Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

OCH LA SOIREE
Histoire gay publiée le 04/11/2023
Dimanche dernier, j’étais chaud bouillant en début de soirée et j’ai décidé d’aller faire un tour sur Panam. Là, je tombe sur mon pote Mourad vers le Rex. Il bougeait pour une oriental gay tea dance dans le quartier, la première de la saison. Comme il avait récupéré deux pass sur citebeur, j’ai tracé direct avec lui vers la teboi. Attention les keumés, Skarlaone était dans la place et c’était och la soirée ! Arrivé sur place, on passe au bar histoire de se chauffer un peu puis on va se poser sur une banquette face à la piste et pas trop loin des chiottes, stratégie oblige ! C’est trankil pour une première, c’est pas la grosse foule mais y’a un max de zincous qui bougent sur la piste. Les baffes renvoient les basses du groove que le dj passe en boucle et les keumés s’enflamment sur les morceaux orientaux, ambiance garantie ! C’est un truc de oufs dans ces soirées, dès que la musique rebeu démarre les lascars se lâchent sur la piste. Ca roule des hanches de tous les côtés, ça chauffe devant les miroirs où se reflètent les moove lights et ça matte de tous les côtés. T’as tous les style parmi le people qui squatte là pour finir le WE en beauté : des zincous en survêt (pour une fois qu’on peut rentrer dans une teboi avec des skets, ça fait plaisir !), des céfrans lookés lascars, des vieux YMCA prèts à bondir dans les chiottes si une occase se présente. Et en cerise sur le gâteau, il me semble bien qu’il y a pas mal de modèles de citébeur qui traînent ici, sauf que là, tu les as en direct live ! Et y’en a un qui se lâche grave, c’est mon pote Mourad. Le lascar fait dans les 1m85, il est grave carré depuis qu’il fait de la boxe anglaise et il a une pure teuté de racaille que t’as pas envie de faire iech si tu le croises dans la rue. Et là, je vois mon zincou qui se dandine comme un harbi sur la piste au rythme du raï. Il est en train d’enflammer la piste et la température monte d’un cran. Je le vois alors tracer vers les chiottes, y’a de la déprave dans l’air. Il s’engouffre dans la dernière cabine de chiotte et un blackos bogosse le rejoint en deux deux. L’occase est trop belle pour pas en profiter, je finis mon sky trankil vautré sur la banquette à mater tout ce qui bouge puis je traverse la piste comme un fauve en chasse pour aller vers les chiottes. Devant la porte, j’entends des gémissements qui me font monter le barreau direct. Apparemment mon pote Mourad est en train de bien s’éclater et y’a pas de raison qu’on partage pas ce bon moment entre zincous. Je pousse doucement la porte du chiotte et je tombe sur le rebeu à genoux par terre en train de pépom le kebla. Le keumé a un zob de ouf, plus de 20cm facile et il tient mon pote par la nuque pour bien lui défoncer la face ! Pendant ce temps Mourad a sorti son zgeg du survêt et il se branle la teub en gémissant comme une meuf. C’est trop zarbi de voir un lascar comme lui, genre bogoss viril, en train de têter le dard comme un bébé en manque de lait. Nos regards se croisent et d’un clin d’œil il me fait signe d’approcher. J’ai pas fait un pas qu’il me choppe par la ceinture du survêt et dégaine mon zboub bien raide du caleçon. Cash il lâche la teub du black et vient engouffrer la mienne dans sa bouche. En même temps il branle la grosse batte couleur d’ébène et je sens mon gland circoncis électrisé par les coups de langue de mon pote. J’en profite pour palper le cul du kebla pendant que mon pote active sa bouche sur ma teub. Il a un pur boule de black : bien rebondi, complètement imberbe et lisse, un vrai bonheur ! J’ai à peine commencer à bien lui malaxer les seufés qu’il me lance un regard de vicieuse. Aussi sec je lui colle un doigt à l’entrée du trou et je commence à lui travailler le fion histoire de le chauffer à bloc. Il se met à gémir comme une chienne et ondule son boule comme une call girl professionnelle. C’est och de chez och cette soirée ! La pression monte dans les chiottes de la teboi et le blackos tarde pas à gicler sur le mur alors que je lui ai planté deux doigts bien au fond du trou. Dans la foulée, Mourad active le rythme sur ma teub qui coulisse de plus en plus vite dans sa bouche, bien humidifiée par sa salive tiède. Il se branle frénétiquement le zob et balance de grands jets de sperme sur le sol alors que je me cambre pour lui balancer la sauce sur la face ! On s’effondre tous les trois les jambes encore tremblantes de la bonne partie de baize qu’on vient de se faire en scred. En deux, deux, tout le monde est ressapé et on retourne comme si de rien n’était vers la piste de danse. Bien calé sur une banquette, le verre à la main, on a fini la soirée pépère à mater les racailles qui se la jouaient sur la piste. Wesh les keums, je crois qu’on va me voir souvent traîner le dimanche soir du côté de Bonne Nouvelle pour les soirées oriental groove, c’est trop och ces soirées.