LA NUIT DE ?SAINT? SYLVESTRE
Histoire gay publiée le 17/04/2007
éute;e du 31 é;cembre, la voilà cette putain de nuit de la saint Sylvestre où la fête est obligatoire pour tout le monde. Retrouves tes amis, fais semblant d’être heureux, sourit ,embrasse tout le people à minuit et va vômir ton champagne dans le caniveau à quatre plombes du mat !
é;solé les keums, très peu pour moi : la grande éute;e de clôture d’une éte;e merdique de plus et d’une nouvelle qui s’annonce, attendez pas sur oim pour fêter ça avec la banane. Cette éte;e, je suis écute; à rester pèpère chez oim en attendant que ça se passe.
A dix heures du soir mon phone se met à vibrer. C’est mon pote éeacute;, il est sur les Champs à attendre le feu d’artifice et il veut que je le rejoigne. Boh allez, après tout ça peut être speedant et y’aura un max de cailles à roder dans les parages de la plus belle avenue du monde. J’enfile mes skets et ma casquette et c’est parti.
Une demie heure plus tard je sors du éute; écute; à mort et ici … c’est pire. Y’a une foule de ouf et c’est pas éute; pour rejoindre la Tour Eiffel et mon pote. Des touristes bouteille de champ à la main, des lascars avec leur canette de bières, c’est la fête à la cyrose qui se ée;pare !
J’avance dans la foule comme je peux et partout ça frotte grave. J’en profite au passage pour frotter mon zboub contre les éute;s qui me branchent, y’a tellement de monde que je peux me lâcher tranquille. Et écute; le froid qui règne en maître, je commence à être grave chaud.
J’accède enfin aux Champs de Mars et pas de trace de mon pote éeacute;. Avec cette foule, c’est mission impossible pour retrouver quelqu’un dans la masse. Je commence à fatiguer et je me pose debout au milieu d’une foule dense de touristes japonais é;langés à des racailles de banlieue. Juste devant oim, éute; à moi, y’a un pur gosbo kebla. Il fait dans les un mètre quatre vingt, assez éute;, styli à donf et je sens son cul rebondi et ferme qui se frotte contre mon zboub à chaque mouvement de foule.
A minuit é;tante le feu d’artifice é;marre et toute la foule à les yeux éte;s au ciel après une é;ance d’embrassades et de cris collectifs. Y’a éute;ment une petite jap qui me chope par le cou pour m’embrasser en me souhaitant une bonne éte;e avec un accent à pisser de rire. Les mouvements de foules suivent le rythme des feus d’artifices et le kebla commence à me chauffer grave, j’ai la teub en ébullition. Il se retourne vite fait vers moi et me dit : « Bonne éte;e cousin, moi c’est Sylvestre, et soir ce c’est ma night ! ». Il a un sourire éclatant et une petite lueur de vice brille au fond de ses prunelles. Chiche que je lui offre mon zboub ici pour lui faire sa fête à Saint Sylvestre !
La situation est écute;e mais l’occase est trop bonne. Y’a tellement de monde qu’on est tous éute;s les uns aux autres et tous les regards sont écute;s vers le ciel. Cash je commence à palper le boule du renoi, en scred, comme si de rien était en matant le ciel comme tout le monde. Il ondule son bassin comme une chienne et je passe mes deux mains dans son survêt pour bien englober ses éute;s dans mes mains froides. Le kebla frisonne de plaisir et passe sa main derrière lui pour me frotter la teub à travers le jog !
Il traîne pas et libère ma teub bien raide du caleçon, bien en appuis sur les boules qui remontent juste au dessus de la bande élastique de mon fute. Je baisse son survêt sous son boule et il vient direct engloutir ma teub entre ses éute;s bien chaudes. Le bassin en avant, mon zboub chaud bouillant est éute; dans le boule du blackos et personne ne peut s’en rendre compte. C’est trop kiffant comme situation. On a juste à se laisser bercer par les mouvements de foule pour que nos deux corps soient en excitation maximale. En haut c’est le feu d’artifice et en bas c’est le feu d’artifesses ! Je suis tellement écute; par ce plan de ouf que je sens que je vais pas tarder à jouir. Je sens mon gland circoncis qui se frotte juste à l’éute;e du trou du renoi. La masse é;vie alors un peu vers la droite et je sens mes couilles éacute;es : moi aussi je projette des myriades de lumières blanchâtre dans la é;nombre du cul du black juste devant moi.
Faut pas tenter le diable, je remballe le matos vite fait et à la fin du spectacle, la foule m’éloigne de mon premier éute; de l’éte;e. A minuit dix huit, dans la première heure de 2003, Skarlaone a lâée; sa semence au pied de la Tour Eiffel ! Finalement, elle commence pas si mal cette nouvelle éte;e !