CA CAILLE LES RATS II
Histoire gay publiée le 11/04/2007
Encore une histoire vécue et j'espère que vous l'aimerez aussi. Il faut quand même que je me présente. Je m'appelle Michel, j'avais à l'époque 25 ans et j'étais plutôt bien gaulé, 1m76 pour 68 kgs, une musculature fine mais présente. J'habitais toujours dans l'immeuble dont j'ai parlé dans la précédente aventure et, bien entendu, Hafid était toujours mon voisin de palier. Et ce n'etait pas pour me déplaire ! Il recevait peu de visites et parfois, une ou deux meufs, plus souvent quelques potes, mais je n'avais pas encore revu les 3 keums qui s'étaient amusés avec moi la fois précédente.
Depuis ce qui s'était passé, Hafid n'hésitait plus à venir de temps en temps me voir, presque toujours sans me prévenir, simplement quand il en avait envie. Je devais juste faire ce qu'il voulait moi j'etais content, et je faisais tout ce qu'il me demandait. Vous imaginez quelles étaient ses exigences si j'hésitais ou refuser, il me rappelait qu'il pouvait me casser auprès de tous les gens de l'étage. De toute façon, la plupart du temps, ce qu'il me demandait, j'étais plutôt content et excité de le faire !
Le plus souvent, il sonnait et dès que j'ouvrais, sans me dire bonjour, ni même un seul mot, il allait s'affaler sur le canapé et me montrait sa braguette. Je savais ce que je devais faire. Je m'approchais, me mettais à genoux entre ses jambes, ma tête à hauteur de son bas-ventre. Il ouvrait sa braguette lui-même et sortait sa queue déjà raide. Je la léchais de ma langue sur toute sa longueur, plusieurs fois de suite, comme pour la nettoyer de ma salive. Il avait les yeux fermés, toujours silencieux. Je le suçais longtemps, parfois, il descendait son jean et je pouvais ainsi lui lécher les couilles, je sentais son odeur forte de fin de journée .après avoir jouit sur ma gueule Il partais juste après, parfois me repoussant d'un coup de pied, parfois me demandant à avaler avant ! de partir. D'autres fois, bien entendu, c'est après mon cul qu'il en avait. Il ne prenait là aussi que son plaisir sans jamais s'occuper du mien.
Je bandais pourtant tellement fort en lui tendant mon anus que j'essayais d'ouvrir au maximum pour ne pas avoir mal, car bien entendu, il était hors de question qu'il me prépare ; je ne devais être qu'un trou pour lui, son trou. Je vous raconterai peut-être un jour, si j'ose, à quel point Hafid a pu me transformer. Mais mon histoire d'aujourd'hui est un peu différente, quoique un soir, environ deux mois après notre première aventure avec ses copains, Hafid arrive chez moi vers 18 heures environ, je m'attendais à lui donner le plaisir qu'il souhaitait quand il me dit brusquement de me rendre tout de suite dans un café, pas très loin, à environ une demi-heure de marche de notre immeuble. Sans aucune autre explication. Un peu excité par ce " jeu de piste ", je décidais d'y aller.
J'arrive dans le café, glauque et presque vide, m'installe à une table et commande un café. Cinq minutes plus tard, je vois arriver Frank. Je pense que vous vous rappelez de lui, dans la première aventure. C'était un des trois copains d'Hafid, le céfran, bomec mais un peu crade. Il semblait avoir toujours le même jean, le même tee-shirt taché et le même sourire narquois.
Il n'y va pas par quatre chemins " Salut, ma petasse ! Toujours aussi salope ? " Puis il me donne l'ordre de me rendre a trois rues d'ici, à une adresse qu'il m'indique, de monter au 3ème étage et de sonner à la porte de gauche. J'y vais. Arrivé devant la porte, je respire et d'un coup et sonne. J'attends une minute avant qu'on vienne m'ouvrir. Devant moi, se tient un homme d'environ 50 ans, peut-être plus ou un peu moins, à peine grisonnant, de type maghrébin. Il mesure environ 1m70 mais est assez gros, son ventre recouvrant en partie la ceinture de son pantalon.il doit peser dans les 85 ou 90 kgs. Il sourit et m'invite à entrer. La pièce où nous pénétrons est une sorte de salon avec très peu de meubles, il me fait signe de me déshabiller et m'indique une chaise pour mettre mes affaires ; tout ceci sans prononcer une phrase. Je sens la panique m'envahir mais je ne vois pas ce que je peux faire d'autre qu'obéir, je commence donc à me désaper et, lorsque je suis en caleçon, il me fait signe de continuer.
