Histoires de sexe

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CA BOURGEONNE AU BOIS DE BOULOGNE
Histoire gay publiée le 22/10/2023
Le printemps est de retour et faut croire qu’on est vraiment des animaux. Dès le soleil pointe le bout de son nez, les mâles en manque de sexe pointent le bout de leurs queues dans les sous bois. Tu me connais, cousin, j’échappe pas à la règle ! Moi mon coin favori pour les bons plans dépraves en plein air, c’est le Bois de Boubou. Des hectares de forêt pour des kilomètres de plaisirs interdits, de longues allées sombres où ,se croisent des travs en tenue légère, des lascar en manque de pilon, des bons pères de famille qui cherchent à se changer un peu de bobonne. Je kiffe de traîner des heures entières à travers les chemins crades où s’exposent les kleenex humides et les capotes usagées. A chaque croisement, des ombres de keumés en rut se frôlent, s’isolent, se cherchent et souvent se trouvent. Et si y’en a un que tu peux trouver facilement, c’est bien moi. Quand Scarlaone est dans la place, c’est obligé que tu passes ! Quand je zone dans le Bois de Boubou, chaque mecs croisés est une proie potentiel pour calmer mon zob et assecher mes couilles. Toute façon il fait tellement sombre que tu peux jamais savoir si t’as à faire à un top model ou un cageot, seules les sensations comptent. Je m’arrête derrière les fourrés quand j’aperçois des keums en train de niquer et je kiffe grave d’aller m’incruster pour me chauffer la teub devant les keums en action. La semaine dernière je me suis retrouvé avec douze keumés en branle devant un trav en train de bouyave un quadra en costard. T’aurais vu le papa le bène en bas des jambes à se faire déchirer par le travelo les seins à l’air, du délire !!! Après quelques longues heures à mater tranquille tous les plans les plus hard qui se passent dans les coins sombres, j’ai le teub en feu et il est temps que je me soulage. Si ça tombe sur toi man, prépares toi à plus t’asseoir avant une semaine. Dans ces plans là, pas de blabla. Je chope un keumé derrière les fourrés et je le fous à genoux devant oim pour qu’il me pompe bien à fond. Je lui coince la tête avec mes mains et je lui défonce la face à grands coups de zboub. Puis j’attaque les choses sérieuses : je retourne le keum contre un arbre et je lui descends le fute sur les chevilles. J’enfile une capote vite fait et je le bouyave comme un psychopathe, sans pitié. Je veux qu’il gueule comme une meuf, qu’il se tortille de douleur et de plaisir au bout de ma grosse teub. Je nique à grands coups de reins jusqu’à ce que mes couilles viennent taper contre le boule qui m’est offert. Je tire le keumé par les cheveux et je lui balance des insultes dans le creux de l’oreille pendant que mon souffle rauque caresse sa nuque. En général je suis tellement och devant tout ce que j’ai pu mater que je mets pas longtemps à venir. Un petit quart d’heure de dosage intensif et je remplis la capote de jus avant de la balancer dans les fourrés. Je laisse ma proie effondré sur le sol, le cul en feu sans même lui dire un mot ; Je remballe le matos et je repars à l’aventure dans les allées sombres, histoire de voir si y’a moyen de remettre ça. Alors fais gaffe à toi si tu vas traîner un soir au Bois de Boubou, si tu tombes sur moi, tu t’en remettras pas !