L'EGYPTIEN
Histoire gay publiée le 11/04/2007
Quand 3 Egyptiens sont venus emménager à l'étage au-dessus, je n'y ai pas tout d'abord prêté trop attention. Ils ne font pas ménage à 3 homosexuels arabes... mais c'est 2 frère et 1 ami qui bossent dans le bâtiment, ils font les plâtres et les papiers peints, et ils ont souvent les mains plus blanches que leur couleur de peau d'un beau marron doré... Comme il y a souvent de la musique de là-bas, qu'on l'entend sur le palier, mon attention a plus été attirée sur eux.
Un soir je sonne, on m'ouvre. Je ne sais plus trop quel prétexte je trouve, on me fait entrer... Je me présente : le voisin du dessous... Comme je m'y attendais, ils sont très accueillants. Assez vite je me retrouverai à manger avec eux. Des repas assez sobres il faut dire, mais remplis de chaleur et de rires. Ils feront chacun un tour chez moi, juste pour emprunter un tournevis ou voir comment c'est chez oim. Comme ils ne parlent pas très bien le Français et qu'ils apprennent sur des livres à usage des migrants (non, ce n'est pas Mamadou et Binetta), je me retrouverai aussi à faire un peu de lectures avec Gamil, Ashraf ou Réda. Il y a des planches : l'homme, la femme, le corps humain, le visage... Des fois, on me demande : " Et c'est quoi, ça ? ", et on me touche l'endroit du corps en question... Mais bon, on s'intéresse aux diverses parties du corps, aux oreilles, aux mains, aux 4 membres... mais on reste sage, et l'on fume le narguilé en regardant les émissions égyptiennes à la télé... Un beau jour (et beau est bien le mot qui convient), Ashraf est parti un peu plus loin dans la ville, et est arrivé Makhlouf, un cousin. Jusque là, je les trouvais gentils et bien faits les Egyptiens, mais là, Makhlouf, c'est autre chose, il te fait triquer comme un malade !
Bien moulée, une belle gueule encore plus éclatante quand il sourit en s'apercevant que je le regarde un peu trop sans pouvoir décoller mes yeux... Au début, tout s'est passé comme avec les 3 autres, mais une fois qu'on était sur le canapé et qu'il m'a demandé : " Et c'est quoi ça ? ", il a mis ses doigts sur mon sguègue... Waouf ! Tout d'abord je suis resté tout drôle, j'ai senti que mon sboub était à l'étroit... Il a descendu sa main sur ma cuisse, la caressée, et, avec son autre main, il a pris la mienne et l'a posée sur la qui enflait son fute. Il a redit : " Et ça c'est quoi ? ", il s'est marré puis en s'approchant il s'est mis à me rouler un palot... j'ai senti sa main qui commençait à d boutonner! ma guetbra... Là, j'en pouvais plus, je lui ai xxx sa ceinture et son falzar : son slibar était gonflé à donf... Je suis resté un moment à regarder la , et j'ai approché ma joue contre et la frottais. Son sguègue prisonnier, il n'en pouvait plus, il a baissé son slip... et là j'ai vu le morcif ! Le salop, que je me suis dit ! Un de ces beignets maousses-costauds, de bonne taille et bien épais, avec de bonnes grosses boules qui pendent mais fermes en même temps... Il s'était rasé...
Je me suis rapproché et lui ai baisé le ventre, le pubis, le chibre, les yocs, en lui caressant les cuisses et les fesses. Comme il était tout frémissant, il s'est laissé choir sur le canapé. Je devenais fou... je ne savais plus si je voulais le branler (un morceau comme ça, tu parles !), ou tout de suite me l'engouffrer (il avait de quoi me ratisser la gueule...) Mais comme il s'était allongé, il ne pouvait pas me donner des coups de reins, alors je lui ai lutiné son chibre, d'abord en l'excitant encore plus en passant mes doigts écartés sur ses cuisses, puis je me suis mis sur le canapé en face de lui, qui s'était écarté les jambes... Je lui ai fait la sucette dans tous les sens possibles... malaxé les yocs, affûté son roseau... rebaisé, reingurgité jusqu'au fond de la gorge, astiqué le gland avec ma langue frétillante... Son morceau est vraiment lourd et balaise, ça fait quelque chose d'avoir ça en main : je décide enfin de lui branler ça, en lui resuçant de temps en temps, un truc comme ça ça se besogne avec fougue... Et soudain, voilà qu'un jet rude part s'écraser et s'étaler le long du mur contre lequel se trouvait le canapé ! Ça nous étonne tous les deux, et on se marre comme des cons pendant que je lui finis son foutage (y'avait vraiment du foutage dans l'air !) D'autres jours, Makhlouf descend chez oim, mais c'est pas pour tourner les vis... (pour une autre fois).