Trottoir
Histoire gay publiée le 11/04/2007
11 heures. Le froid de la nuit commence à être saisissant. Mais ça m'empêche pas de traîner le long de la Seine, vers le périf. Moi, je suis bien cho et j'adore me faire sauter par des blacks et des beur bien montés. Ca c'est mon côté chienne. Je dois dire que je me défends pas mal, du style bien sportif avec des cuisses méga musclées et une gueule d'ange : cheveux très courts et yeux bleus. Donc, je suis sur les quais à mater comme un ouf. Que des vieux ou des follasses. Pas du tout mon style. Moi, j'ai besoin de vrais males. Alors je décide de changer d'air et je prends la rue qui pars vers l' imprimerie.
Justement, alors que j'commence à désespérer, je vois sortir un bo lascar du parking de l'imprimerie. Il doit avoir dans les 27ans, plutôt grand, genre 1m83, avec des cheveux hyper courts et sourcils denses et noirs. Son nez est grave bo, bien viril, et deux yeux noirs qui font grave peur. Au moment où je le croise, c'est clair que je mate son cul musclé dans son survêt noir . A voir sa carrure, c'est sûrement un mec super sportif. C'est dommage, je suis quasi sûr qu'il s'est déjà vidé les couilles. Dommage, je lui aurais bien fait la vidange moi même. J'aurais bien fait mon dîner de son sperme sur ma gueule. Mais j'arrive trop tard. C'est là que j'me trompe. Ni une, ni deux, il se retourne sur moi et il voit bien que mon cul musclés est serré et accueillant. " Eh mec ! tu cherches quoi dans les parages ?" il me demande avec une voix grave, bien viril. Je suis un peu décontenancé, mais j'arrive quand même à lui balbutier une connerie du style " des rencontres sympas ".
Vla alors qu'il vient vers moi et qu'il se rapproche tellement que je sens son odeur virile, un mélange de déo et d'une douce sueur, une sorte de fragrance masculine, bourrée d' hormones males. " ouais, je crois que tu vas aimé ce que j'ai dans le survet, c clair alors, j'ai les couilles bien pleines ". Il baisse alors son fut, là, en pleine rue, à la lumière d'un réverbère, et je vois une très belle queue d'environ 21 cm, surtout bien droite, bien mate et circoncise. Elle ressemble surtout à un dard pas vraiment humain, un morceau de chair mouillé et gonflé, et super dur aussi. Là, dans la rue, il me met la main derrière la nuque et me puissance à descendre devant son chibre. Je lui lance alors des petits coups de langue sur son gland. J'en apprécie le goût sucré, bien existant au possible.
Pendant que je lui caresse les couilles, je fait glisser mes lèvres sur le bout de son chibre et je répartis bien la salive sur toute sa queue. Le mec est du genre à bien aimer ça et à le montrer !!! Il gémis doucement. D'un coup d'oeil, je le vois lever la tête, et vénérant le ciel alors que je vénère sa queue. Il ferme doucement les yeux et souffle comme un taureau qui commence à s' échauffer grave. Son gland est bien gonflé, et je sens aux pressions de sa main sur ma nuque qu'il aimerait faire profiter toute sa queue de la chaleur de ma bouche.
Pour son plaisir, pour lui arracher des râles de bonheur, je gonfle mes poumons, écarte légèrement mes lèvres et descends doucement sur toute la longueur de la bite. Je sens le gland frôler mon palais, exciter ma glotte, et toucher le fond de ma gorge. Je la sens inviter ma gueule et je kiffe trop quand elle m'arrache des larmes en finissant au plus profond de ma gorge, ses couilles calées sur mon menton. Il lâche un " yééééé " encourageant en se penchant en avant, serrant maintenant toute ma tête de ses 2 mains et la calant bien le plus près possible de ses abdos. Moi, j' entame alors un va et viens cho de son gland dans le fond de ma gorge. Plus j'accélère, plus mon rebeu gémit. C'est un reservoir de sperme qui m'attend sur la gueule ! Une voiture passe au loin, je lâche sa queue qui est encore plus excitée par ce mouvement rapide, et je me lève. Je lui demande " tu vas pas qu'on aille dans un endroit plus discret ? " et il me répond " ok, j'espère que tu sais ce que tu veux. On va dans le parking de l'imprimerie. Ca va être Noël pour toi ". " Pas de problème " et je le suis dans la pénombre.
