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RETOUR DANS LES BOIS
Histoire gay publiée le 20/10/2023
Y en a vraiment marre de traîner la queue basse dans le hall de mon immeuble et Icham avec sa tête des mauvais jours ne me donne pas l’envie de m’encroûter avec lui dans pareil endroit. Je prends ma tire, allume le contact et m’en vais draguer à la lisière du bois de Boubou. Encore un peu tôt pour tirer ma crampe tranquillement derrière un buisson sans être vu par les minots avec leur vieux, alors tranquillement je marche dans les allées de ce bois qui la nuit tombée laisse transpirer le meilleur ou l’inavouable de nos contemporains. J’massied comme à mon habitude sur la souche d’un arbre et commence à me rouler un beuz de chez beuz, pas du genre de celui qui met stone la première tapiole qui traîne. Non plutôt celui qui permet d’ouvrir son esprit à de nouvelles découvertes. En pleine élaboration de mon tube à cancer, un jeune lascar sorti de nulle part croise mon regard et immédiatement une étincelle me permet de croire à un proche avenir des plus jouissif. Je l’invite à s’asseoir pour commencer par tirer sur le bédo. La nuit commence à envelopper les arbres dans une obscurité qui illumine mes envies. Doucement j’amène ma proie dans des délires verbaux qui m’autorisent à croire beaucoup de choses possibles. La fumée envahit mes poumons et mon cortex ne tarde pas lui non plus à gonfler d’idées plus ou moins salaces. Je le regarde là devant moi, prêt à se pencher sur mon entre jambes. Déjà ses yeux brillent d’une intensité toute vicieuse. J’commence à me toucher le zboub l’air de lui faire comprendre mes attentes. Ni une ni deux sa tête se rapproche de mon survet et ses lèvres frôlent les trois bandes qui ornent mon entre jambe. Sa langue joue à découvrir mon début de braquemart. Je lui offre le cul du joint pour qu’il aspire à plus de vices et que ses yeux servent mes envies. De petits râles de contentement envahissent le silence des allées du bois ; Doucement je baisse le dernier rempart qui lui interdit l’accès au plaisir suprême. Mon gland grossit dans sa bouche sous les lapements répétés de sa cavité buccale. Les jambes bien écartées je lui laisse le loisir de se gaver avec mes vingtaines de centimètres, je regarde des gouttes de salive couler le long de son menton. Je ferme les yeux et me laisse transporter au milieu de sa cavité que tranquillement je remplis de mon maximum. Ces gémissements deviennent râles et vu sa position je sens bien qu’après son fion se montrera dispos pour se faire bouhiave avec ferveur. Pour le moment je le laisse rouler mes burnes autour de sa langue, se gonfler de sève. Avec sa main droite, il s’amuse à serrer au maximum ma pine histoire qu’elle le gave bien. Des larmes perlent sur ses joues à puissance de manger ma teub et qu’elle lui remplisse bien profondément sa gorge de petite salope. Mes mains guident ses vas et viens et insistent afin de l’entendre s’étouffer. J’aime comprendre et sentir que le keumé face à moi se régale et cherche à me donner le maximum de plaisir, pas vous ? Mais sa bouche ne me suffit pas et j’ai grave envie de lui fourrer la rosette en regardant ses petites fesses de lascar bouger et rebondir sous mes coups de butoir. Je me lève et lui donne ma place afin qu’il se cambre suffisamment pour m’offrir son trou. Placé derrière lui je débute par un doitage en règle. D’abord un doigt puis deux et désormais dilaté je peux lui enfourner ma tige gonflée. Un énorme cri déchire la nuit maintenant bien tombée, et ma pine transperce son séant d’un coup d’un seul. L’entendre râler, gémir me donner encore plus envie de l’enfourner jusqu'à la garde. Virilement et sereinement je commence à bien lui élargir la raie afin d’y voir ma teub pourfendre son petit trou qui déjà suinte de plaisir. Mes mains toutes entières, comme les serres d’un aigle, tiennent en respect ce cul guidé par mes assauts répétés. Je rude ses fesses et les frappent de grandes claques qui font rougir sa chair et dresser le minuscule duvet qui fleurit dessus. Mes mains descendent jusqu'à trouver leur point d’attache dans le creux de ses cuisses. Ainsi tenu il m’appartient et mes dix doigts soulèvent facilement ses jambes afin de mieux l’empaler. Au moment où je le sens dépassé par sa jouissance je me retire et exige d’un ton ferme qu’il me finisse avec ce qui lui sert à gémir. Il s’agenouille comme une bonne chienne soumise pour me finir. Je me contracte, mes muscles se raidissent avec ses insistants coups de langue. D’un seul geste je lui intime l’ordre de descendre en me léchant l’entrejambe et que je puisse lui lâcher mon foutre chaud sur son dos de bon soumis. Épais mon foutre ce soir. Il a du mal à couler sur son dos. Il reste dans cette position et ses gémissements me laissent penser qu’il se finit. Bingo, il se relève avec un joli sourire aux bords des lèvres. Il est heureux, Moi aussi.