Ca caille les rats 3
Histoire gay publiée le 11/04/2007
Déjà, la troisième aventure vécue que je vais vous raconter. Ça passe vite. J'étais toujours à ce moment dans le même immeuble et toujours voisin de palier d'Hafid. Trois mois s'étaient écoulés depuis la première aventure. J'avais revu Frank (voir l'épisode précédent) mais toujours pas Rachid ni Lamine. Hafid venait toujours régulièrement me voir le soir, toujours pour se soulager de multiples façons. Frank avait dû lui raconter ce qu'il m'avait fait car lui aussi, maintenant, quand il venait me voir, il voulait parfois me pisser dessus et surtout que je nettoie de ma bouche et de ma langue son gland encore mouillé.
Un soir, Hafid est arrivé, mais cette fois il n'était pas seul, j'ai été surpris de revoir Lamine, l'Africain que j'avais déjà rencontré. Il était toujours aussi grand et mince et avait troqué sa djellaba contre un survêtement et des baskets. Hafid était, comme à l'habitude, vêtu d'un jean, noir cette fois, et d'une chemise blanche. Nous avons bu un coup, eux deux assis sagement sur les deux fauteuils et moi sur le canapé. J'étais surpris qu'ils ne m'aient pas encore sauté dessus. Ils se racontaient leurs histoires, s'intéressaient même à mes études et me demandaient comment j'allais. Puis ils ont dirigé la conversation vers la séance de l'autre fois : comment j'avais ressenti ça ? est-ce que j'avais eu mal ? est-ce que ça a duré longtemps ? Je ne savais pas où ils voulaient en venir mes, j'ai été obligé de leur dire que j'avais eu mal a mon cul pendant 15 jours. Je voyais bien que cette conversation commençait à les exciter. Ils se touchaient régulièrement le sexe à travers leurs pantalons et, si le jean d'Hafid était bien trop serré, le bas de survet de Lamine laissait apparaître une déjà impressionnante.
Moi aussi, même en me souvenant des moments durs que j'avais vécu pendant et après cette douloureuse aventure, je sentais ma queue durcir dans mon jean. Je n'avais pas mis de caleçon et je n'avais qu'un teeshirt en haut. C'est Lamine qui a craqué le premier en baissant son pantalon ; « Putain, il me fait bander ce con, en nous racontant son abattage ; combien il s'est pris de mecs ce jour-là ? » Hafid lui répondit « Moi aussi, je bande en imaginant son cul éclaté. Frank me dit qu'en plus il était recouvert de foutre et aussi de quelques traces douteuses qu'avaient laissé les bites ! Qui sortaient de son cul. Frank a pas su me dire combien il y en avait mais c'était presque tous les mecs du foyer, tu sais, les vieux et moches qui trouvent pas de meufs ou alors que des putes. » Je venais donc d'apprendre quels étaient les mecs qui s'étaient soulagés dans mon jeune cul.
Puis Hafid s'est levé, disant qu'il avait une idée. Il est sorti. Pendant ce temps, Lamine s'était mis a l'aise, c'est-à-dire qu'il avait carrément xxx son bas de survet et son caleçon et qu'il caressait sa longue queue noire et tendue. « Viens donc, me dit-il ! » C'est sans rudesse du tout qu'il a dirigé ma tête vers son membre circoncis, bien entendu, je me suis laissé faire. Je ne pouvais pas le prendre en entier dans ma bouche, bien sûr mais je léchais tout le long de la hampe où passait la langue juste sur le gland qui, lui, pouvait pénétrer dans ma bouche. Lamine s'est bougé un peu! a plus relevé ses fesses et m'a demandé de lui lécher le cul. Je ne sais pas s'il l'avait fait exprès mais soit il venait de chier avant d'arriver soit il c'etais mal essuyé mais l'odeur de était très forte et j'ai eu un mouvement de recul. Il s'est alors aidé de ses mains pour appuyer son cul sur mon visage, ma langue juste au niveau de sa rosette que j'ai entrepris de lécher, les poils frisés qui l'entouraient ont tous été nettoyés par ma langue. Puis j'ai entendu Hafid revenir. Lamine m'a laissé m'extraire du dessous de ses fesses.