Là, il m'annonce la couleur : il va me larguer le foutre profond. Je me mets devant lui et recommence à biberonner son dard. Maintenant, ma gorge s'est élargi et je me donne à fond. Il m'attrappe encore la tête et donne une grande poussée avec ses fesses musclées. Les abdos contracté, il me perfore la gueule. " Hannn, c trop bon, il gémit. Vas-y avec ta langue ". je m'applique sur son chibre bandant à mort, bien serré par ma gorge et ma langue sur toute sa longueur. A ce moment, il accélère ses mouvements, me percute la gueule, la gave, la défonce, il a les muscles bandés, il transpire et beugle " putain, c bon, je vais lacher la purée, ça fait des jours que j'attends ça, t'es ma bouche perso, mec, putain ça vient, putain ça monte ! ! ! " et là, je sens 3 à 4 énormes giclée sur ma gorge et autour de ma grande bouche . Il est cramponné à ma tête. Il m'attrappe le menton pour bien me guider sur son pieu qui balance la purée. Et ça continue encore, je pers pas une minute et il me donne tout son foutre grave profond sur ma tronche . Il gémit et continue de inviter ma gorge . Finalement, je sens son souffle haletant, il se retire un peu mais redonne un cou de rein bien profond. Il fait ça encore 2 ou 3 fois et se recule trankil, en disant qu'il kiffe grave. Le plus dingue, c'est qu'il tourne ma tête à droite. Je suis son regard et j'en reviens pas ! un black nous matait depuis le début ! ! ! Le mec est assez grand, 1m80 comme le beur. Cheveux rasés. Assez sec. C'est bon signe, les mecs secs sont souvent gaulés comme des ânes. Et paf, j'avais bien vu. Le mec s'approche. Le beur lui dit de se rapprocher encore et lui jette : " il a une gueule chode et profonde. Profite mon pote ". Le black répond un truc que je comprend à peine avec un accent africain grave. Il habiterait dans un foyer proche.
C'est clair, c pas une tapette à la con. C'est un étalon. Il défait son fut, je tombe sur son caleçon. Le black bande déjà a fond. ET non, il descend son calebard et en fait, sa bite est à moitié molle encore, mais mesure déjà bien 19cm. alors je la prends dans ma main sans rien dire, et je la vois gonfler et prendre des centimètre. Elle gonfle à vue d'oil et je vois apparaître un morceau comme jamais j'en avais vu : 25cm ! ! ! large et circoncis, droite un peu courbée vers le bas. C'est le début des festivités. La beur est resté pour mater. Il se met derrière moi contre ma nuque. Je mets la gland du black sur mes lèvres. Hum, elle sent le black. C'est un mélange d'une odeur de cuir et de propre.
Et puis y a encore l'odeur du sperme du beur, parce qu'il a beaucoup craché sur ma gueule et qu'il m'en reste encore. tant mieux ! la bite du black se mélange à cette odeur de sperme qui me colle a la peau . Le beur me tiens la nuque avec ses genoux, il mes ses mains sur les fesse du black et crac, il me plante les 25cm dans la gueule, bien lubrifiée par la grosse pine du rebeu. Et c'est reparti. Le black, il veut son kif. Il pense qu'à ça et il me pine la gueule. C'est énorme, je suis un jouet pour lui, il est un taureau. Il beugle comme un animal, je sens sa queue hyper dur maintenant. Je vous jure, une bite comme jamais vue ! ! ! il la dirige avec précision. Je me sens comme un vraie vide couilles.
Et là, justement, le black se plante au plus profond, et je sens qu'il est pris de spasmes. il se retire de ma bouche pour me balance son jus de bête sur la tronche. Le black est devenu une vraie bête. il reste comme ça de longues secondes sans bouger. Je sens juste sa bite gonfler à chaque jet de foutre. C'est comme un battement de bite, et moi je suis une chienne. Quand il enlève sa queue, elle est moins dure, mais toujours 22cm ! elle luit, elle est brillante du mélange de son sperme et de la salive de ma bouche. Oui, trop kiffant. Le beur se refringue et se tire. Il me promet de revenir dans le quartier, sur les quais d'Austerlitz avec des potes beurs montés comme des démontes pneus. La black a encore le souffle de la bête satisfaite. Mais il me dit quelque chose. Je comprends encore pas bien, mais je crois qu'il me dit de le suivre. Je le suis. Et en fait, je comprends qu'il m'emmène dans son foyer. " j'ai des copins gros sexe pas baizé 3 semaines ". La nuit n'est pas finie.