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DRAGUE DANS LE MARAIS
Histoire gay publiée le 30/10/2023
Hier, j’étais du côté d ’Hôtel de Ville pour retrouver mon pote Narguilé et après une bonne heure d’attente à tourner en rond sur la place, je commençais à être vénère. Messagerie sur son portable, pas de nouvelles de mon pote ! Fais iech il aurait pu prévenir. Du coup, tant qu’à être dans les beaux quartier du centre ville, autant essayer d’en profiter pour se faire un plan baise avec un petit bourgeois. Je trace en direction du Marais, le Gayland parisien. Ca fait un baille que j’y ai pas mis les pieds. C’est pas franchement mon style ce quartier homo, chez les lascars, on aime la discrétion. Je me ballade dans les rues pavées et je matte en scred tous les keumés qui m’entourent : c’est un truc de ouf ce quartier ! Ca sent la drague à plein nez et les regards des mecs qui traînent sont sans ambiguité. Welcome au Gay Paradise, ici tout est permis ! Avec mon look de racaille, je dénote un peu dans le paysage des fashion victim du coin, mais ça n’a pas l’air de déplaire … au contraire ! Direct, les keumés que je croise me lance des sourires entendus ou des clins d’œil d’invitation au plaisir. Un petit keumé d’une vingtaine d’année me lâche pas du regard, bingo man, Skarlaone va s’occuper de toi. Il est pas mal ce petit pd : un mètre soixante dix, mince, blond avec des purs yeux bleus et un sourire à tomber par terre. On discute en deux deux et il m’emmène dans son appart à deux pas du cœur du quartier gay. J’ai même pas le temps de jeter un œil à son appart qu’à peine la porte fermée, Cédric est déjà à genoux devant oim à me mordiller le teub à travers le survêt. Il veut du zob, il va en avoir ! Je sors mon zgeg déjà bien raide et je commence à lui fouetter la face avec. Il engloutit ma teub comme un kebbab bien chaud, attention à l’indigestion. Ca chauffe grave au cœur du Marais ! Cédric me bouffe les boules avec sa langue chaude et baveuse … comme ma queue qui ne compte pas s’arrêter là. Je le pousse vers le canapé et il capte vite le message. A quatre pattes devant oim, il me tend son petit boule imberbe en ondulant comme une tepu. J’enfile une capote vite fait et je vais le kène direct sans passer par la case gel. Le keumé est tellement och que ma teub lui déboule dans son fion humide de désir sans problème. En deux coups de reins puissants ma queue lui défonce le uc et mes boules bien pleines viennent lui taper sur les seufés. Il crie comme un halouf qu’on égorge et à mon avis, s’il gueule toujours autant quand il baise, il doit avoir des problèmes de voisinage ! Je le retourne pour profiter de sa face et de ses grimaces de douleur et de plaisir à chacun de mes coups de butoirs. Les pattes relevées en appui sur mes épaules, je vois me teub entrer et sortir de son trou pendant qu’il se branle sa petite queue de céfran comme un malade. Son regard est planté dans le mien et je peux y lire tout le vice que je lui mets dans le sperme. J’accélère le rythme et je sens mes boules qui commencent à bouillonner grave. Je me retire d’un coup sec, je vire la capote et je me branle le zeb devant son zen. Un bon coup de rein en avant et je lui asperge la face de sperme crémeux. Cédric ouvre la bouche et se lèche les lèvres comme pour se rassasier de mon jus et jouit en même temps en se crépissant le ventre de flaques poisseuses. Il se tortille en gémissant de plaisir et me demande mon tel. - « T’as raison man, et tu veux pas qu’on se pacse aussi ! » Aussi sec je remballe le matos et je trace sans dire un mot. Il m’a pris pour qui ce keum : je voulais son cul, je l’ai eu, salut !