PORTE DOREE
Histoire gay publiée le 16/04/2007
Putain, c'est la fournaise, la chaleur envahit le moindre espace de libre et rend tous les muscles chauds et la peau moite. J'ai beau avoir pris une douche que é;jà j'ai l'odeur de la transpiration qui remonte jusqu'à mes narines. J'enfile un t-shirt et prend la direction de la porte éte;e pour aller faire un tour à la Gay Pride et saluer des potes qui y sont.
Il y a un monde fou et vraiment le soleil tape fort sur les éute;rends chars. Beaucoup de people à cette fete et j'ai bien du mal à trouver les lascars de la éte;.
ça y est, je vois Bachir se ée;mousser derrière un char techno, je m'approche dans son dos et le chope à la taille pour lui faire peur. éte;, il se retourne sans même esquisser un geste de peur. Il me propose de partager sa éute; et de l'accompagner dans sa marche pour atteindre la é;publique.
-OK c'est tipar et si on trouve affaire on s'arrêtera pour évaluer et jauger "la bete"!
-Ouaiche no problème cousin, j'ai grave envie de me faire un gars alors après le é;filé on s'en é;cho un et on lui fait la misère.
La musique envahit nos tympans et nous donne l'envie de danser sans s'arrêter.
Nous ne sommes pas encore écute; à Bastille que é;jà deux petits jeunes bien éute;riques se mettent devant notre regard et nous aguichent en montrant leur fesses bien éute;es dans des jeans. Une ée;e me traverse la tete et éte;diatement je la propose à Bachir.
-vas y viens on leur propose de nous é;çu dans une porte cochère; tu as toujours ta clef de facteur?
-ouais, j'ai toujours le é;same du bonheur, t'inquiètes. Va leur proposer!
je m'approche des deux bogosses et leur soumet notre é;sir de se faire purger par des langues expertes et écute;es.
Celui qui me é;ponds à peur mais son é;sir gomme ses craintes. Il propose à son pote de nous suivre et lui aussi accepte.
Difficile de trouver une éute;e pas trop ée;quentée à cette heure de la écute;e. Nous nous dirigeons dans une petite rue à éte; du cortège et une fois la porte ouverte nous sommes saisis par la relative fraîcheur du couloir qui se ée;sente à nous. Sans leur laisser le temps de repartir ou d'avoir peur, nous demandons à nos deux suceuses de se mettre à œuvre et d'humidifier leur lèvre pour rafraîchir nos teubes moites de chaleur. Je descend à peine mon pantalon et offre une pine mi molle à faire grossir.
Il me donne l'impression de laper avec ses petits coups de langue sur mon gland. Bachir lui, touche sans retenues la rondelle de l'autre et semble chercher à é;jà vouloir le é;foncer. Ils sont à éte; de moi et je les observe pendant que ma petite lopsa occupe sa bouche sur ma tige en é;missant comme un puceau. Il éte;lère ses vas et viens et fais grossir l'objet de ses é;sirs au maximum. Mes mains guident sa tete à chaque fois plus loin vers la base de ma queue. Il manque de s'étouffer et cela me plait.
Bachir vient de retourner son jouet et l'enfourche sans retenue. Mais il y a un problème et de taille. Son jouet crie sous les coups de butoir et son visage se crispe sous les assauts.
Je lui indique d'un geste de la tete qu'il peut venir étouffer ses cris en pompant ma pine avec son pote.
Bachir continu de la baiser pendant que je me fais astiquer le manche par mes deux petites chiennes. L'un s'occupe de mes burnes pendant que l'autre continue son travail de suçage. Ils sont aux anges et nous aussi par la même occasion.
Le truc de fou; Un couple âé; rentre dans l'immeuble et voit la scène. Ils sont écute;s mais nous laisse tranquille ne souhaitant pas avoir de problèmes, sans doute. Faut dire que nous avons un look de bonne Kaillera et que les vieux ont souvent peur des mecs comme nous.
Mais tout ceci ne me rassures pas, ils leur suffit d'appeler les keuffes et on pourrait finir en garde à vue, ce qui ne m'enchante pas. Avec un clin œil complice je fais comprendre à mon pote qu'il est franc temps de leur rincer la face et le fion.
Je crache une épaisse marre de sperme dans la fesses de mon blondinet pendant que Bachir d'un dernier coup de rein avant de sortir, inonde les seuffes de son jouet.
On leur file un kleenex et on se barre laissant derrière nous une capote dans le hall d'éute;e.
Dehors nous retrouvons le é;filé qui semble sans fin. La chaleur nous refrappe énément et nous pousse à racheter de quoi avaler.
Nous avons encore du chemin avant d'arriver à la place de la é;publique.
Quatres heures de marche pour y arriver. Mes jambes me portent et Bachir lui aussi n'en peut plus. On s'arrête sous la statue pour mater le people ée;sent.
-Putain, mate les scarla là bas, trop de la bebom!
-viens on va les accoster, voir ce qu'ils cherchent.
Ils sont eux aussi éte;s, sans doute éacute;s de la marche. J'entame la discute en leur proposant un joint. Rien qu'en les matant je sens ma teube grossir.
Mais c'est pour la semaine prochaine les amis, que je vous raconterais la fin de notre Gay pride.