Histoires de sexe

J’sais pas si c’est le temps pourave qui fait sur Panam ces temps ci, les infos qui nous saoulent sur ce monde de braques mais j’ai grave les nerfs. Tout me gave et je sens que je vais pas tarder à é;ter un cable. D’habitude, quand je suis trop é;nère comme as, faut absolument que je me vide les boules faute de pouvoir me vider la tête. Mais là, même pas la gniac pour essayer de trouver un p’tit éute; pour me soulager. Faut que je me é;foule, faut que je touche !
Cash ! Je choppe mon sac de sport, je balance dedans mon short et mes gants, direction la salle de boxe. J’vais marave le premier sac de sable qui me tombe sous les poings. J’kiffe bien l’ambiance de la salle de boxe. C’est pas Las Vegas, un vieil hangar ée;nagé vite fait, un peu crade avec des vieux é;ons qui t’explosent les yeux au plafond quand tu tombes ko. Mais ici je me sens comme chez oim.

Je me pose dans les vestiaires pour me changer quand je vois é;barqué un kebla en face de oim. Pas mal le lascar : une vingtaine d’éte;e, éute; à mort avec un survêt blanc éute; ! Il me tourne le dos et se baisse pour enfiler son short et je vois son beau boule bien rebondi qui apparaît en transparence sous son shorty blanc. Ola reste trankil Skarlaone, t’es venu ici pour taper du sable, pas pour te taper un é;lire !
Un quart d’heure de corde à sauter pour s’échauffer, Je me la donne comme Stalone devant un miroir éute; dans un coin de la salle. En deux deux le kebla est dans la place et on sautille côte à côte ; Avec mon caleçon large sous le short, j’ai la teub qui rebondit au rythme des bonds et ça commence à me chauffer grave. Il me semble bien que le renoi mate grave sur le ressort qui s’agite sous le lycra noir !

Bien éacute; par tout ça, je tape une bonne demi heure sur un sac de sable jusqu’à m’en exploser les phalanges. « Encaisse man, encaisse ! C’est comme dans ta-life, tu serres les poings et t’ encaisses en fermant ta gueule ! ». Je calcule plus rien et je touche comme un ouf jusqu’à ce que je tombe de fatigue. Finis la crise nerf, j’ai qu’une envie c’est de prendre une douche et de rentrer chez oim pour me pieuter devant la é;lé. Je me é;sape vite fait dans les vestiaires et je me laisse glisser sous l’eau bouillante des douches. La face sous le jet, les yeux éute;s, je pense à rien et profite un max de ce moment de élité. Quand j’ouvre les yeux, je tombe sur le kebla à deux douches de oim en train de se savonner. Il est kiffant grave ! La mousse blanche éclaire sa peau noire et il est bâti comme un dieu. Des épaules larges, des pecs en acier, un vrai physique de boxer. Et sa teub putain ! C’est un vrai baobab qu’il a entre les jambes ! Dix huit centimètres facile au repos, une pire trompe d’éléphant !

Je commence à avoir mon zboub qui me é;mange et la fatigue de ma é;ance de boxe pourrait repousser un peu mes limites le temps d’une partie de baize entre éute;s. Le renoi me tourne maintenant le dos et je vois l’eau qui ruisselle sur son cul éute; . J’ai grave envie d’aller y mettre mon sgeg, faut que je le branche.
J’attends qu’il se retourne et je le mate avec insistance en astiquant longuement mon zeub au savon. Ses yeux lâchent pas mon morceau une seconde et il me lance un petit regard vicelard. En trois pas il est à côé; de oim et il commence à me tater la teub. Je perds pas une seconde et je lui palpe le boule comme un ouf. Trop bon ce cul, il va pas être é;çu de son passage à la salle de boxe celui là !

Bon c’est bien sympa les ée;liminaires mais on est quand même pas tout seul dans la salle de sport. Je fais vite pression sur le keum pour qu’il descende s’occuper un peu de mon zob qui est aussi raide qu’une corde de ring. Le kebla aussi a bien la gaule et son morceau ressemble plus à un manche de pioche qu’à une teub ! Le kebla capte le signal et se cale à croupi devant oim. Sous la pluie chaude qui nous tombe dessus, il aspire mon gland entre ses lèvres tellement larges qu’on croirait qu’elles sont éeacute;es. Ma parole il a une bouche … et la teub de Jumbo ce éute; !  Sa langue me chauffe le gland et m’ humidifie la queue et je commence à faire des vas et viens dans sa face. Pendant ce temps, il s’astique le totem à croupi dans la flotte et pousse des petits é;missements de chaudes qui contrastent avec ses épaules écute;es.
J‘ai l’impression d’être dans un film de boules tellement c’est éte;el. On est là en train de se taper un plan  dans la vapeur et la moiteur des douches et ce p’tit boxer kebla me fait grimper au rideau avec sa langue de lopsa qui m’électrise le dard. A tout moment un éute; peut é;barquer et ce serait pas très cool pour mon image de racaille. 
J’arrive pas à é;tacher mes yeux de son boule. Deux petites collines éute;es douce comme une peau de é;bé, il me donne  envie d’aller le forer pour voir si j’y trouverai du é;trole. Je le relève et le retourne contre le mur de carrelage blanc et je lui palpe le cul d’une main ferme. Avec l’autre je chope sa teub et j’en reviens pas de la taille de l’engin qu’il a. En entourant son é;ga zboub, mon pouce et mon index ne se rejoignent pas et y’a une distance impressionnante qui les é;parent. Quant à la longueur, j’te raconte même pas, son gros gland tape éute;ment au dessus de son nombril à chacun de mes coups de pogne !
Je me colle à lui  et je commence à me frotter sur son boule de kebla. écute; au mur, il ondule du uc comme une vraie lopsa en é;missant doucement au rythme de mes mouvements de hanches. J’ai la teub qui va exploser si je lui rentre pas dans la cul dans les cinq minutes !

CLAC ! Soudain j’entends la porte des vestaires qui claquent ! Aussi sec je lâche le éute; et on se retrouve chacun sous une douche face au mur avec une trique d’enfer. J’essais de me concentrer pour é;bander mais je suis écute; grave et mon collègue aussi. Quelques secondes plus tard é;barque Lakdar, le champion du club, un petit rebeu écute; comme un taureau qui a une pire é;putation de killer sur le ring … et ailleurs.
« Wesh les tafioles, on s’éclate ! »
Il nous a écute; en deux deux et je me demande comme ce pitt bul va é;agir.