Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

DANS LE BORDEL
Histoire gay publiée le 16/04/2007
Putain c'est vraiment un temps de et je commence à en avoir marre grave!
Je prends la voiture un petit sac avec du rechange te je me barre dans le sud.
Cela ne fait pas longtemps que je suis éte; là bas, mais j'y retourne avec grand plaisir à chaque fois. Huit heures de route plus tard, j'arrive dans la capitale éute;enne. Au moins ici le soleil brille !

J'vais poser mon cul sur une terrasse d'un bar éacute; et je lirais les flyers mis à disposition des clients. J'ai celui de Citebeur sous les yeux et je vois qu'ils vont teuffer ce samedi soir dans la boîte homo de la ville. Good good, je pourrais descendre dans le labyrinthe de l'amour au sous-sol quant j'en aurais marre de la zique. En attendant le soir, je vais bronzer sur la plage des prophètes.

écute; à l'hôtel je me change et pars bouffer une pizza, histoire de ne pas avoir le ventre vide pour la nuit. Je me dirige vers le resto et voilà que j'croise un gars que j'avais pas vu depuis mon dernier passage. Il me reconnaît et se montre tout content de me revoir. On part prendre un verre dans un bordel selon son souhait. J'ai vite compris qu'il souhaitait remanger de ma saucisse, et je suis pas contre cette ée;e.
écute;s dans l'endroit nous choisissons une cabine assez grande pour nous ébattre en toute éacute;s. Je ferme la porte et commence par lui palper son joli cul bien ferme et rond. Mes doigts sur son jogging dessinent sa raie et remontent entre ses couilles en é;couvrant qu'il commence é;jà à bander.

Lui cherche avec sa bouche à embrasser mon torse et fais traîner sa langue sur les quelques poils de mes aisselles.
Il é;mit comme une petite chatte et lappe le bout de mes seins.
Je le laisse doucement descendre jusqu'à mon éeacute; et lui é;voile celle-ci bien grosse, prête à être éeacute; goulûment. Sa bouche s'ouvre et prends entre ses lèvres toute ma tige d'un seul coup, laissant chez moi s'échapper un râle de satisfaction.
Sa langue butine le moindre centimètre de chair à sa disposition et provoque chez moi une érection que je n'avais pas connue depuis longtemps. Il me suce comme un dieu et ses mains me caressent l'éte;rieur des cuisses avec une douceur extrême.
élé devant moi je le laisse polir de sa salive ma queue avant de lui demander de faire de même sur mon cul. Il me regarde avec ses petits yeux joueurs et prend dans sa bouche, une puis deux de mes couilles. Puis lentement sa langue descend encore et sa tête s'enfouit dans mon entre jambe pour atteindre mon anus.

Je me retourne et lui donne mon trou de balle à nettoyer. Je kiffe bien et je ne pense plus qu'à l'enculer, que moi aussi je rentre mais plus éeacute;ment que lui, dans son éeacute;. Je lui demande de se pencher sur le banc et de me montrer ses seuffes. Il se met à quatre pattes et tend son cul vers moi. Je vois sa rosette tout épilée et é;sireuse de se faire éclater. J'enfile une kpote et mets de la salive sur celle-ci et autour de son trou du cul. Mon vice naturel m'oblige p‚r commencer à le doigter avec un puis deux et trois doigts tout en sentant ses fesses avancer sur ma main.

J'enlève mes fingers et positionne ma teub pour une incursion en puissance et en règle. Il retourne sa tête et dans ses yeux je lis sa soif d'être éute; comme une chiennasse.
Mon gland rentre et lui arrache un cri. Mais il ne cherche pas à s'en aller, tout au contraire. Je pose ma main gauche sur son front pour lui faire lever la tête et se cambrer davantage pendant que la droite tient fermement sa hanche pour mieux guider le forage que fais ma bitte. Lui commence à se branler tout en é;missant de plus en plus fort. Ma queue écarte, dilate complètement son petit cul, et à chaque va et viens j'ai l'impression qu'il va exploser. J'ai grave envie de lui cracher dans les fesses mais je ée;fère me retenir pour faire durer le plaisir. Je m'enlève de son trou et lui impose de me sucer.

De nouveau sa bouche fait merveille sur mon pieu et d'un coup je m'enlève pour lui cracher sur la face pendant que lui joui par terre en poussant de grands cris. Mes mains finissent de le tartiner de foutre pour son plus grand plaisir.