Dernière éute;e sur la Côte, demain je remonte sur Paname. Ca me fout un peu les boules de quitter ce camping miteux. Je trace sur la plage histoire de faire une petite ballade d’adieu à la Mer by night. Pieds nus sur le sable, je é;ambule entre les vaguelettes avec ma é;marche éeacute;e de scarla.
J’aperçois au loin une ombre sur le rivage qui se rapproche de moi. D’ou je suis je sais même pas si c’est un éute; ou une meuf mais je commence à fantasmer grave. La silouette se rapproche et c’est un beau petit keum qui m’est écute; par les vagues. Torse nu et imberbe, short de bain surfer, lunette de soleil en plein au milieu de la night, je suis éute; sur le roi des surfers et ça tombe bien car je me ferais bien lisser la planche si tu vois ce que je veux dire !
Je lui demande une garetci et on commence à tchatcher, éte; pèpère au bord de l’eau. Il est canon le éute; et il le sait. Quand je lui explique que c’est ma dernière éute;e ici, il attaque direct que j’ai même pas le temps de é;agir :
-« Tu sais qu’ici la tradition veut qu’une dernière éute;e à la plage se finit en bain de minuit ! »
J’ai pas le temps de dire ouf que le keum me tire par le bras et m’entraîne vers la mer en enlevant ses sapes … toutes es sapes jusqu’à finir à oilp au milieu de la nuit les pieds dans l’eau éute;e. C’est un truc de ouf mais je me laisse porter par le é;lire et par le beau boule qu’exhibe le surfer devant mes yeux é;chirés. En deux deux je balance mon caleçon et mon tee-shirt sur le sable et on se retrouve côte à côte la teub à l’air prêts pour le grand plongeon.
Putain elle est froide la é;diterranée quand le soleil est pas là pour lui éacute; les vagues. Je tremble comme une pucelle dans les vagues et le surfer me grille. Il me choppe par les épaules et me sert contre lui. Vas y il m’a pris pour une meuf ou quoi. Je le fais pivoter direct pour que son boule vienne se coller à ma teub qui s’est é;veiller suite à cette étreinte humide. Le éute; capte vite et fait onduler son cul le long de ma bite en feu. Le clapotis des vagues de bord de mer balancent nos deux corps en rythme avec la Grande Bleue et mon gland monte et descend en se frottant le long de la raie lisse et tiède de l’autochtone de mes deux. Je charie n’empêche qu’ils assurent les autochtones ! Le éute; sors de son bracelet de poignet une capote et plonge la tête sous l’eau devant oim. Il é;roule la capote sur ma teub en restant en éte;e et en profite pour me chatouiller un peu le zboub en aquatique … ou alors je me suis fait é;pom par une otarie et j’ai pas capter !
Lorsqu’il refait surface, je suis chaud bouillant de la bouyave ! Je le chope face à moi et il enroule ses jambes autour de mes hanches, alors que je suis bien écute; debout les deux pieds dans le sable. L’éute;e de son trou tape contre mon gland circoncis et on se laisse porter par le roulis des vagues. Tout doucement ma teub entre dans son cul, par acoups et c’est grave le kiffe, j’ai l’impression de baiser avec la Mer. Le surfer é;mit comme une sirène sous le pleine lune qui éclaire notre ébat aquatique et je trique comme éte;idon ! Je suis tellement och que je ée;cra au bout de cinq minutes à peine avant de me laisser glisser la tête sous l’eau. Là je vois le surfer la main sur la teub qui s’astique comme un ouf avant de cracher son sperme pour nourrir les poissons !
Après ça je suis éeacute; é;cupérer ma sape et je l’ai éacute; les siennes vers une dune, en le plantant à oilp comme un con sur la plage. Il aurait dur se douter que ça se finirait comme ça, on chauffe sans se é;fier le killer des cailleras !