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EXIB DANS LES DUNES
Histoire gay publiée le 02/11/2023
Qu’est-ce que tu veux faire d’autre que d’aller te faire bronzer la pilule quand t’es en vacances dans le Sud. Je chope ma serviette, j’enfile vite fait mon caleçon de bain blanc (bien tranparent quand tu sors de l’eau, y’a rien de tel pour chauffer l’entourage !) et je trace vers la plage pour lézarder sous le soleil du Sud. Je reste une petite heure sur ma serviette à me retourner pour peaufiner mon bronzage, à ce rythme là, en moins d’une semaine je vais passer pour un vrai bledar voir pour un khalouch tellement ma peau matte prend bien les uv ! J’en profite pour mater en scred les keumés qui défilent sur la plage et je m’apperçois qu’ils bougent otus dans la mêm direction, un peu plus loin derrière les dunes. Tu me connais, Scarlaone est le roi des fouineurs, il faut que j’aille voir ce qu’il se passe là bas. Je suis le mouv et j’avance pèpère sur le sable chaud, sous le regard envieux des petits pèdes qui bronze à plat ventre pour planquer la gaule qu’il chope quand il me voit déambuler devant leur serviette avec ma carrure de bogoss de téci. Je grimpe une dune, puis deux et j’arrive sur une petite pinède où à mon avais on doit se renacerder pour piner. Bingo, ça grouille de keumés en chaleur ici. Les corps à moitié nus se frôlent de tous les côtés et les maillots mettent sans complexe en valeur les grosses teubs en érecx ou les petits culs humides de désir de baise. Je commence à être bien och moi aussi et je regrette de pas avoir pris de capotes avec oim, sinon y’en a plus d’un qui aurait regretté son regard de pervers sur la de mon short de bain. Je tombe sur une vraie lopsa en train de faire kène par un grand kebla avec une teub surdimentionnée. Putain il doit faire vingt cinq centimètres le khalouch, une vraie queue de poney. Et le passif qui se fait défoncer gueule comme une vraie chienne à quatre pattes le nez dans le sable. Autour d’eux, y’a quatre keumés qui se branlent en profitant du spectacle. Chacun exhibe sa teub et s’astique tranquillement en plein air.Y’a pas moyen que je reste tranquille, faute de baise, je vais aller me faire un petit plan exhib histoire de leur montrer ce que c’est q’une bonne de lascar de téci en action. Je rejoins le groupe et je commence à malaxer mon zboub moite de chaleur à travers mon short blanc. En deux deux j’ai une gaule de ouf et je fais sortir le morceau, sous le regard admiratif de mes petits camarades de jeux …. érotiques. La lopsa chiale de plaisir et de douleur pendant que le black lui déchire le cul comme un damné, sans s’occuper des cris de la tepu qui se fait mettre. Soudain un des mateurs du groupe s’approche des deux baiseurs et vient cracher son jus sur la face du passif qui a l’air de kiffer ce petit rafraîchissement gratos pendant sa séance de nicage. Comme un top départ, les trois autres suivent le mouvements et s’approchant à leur tour. Le kebla retire son gros djembé du boule du passif qui se retourne aussi sec sur le dos pour branler sa petite teub en matant les queues qui l’entourent. Le blackos pousse un rugissement de lion et balance la purée sur le torse de sa lope et je me dépêche de rejoindre le groupe pour le feu d’artifesse final. Les deux keumés qui restent accélère le rythme de branle et gicle à leur tour sur la tepu dont le corps se recouvre de sperme qui colle avec le sable. Mon poignet speed un bon coup et je lourde mon venin à mon tour. En trois minutes chrono, le passif est couvert de sperme de la tête au pied et sans me vanter je suis pas le dernier en quantité d’arrosage. Avec ça, s’il va se rincer dans la Méditerranée, il y aura de quoi nourrir un paquet de poissons au sperme vitaminé !