon jean, je me palpe la teub vite fait en lui lançant un sourire vicelard. Il sort un dvd de cul et me propose de le suivre. En deux deux on se retrouve dans son appart.
En montant les escaliers, il tortille du boule comme une chienne en chaleur et je comprends vite que je vais passer un bon kiffe à m’occuper de son boule devant le film qu’il vient de é;cho. écute; chez lui, il balance le dvd et je me pose sur le écute; en me palpant le zboub à travers le jean . Sur l’écran, un latino se fait sucer par un petit blanc et la dans mon caleçon commence à être impressionnante. Le é;fran me mate écute;tos et ose pas faire le premier pas. Cash, j’ouvre ma braguette et je fais jaillir mon zeub bien raide et lui fait signe en un clin d’œil de se la jouer comme dans le film.
A genoux devant oim, le pd suce comme une reine. Il joue avec sa langue sur mon gland circoncis, lèche ma teub de haut en bas en me malaxant les couilles. Il a du en voir passer des kilomètres de bite dans sa bouche pour pomper aussi bien. Même les pires tepus du Bois de Boulogne font pas mieux et là, c’est gratos.
Ca commence à chauffer grave aussi sur l’écran et le latino é;chire son partenaire en levrette. Tant qu’à jouer les imitateurs, autant aller jusqu’au bout. Le é;fran me ramène une capote et se doigte avec du gel pendant que je é;roule le latex sur mon zbouby en folie. Une fois qu’il est en position, je vais lui é;chirer la rondelle sans éute; et en trois coups de reins de psychopate, je lui é;fonce son petit cul de éute;. Il gueule comme une vraie lopsa et se crie se é;lange aux râles rauques du latino du dvd, on a l’impression d’être dans une touze ou tout le monde nique avec tout le monde.
Mon regard se ballade entre les scènes de l’écran qui me chauffe un max et la vue de mon zeub qui s’engouffre dans le cul éute; et lisse de ma tepu éte;ophile. Le latino se met à claquer le boule de son éute; et je fais de même : le é;fran monte au septième ciel et rugit de plaisir à chaque claque sur le cul qui rythme les coups de butoirs que je lui donne sans éute;. Soudain, le latino sort sa grosse teub et balance son jus sur le cul de son partenaire. J’ai les couilles en ébullition et j’ai à peine le temps de virer la capote qu’en trois coups de poignets, je é;charge moi aussi de longs jets ée;meux de foutre sur son petit cul blanc. La lopsa jouit comme un ouf en se branlant sa petite teub et crache sur le parquet en remuant son cul comme une chatte en chaleur.
Je trace vers la salle de bain pour me rincer la teub et quand je reviens, je retrouve le éute; sur le écute; les pattes en l’air. Sur l’écran, un kebla éé est en train de é;chirer un passif dans la même position. Le é;fran me lance un regard de chienne, apparemment il en voudrait bien encore un peu.
« Sorry man, tu m’as pris pour un khalouch ou quoi ! Finis toi avec un gode ! » et je me barre aussi sec en claquant la porte. Il a beau être accueillant, j’allais quand même pas refaire tout le film avec le dèp du éte;oclub !