Histoires de sexe

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RETOUR DE WEEK END
Histoire gay publiée le 29/10/2023
Je rentrais d’un Week end dans la famille. Deux jours à zoner devant la télé en me gavant de la cuisine de ma , j’avais qu’une envie, c’était de me poser pèpère dans le train pour pioncer pendant les trois heures de voyage. Bien câlé dans mon fauteuil côté couloir, le discman sur les oreilles, lunettes noires sur le pif, casquette enfoncée sur le crâne, y’avait plus qu’à se laisser bercer par le ronron du Corail qui me ramenait vers Paname. Je rêvais depuis cinq minutes qu’un attai vient me bousculer pour se poser à côté de oim. Et quand je dis un attai, je pensais pas si bien dire ! Un beau p’tit zincou d’une vingtaine d’année, survêt et casquette loguées avec un p’tit regard de malin qui brillait déjà de vice. « Excuse moi cousin, y’a moyen que je me pose ? » Je me la joue caillera et je lâche un grognement en faisant semblant de me rendormir. J’écarte bien les jambes pour être à mon aise et je frotte un peu ma cuisse contre celle du rebeu d’à côté, histoire de voir si le keumé réagit. Tu parles qu’il réagit le lascar. Sa sket vient se poser sur la mienne en deux deux et je sens les muscles fermes de sa cuisse qui roulent contre les miens. Je chope vite un barreau d’enfer, c’est comme si j’avais monté le grand chapiteau sous mon survêt. A travers les verres fumés, je vois le p’tit rebeu qui lâche pas la de mon futal du regard. Il se lèche les lèvres vite fait, wallah j’crois que je suis tombé sur une bonne chaudasse ! Toujours en train de faire semblant de rêver, je m’amuse à soulever le tissu de mon fute en contractant ma teub, comme si mon zboub lui envoyait des clins d’œil par survêt interposé. Je pose ma main sur la sienne par dessus l’accoudoir. Il a une bonne pogne bien ferme de racaille et je la prends pour la poser direct sur mon zeub. Le rebeu me malaxe fermement le paquet et câle son autre main sur son entre jambes. C’est le moment de passer à l’action, trop easy le keumé ! Je me lève subitement et lui balance d’une voix rauque : « Suis moi cousin ! » et je trace direct vers les chiottes du wagon. En deux quatre six le lascar me rejoint dans la cabine étroite qui pue la pisse et les produits d’entretien industriel. Il se colle à moi direct et me roule une pelle bien baveuse. Sa main se colle sous l’élastique de mon jog et il descend aussi sec pour empoigner mon gros zbouby en érex. Je place mes mains sur ses épaules et en deux pressions, il capte et se laisse glisser à genoux devant oim. Je baisse mon froc pour lui coller mon gros morceau sous le zen et le lascar m’attaque une sucette d’enfer. Sa langue tiède s’active autour de mon gros gland circoncis, ses doigts agiles jouent avec mon sac de couilles bien plein et je kéblo sa tête contre ma teub avec mes deux mains. Il se laisse guider sans problème et je vois sa face coulisser le long de mon zeub en feu. J’ai même pas à bouger, un peu sur la pointe des pieds, le rythme du train assure les petits coups de butoir dans sa gueule. C’est le pied, je suis en train de me faire sucer au rythme de la SMCF (Suce Moi Comme un Fou !) Le rebeu a sorti sa teub de son survêt et se la branle comme un psychopathe en me jetant des coups d’œil de vice. Il a un bon zeub de vingt centimètres faciles et se l’astique comme un forcené en poussant des petits râles de plaisir. La vue de sa face s’activant sur ma teub me met les couilles en surchauffe et je gicle cinq bonnes salves de sperme qui vont s’éclater contre les murs des chiottes. Il continue à me branler mon zob ramolli devant le zen en s’activant un peu plus sur son zboub et balance la purée sur le sol, une belle flaque crémeuse se colle sur le lino crade. Tu me croiras si tu voudras, mais on a fait quatre aller-retour aux chiottes durant le trajet, des vrais affamés après un WE zen en famille. Qu’est-ce tu veux, on peut pas lutter contre ses instincts, alors autant profiter à donf !