Hafid était revenu seul, mais il avait un appareil photo à la main. « J'ai galéré pour trouver un polaroïd dans l'immeuble mais le cousin du 5e me la prêté contre presque rien. Ben Lamine, t'as déjà commencé ? »Puis Hafid me demande de me déshabiller pendant que lui aussi enlève son froc et sa chemise. Lamine en profité pour enlever également son haut. Nous sommes maintenant tous les trois à poil. Lamine se couche sur le canapé et m'ordonne de revenir le sucer, sa bite n'a pas molli et se dresse encore a au moins 23 cm de son ventre. Hafid, lui, a pris l'appareil photo et nous fixe. Lamine lui dit « Surtout tu prends pas ma gueule, hein ? » « T'inquiète pas Lamine, tu sais bien, ce que je veux c'est prendre seulement la gueule de la petasse et montrer ce qu'elle peut faire »
Je proteste que moi non plus, je ne veux pas qu'on me voit le visage. « Toi, tu fais ce qu'on te dit de faire, et tu fermes ta gueule » me répond Lamine dans un grand éclat de rire ! Il reprend ma tête pour fourrer sa bite dans ma bouche pendant que Hafid, derrière moi, se positionne pour m'enculer. J'ai d'abord le droit d'avoir un puis deux doigts dans le cul, puis un peu de salive et déjà la bite d'Hafid appuie sur mon trou et pousse rudement pour me pénétrer. En trois ou quatre coups de rein, sans s'occuper de mes cris, je suis empalé par son pieu alors que la bite de Lamine essaie de trouver le fond de ma gorge. Puis Lamine se lève et lui aussi, se met à photographier la scène. Il est face à moi et au moment où il prend la photo, Hafid, de sa main droite, me soulève la tête par les cheveux pour qu'elle se retrouve face à l'objectif !
Je suis toujours à quatre pattes, pilonné par la bite d'Hafid, quand Lamine me met devant mon visage, sur le sol, une de ses chaussures. « Lèche, me dit-il ». M'éxécutant, Lamine prend une nouvelle photo de moi, en gros plan, en train de lécher une de ses skets, crade, puante et boueuse, tout en me faisant enculer par son pote. Hafid s'est ensuite retiré de mon cul, avant de jouir. Je m'attendais maintenant à recevoir l'énorme pal de Lamine dans mon trou de balle. Je fus donc surpris qu'il continue à prendre des photos pendant qu'Hafid, lui, s'installe à côté de moi et commence à me donner des claques sur les fesses, tout d'abord assez doucement mais bientôt de toutes ses encouragements. Il se déchaînait aussi de la voix : « T'es vraiment une salope, hein ? On te laissera tranquille quand tu seras vraiment notre lope à tout faire, notre esclave, notre trou à bites Quand il aura cessé de frapper, plus à cause de la douleur qu'il ressentait aux mains qu'à cause de mes propres cris, il a laissé la place à Lamine.
Celui-ci avait pris sur mon pantalon, posé sur une chaise, mon ceinturon en cuir et c'est avec çà qu'il a commencé à me fouetter. La douleur était cette fois à peine supportable, d'autant que le cuir touchait Souvent les endroits les plus sensible, l'intérieur des cuisses ou encore mon anus sensible et dilaté. Hafid, lui, avait rapporté de la salle de bains des épingles à linge qu'il m'a installé sur les tétons. Lamine s'est alors positionné derrière moi et a placé sa queue à l'entrée de mon trou. Je ne savais pas où j'avais le plus mal, mon cul que Lamine distendait au maximum de sa large bite, mes fesses rougies que mon enculeur malaxait allègrement ou mes tétons qu'Hafid ait avec un plaisir évident. Ils ont encore joué avec moi un moment avant de se vider sur moi. Avant de partir, ils m'ont montré les photos, une dizaine environ. Sur aucune on ne voyait leur visage alors que, sur toutes, on pouvait me reconnaître dans les positions les plus soumises et les plus dégradantes. Il les ont emportées sans vouloir me dire ce qu'ils comptaient en faire ; mais ce sera une autre histoire !