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EN SCRED AU JARDIN DES TUILERIES
Histoire gay publiée le 03/11/2023
Je rentre d’une soirée pèpère chez un pote qui squatte dans le IIème. On s’est fait une bonne petite soirée à délirer en s’explosant les yeux sur la Playstation. A une heure du mat, le quartier est quasi désert et je marche comme un loup solitaire dans la ville endormie. Tant qu’à s’aérer les poumons, je décide d’aller faire un tour du côté du Louvre, direction le jardin des Tuileries. Ca bouge pas mal là bas le soir il paraît. J’suis pas sûr que ce soit le genre d’endroit ou je pourrai trouver des cailles mais je me sens comme Indiana Johns soir ce, prêt pour de nouvelles aventures. Je vais me poser à l’entrée du labyrinthe pour griller une garetci. Assis sur un muret d’époque, j’observe de loin les vas et viens des keumés qui se faufilent entre les allées dans l’attente de plaisirs furtifs et anonymes. Juste derrière oim, y’a le palais du Louvre. Ca me fait trop délirer tous ces keums qui viennent s’éclater ici, dans l’ancien royaume du roi soleil. Aujourd’hui c’est devenu le royaume la lune ! J’écrase ma clope dans le sable humide et je trace en direction de l’entrée du labyrinthe. Les allées en buissons sont assez étroites et t’es obligé de te frotter à chaque fois que tu croises un prédateur de nuit. C’est och ! Je croise un vieux type qui frotte son boule comme un ouf contre ma teub encore molle. Il est grâve en manque celui là mais j’espère bien que je vais en trouver un plus kiffant pour me vider les boules. Je passe un bon quart d’heure à déambuler dans les allées sombres et y’a pas grand chose à se mettre sous la dent. Je décide de tracer ma route mais j’ai un peu de mal à repérer la sortie. Putain de labyrinthe de mes couilles, j’suis paumé au milieu des buissons et des keumés en chaleur. Après dix minutes à tourner en rond, je commence à être vénère ! Je me pose dans un coin pour pisser en regardant la pleine lune dont les rayons scintillent sur le jet de pisse que j’envois dans les graviers. Surgi de nul part, y’a un p ‘tit bourge qui ramène sa face de gouaron vers moi. Le keumé doit avoir la trentaine et il se cale direct entre mes jambes. En deux deux, je sens sa langue qui s’active sur mon zob alors que je viens à peine de finir de pisser. Il suce bien ce p’tit pd ! Mon zob attaque une montée triomphale et deux minutes plus tard, il se dresse fièrement sous les rayons de lune. Le bourge est un vrai affamé et sa bouche baveuse engloutit ma teub jusqu’aux couilles dans des grands bruits de sucion. C’est cool, je me suis pas perdu pour rien dans les buissons des tuileries ! Je commence à lui piner la gueule à petits coups de reins et je vois mon gland baveux qui entre et sort de la bonne bouche de suceuse qui grogne de plaisir. Un bon zboub de rebeu en plein air, il est pas là le bonheur ! Un autre keumé sort des buissons et s’approche à pas de loup derrière moi. Il doit avoir une vingtaine d’année, un petit blondinet timide, et son regard est scotché sur les vas et viens de ma teub. Il me jette un petit regard soumis comme s’il attendait mon autorisation pour profiter un peu plus du spectacle. Je lui balance un clin d’œil et je fais claquer ma langue en direction de ma matraque. Et hop je me retrouve avec deux suceuses devant oim, à dispo pour mon plaisir nocturne. Le blondinet me lèche les boules pendant que l’autre me tête le gland à coups de langue baveuse. Leurs salives se mélangent et dégoulinent le long de mon zob et je commence à être grave bouillant ! Je prends ma teub en main et je commence à leur fouetter la gueule avec. Les deux keumés sont à genoux dans les graviers et tendent leur face tout ce qu’ils peuvent pour se faire toucher les joues par mon gros gland circoncis tiède et humide. Pendant ce temps deux autres keumés sont sortis de la pénombre et reste en retrait à nous mater. A deux mètres de nous, je les vois qui se branlent la teub mutuellement en profitant du spectacle. Je commence à me prendre pour une vedette de film de boules. C’est Skaraone qui fait le show soir ce au jardin des Tuileries ! Je chope les deux suceurs par les cheveux et je les colle face à face, leurs bouches calées de chaque côté de ma teub. Je lime ça com entre ses quatre lèvres salivant de désir et mon zgeg coulisse comme dans une chatte bien humide. En alternant des petits coups de reins à droite ou à gauche, mon zboub s’enfonce à tour de rôle dans la bouche de l’un ou de l’autre céfran. Ils ont tous les deux sortis leur teub et se branle comme des ienchs en soupirant à chaque nouvelle assaut de mon bazooka. Le spectacle fait bien kiffer les deux mateurs que j’entends gémir en balançant leur sperme sur les graviers. Je viens de leur offrir un putain de live show XXX et tout ça pour pas un rond ! Bien chauffé de voir que mon public apprécie, j’accélère le rythme sur la bouche de mes deux lopsas. Je sens mes boules qui remontent d’un étage et se collent entre mes jambes, ça bouillonne dans mon sac et dans ma tête et je sens le torrent de sperme qui gronde dans ma teub ultra raide. Je pousse un soupir rauque de plaisir satisfait et je crache six longs jets de sperme blanchâtre qui s’envolent en brillant sous les rayons de lune et viennent s’écraser sur la face des deux suceurs. Les keumés en peuvent plus et se jouissent sur le fute en se léchant les lèvres pour bien kiffer ma semence. En deux deux tout le monde a remonté son bène et les keumés disparaissent un à un dans les fourrés. Les couilles libérées, je marche trankil entre les allées et je me retrouve à la sortie cinq minutes plus tard, sans rien avoir calculer. Comme si une fois mon plaisir satisfait, le jardin des Tuileries m’avait raccompagné lui même vers la sortie !