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LE BOURGE DU XVIeme
Histoire gay publiée le 02/11/2023
C’est l’automne sur Panam et ça caille grâve. Rien à faire par un temps aussi pourave à part rester chez oim. Mon portable se met à vibrer, c’est mon pote Narguilé qui donne des nouvelles. « Wesh couzin, ça fait un bail ! Ca va ou quoi ? J’ai un rencard avec une chienne du XVIème qui kifferait de se faire kène par deux lascars. J’ai pensé à toi mon pote ! » Je retrouve bien les délires de mon zincou, toujours prêt à se lâcher entre racailles quand il s’agit de bonnes parties de baize. Aussi sec j’enfile mon survêt et je rejoins mon pote en bas de l’immeuble. Il passe me capter avec sa vieille caisse pourave et nous voilà parti dans le XVI, welcome à Gros bourge Land ! On se pose devant un immeuble à l’ancienne, pierres de taille et moulures en façade, ça pue le fric à plein nez ici. Le keumé qu’on vient pécho ici taffe dans une boite de prod de télé et on est tous les deux bien décidé à lui coller notre tube cathodique dans le uc ! Le gardien de l’immeuble nous matte d’un sale œil, faut dire qu’on a pas tellement le look de l’endroit avec nos sapes sportswear et nos sketbas un pau crades, ça change des costumes trois pièces et des pompes cousues main à 10 000 boules la paire. On grimpe les deux étages sur un beau tapis rouge épais pour arriver devant une putain de porte de deux mètres de haut. Le bourge nous ouvre la porte : c’est un petit minet d’une trentaine d’année, sourire ultr abright tout sauf naturel, regard de chienne qui en dit long sur ses intentions. Mon pote Narguilé trace direct au salon et moi je scotche sur les différentes pièce qu’on traverse. C’est le Palais des Mille et Une Nuits cet appart : de lourdes tentures orientales habillent les murs, des lustres en cristal aussi gros que mon studio éclairent la pièce et … Narguilé s’est déjà posé sur un gros fauteuil de cuir et a la teub à la main. Le bourge vire son peignoir de soie bleu marine et se retrouve en string blanc devant nous. Il se jette à quatre pattes devant mon pote et commence à lui lécher les skets. En même temps, il ondule son boule et jette des regards de vicieuses dans ma direction. Narguilé a le zeb bien raide et son morceau de plus de 20 centimètres circoncis se dresse devant la face de lopsa. Le minet des jette dessus comme il doit le faire devant un bol de caviar et il commence à déguster le morcif avec délectation. Je sors mon zboub qui commence à chauffer sous le survêt et je matte la scène avec un sourire en coin : le keum suce comme une vraie bourgeoise du XVI, tout en délicatesse et élégance, c’est tout juste s’il ne lève pas son petit doigt en l’air pour faire plus classe. Mes yeux n’arrivent pas à se détacher de son cul rebondi et imberbe qui gigote à deux pas de ma teub. Narguilé se lève et on se pose trankil côte à côte, nos deux zgegs tendus vers la bouche du keumé. Il se rassasie sur nos teubs comme une vraie chienne, passant de l’une à l’autre avec sa langue baveuse. Ca commence à être och et je ne peux pas m’empêcher de rouler une bonne pelle à mon zincou. Narguilé sort une capote de sa poche et la déroule sur son pilone. Il va se caler derrière le bourge et lui défonce le uc à sec. Son énorme teub rentre comme dans du beurre, elle a du en avoir des kilomètres de bites dans le cul pour être aussi dilatée cette petasse ! En tous cas elle kiffe grave la bourgeoise ! Alors que les coups de butoirs de mon zincou sont de plus en plus saccadés et puissants, le bourge se jette sur mes skets et bave dessus en gémissant comme une tepu. Ma racaille me fait signe de le rejoindre à l’arrière : « Matte couzin, c’est pas un cul qu’ila, c’est une autoroute de la teub ! ». Et il me lâche la place dans la grotte à plaisir. J’enfile un préso et je vais me caler direct au fond de son trou. Il pousse un hurlement de plaisir quand mes 22 cm lui déchire les entrailles et plus il gueule et plus mon zeb durcit et le déchire. Je le kène comme un forcené, sans pitié, pour qu’il se souvienne longtemps du passage des deux lascars du 93 qui squatte son appart et son boule. Pendant ce temps, il gobe les boules de Narguilé qui s’astique sa grosse teub au dessus de son zen. Mon pote se cambre d’un coup et chécra sur sa face. Le bourge se retrouve avec un masque au sperme de lascar sur la gueule et il a l’air de kiffer grave. Je me retire et je me finis à la main. J’ai les couilles en zone rouge et je gicle sur son cul encore ouvert : cinq trainées blanchâtre s’écrasent sur la peau blanche et sur le joli tapis persan, sa femme de ménage va avoir du taf après notre passage. Après ça, on va s’écraser tous les deux sur le canapé en cuir blanc. Nos deux zobs sont ramollis et baveux et le bourge du XVI vient à quatre pattes pour nous les nettoyer : sa langue chaude de chiennasse nous récure le gland en deux deux et il se tape une queue en même temps. Sa face rat se contracte soudain et il envoit la purée sur le parquet brillant pendant que Narguilé me roule une pelle. On se ressape pour quitter les lieux, laissant la tepu des beaux quartiers sur le parquet collant, le cul et les pupilles encore dilatés de plaisir. Eh ouais Mister Friqué, ça se passe comme ça chez Mac Scarla !