Histoires de sexe

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CAGE D'ASCENSEUR
Histoire gay publiée le 11/04/2007
Je suis une vraie tepu, ou une bonne lopsa comme disent les rebeus. Eux, ce qu'ils kiffent, c'est une bonne gueule comme la mienne qu'il leur faut pour gicler tout ce qu'il ont dans leur suvet. Mais avant quand les rebeus étaient pas encore des scarlas en costla, mais juste des keums bien auch prêts à défoncer le cul et la bouche des keume comme moi, Je kiffe grave les rebeus, ce sont des mecs trop auch qui savent niquer mortellement bien c'est pour ça que je suis accros. Quelquefois j'en veux même à ma reum et mon daron de pas avoir donnée des chromosomes du Maroc, de Tunisie ou d'Algérie, et d'avoir fait de moi un ptit gars juste bon à se faire niquer dans tous les sens.


La première fois, j'avais 19 ans, dans un putain d'ascenseur en panne ouai, tu penses « ce mec est mytho » mais tout est vrai, de la pure vérité, man ! Donc c'était dans un putain d'ascenseur, en plein été, chaleur à crever. Je passais mon temps à mater les pures keums de mes rêves en train de jouer au foot sur le terrain de la cité d?à côté. Kamel, Youssef, Farid, Sami, Kader et des dizaines de keums aussi bandants les uns que les autres. Alors moi, ptit céfran de , j'suis là, accroché à un grillage à mater. J'me prend le ballon, j'me fait insulter « pédale ! casse-toi enculé ! ». Et là, plutôt que de me barrer, je leur fait un doigt. Putain ! La meute au cul, je détale comme un lapin. Encore trois derrière mes fesses, deux, puis plus qu'un. Une entrée d'immeuble, j'entre, trouve pas l'escalier. L'ascenseur est là, portes ouvertes, prêt à! partir. Et moi comme un con, j'entre dans la petite boite. Je me retourne, il est là, me pousse dans le piège. Les portes se ferment. L'ascenseur grimpe, mais je m'en rend pas bien compte.


Le keum vient de me foutre son poing dans la gueule, je suis sonné. Le « monte charge » s'arrête d'un coup. Mon agresseur s'en branle, y me tape encore, m'attrape par le col et me regarde droit dans les yeux. « Putain ! des ptites lopes comme toi, j'en ai niqué des tas ». Il a entre 20 et 22 ans, je le kiffe grave de chez grave. Je bande. Il s'approche encore et son survet est collé à ma braguette. Je transpire comme un ouf. Ascenseur bloqué. Le keum m'attrape la nuque et me pousse vers le bas, contre son survet qui a gonflé en deux minutes. J'suis tisé, je pense plus qu'à sa teub. J'suis à genoux, il a sorti son zob et me tape sur les joues avec. « Tu nous a fait un doigt, taleur, j'vais t'faire payer salope suce ma teub! ». Elle est grosse. J'ouvre la bouche et il pousse sa teub au fond, elle glisse ! sur ma langue, touche sur mon palet et entre entière. J'attrape ses boules, elles sont pleines, c'est sur. Je suis puceau, mais pour une première, j'crois que je me rde pas trop mal. Il passe son t-shirt au dessus de sa tête. Ses muscles sont tendus. Je le regarde dans les yeux, il'm'traite de petasse, écrase ma tête sur lui et balance trois, quatre giclées sur ma gueule. .


Moi aussi j'ai joui, sans rien faire, dans mon froc. Pas le temps de reprendre mon souffle, il me retourne, baisse mon fute en me traitant de pédale et me fout à quatre patte, comme une chienne. Putain d'ascenseur bloqué. Il crache de la salive sur ma rondelle vierge. Je sens son zob contre mon trou. Il pousse d'un coup et me défonce. Il se retire et replonge dans mes entrailles. Je gueule pas. De toute façon, il m'écrase la gueule sur le sol crade. L'ascenseur redémarre. Cinq secondes, dix secondes, quinze aller-retour dans mon cul et il joui sur mon cul. trop chaud son sperme Il remonte son survet. Moi, comme une chienne en chaleur, je reste sur le sol de l'ascenseur. Les portes s'ouvrent. 15ème étage. Personne. Il me regarde. Se marre. Me balance un coup de pied dans les côtes et appui sur le bouton « 3ème sous sol ». La cabine descend. A chaque fois que je veux me rhabiller, il me tabasse et me traite de salope. 2ème, 3ème sous sol. Les portes s'ouvrent. Et là toute la bande attend devant l'ascenseur....