J'accepte de me mettre à poil devant ce mec, mais je peux vous assurer que je ne bandais pas ! Puis l'homme s'est approché, toujours souriant, et m'a mis un bandeau sur les yeux je ne distinguais plus rien et l'angoisse montait. Puis il m'a conduit à petits pas vers ce que je pensais être une autre pièce, puis mes pas ont été bloqués par un obstacle, le bord d'un lit, vers lequel mon guide m'a poussé. Je me suis donc retrouvé nu, sur un lit, à plat ventre. Je suis resté apparemment seul 5 à 10 minutes, je me suis retourné, la situation commençait à bien m'exciter et ma queue était maintenant bien raide.
Puis il y a eu de forts bruits de voix, des rires, des phrases, certaines en français, d'autres que je ne comprenais pas, probablement en arabe. Et puis le premier est arrivé. Suivi de plusieurs, de beaucoup d'autres. Je n'ai jamais pu enlever mon bandeau, je ne sais pas leur nombre, leur physique, leur âge. Ils se sont succédé auprès de moi, une seule fois je crois, ils sont restés à trois avec moi et m'ont pénétré par tous les trous disponibles. Le reste du temps, c'est l'un après l'autre qu'ils venaient ; certains préféraient ma bouche, d'autres mon cul, la plupart voulaient les deux !
Au début, je prenais du plaisir, les premières bites qui me sont rentrées dans le cul, je tendais mes fesses pour qu'elles me liment plus loin et plus fort. Certains des mecs avaient du mal à bander alors je les suçais avec application, leur donnant une taille suffisante pour qu'elles me baisent bien. Ils ne m'ont jamais touché la bite, ne voulant que se satisfaire en moi et ne cherchant qu'à m'utiliser comme trou à bites. Je pense que la majorité d'entre eux étaient hétéros, mais avaient seulement besoin de se vider.
Mais, ensuite, au bout de plusieurs mecs, je ne sais plus combien, j'ai commencé à avoir mal, mon anus était élargi comme jamais ; certains d'entre eux avaient vraiment de très gros membres qui me déchiraient et je voulais que çà s'arrête la. Au bout d'un temps qui m'a paru interminable, on est venu me chercher et on m'a ramené dans la première pièce, on m'a xxx mon bandeau et j'ai pu me rhabiller. C'était encore l'homme du début, il était seul et souriait encore de la même façon, sa chemise sortait de son pantalon et je suis sûr qu'il faisait partie des mecs qui m'ont baisé. Il n'a rien voulu me dire, sauf de retourner au café, et m'a reconduit à la porte.
Au café, Franck était bien là ; il m'a regardé avec un sourire et m'a dit : " Alors c'était bon, salope ; tu t'es bien fait tringler ? Combien de queues t'as pris dans ton cul ? Allez, on rentre ! ". J'avais du mal à marcher tellement j'avais mal aux jambes et surtout au cul, chaque pas produisait une douleur à l'anus. Arrivé devant mon immeuble, Franck est monté avec moi, il est même entré avec moi dans mon studio, sans s'arrêter devant la porte de son copain Hafid, alors que je n'avais qu'une envie, prendre une douche ! Je suis parti vers la salle de bains, me suis déshabillé ; j'étais à peine installé dans le bac à douche que Franck est entré, la main à la braguette. " J'ai envie de me faire sucer "! Et il est sorti de la salle de bains après avoir soulagé son envie sur moi ! Une fois lavé, revenant dans la pièce principale, il n'y avait plus personne ! A suivre !.