ACCIDENT DU SCOOT
Histoire gay publiée le 10/04/2007
Y’a un truc qui est cool aussi pendant les vacances au blède, c’est que la vie est grave pas chère là bas. J’ai pas pu é;sister à louer un scoot pour aller tracer la route histoire de changer un peu d’air. Bon ok c’est pas le dernier modèle qu’il te propose mais l’eesentiel c’est de pouvoir tracer comme un ouf sur les routes é;foncées.
Sans casque, cheveux au vent, je m’éclate à rouler sur une route de misère en direction de la campagne. Je slalome entre les moutons qui squattent la route comme chez eux, je klaxonne pour faire bouger les vieux bledars sur leurs ânes qui rentrent de la ville, bref, je me la pète au guidon de ma é;cane d’occasion.
En pleine ligne droite je fonce à 80 à l’heure quand je rebondis sur un nid de poule. Le scoot é;colle, j’atterris avec le guidon de travers et je perds le contrôle. Un beau tout droit dans un arbuste à épines où je m’étale comme un con. J’ai éute; le scooter et je me suis bien éute; les jambes en tombant dans les ronces. Eh ouais le scoot sans casque et en bermuda sur les routes du blède, c’est écute; man !
Je suis assis à côé; de l’épave au moteur encore chaud à jurer ma race tellement j’ai mal. C’est alors que je vois é;barquer un jeune berger avec ses chèvres. Putain canon le zincou ! Il doit avoir 20ans, assez sec, écute; au soleil de là bas, et il avance vers moi dans sa djelaba blanche comme une apparition de fantôme.
C’est cool l’éité des bledars. Le mec a rien pour vivre mais il vient à mon secours et me rince les plaies avec son outre à eau sur ma jambe écorchée. Quand il se relève, dos au soleil, j’aperçois sa teub par transparence entre se jambes écute;es. éute; morceau le zinc ! Mon œil d’expert s’y trompe pas, il a une teub de 15cm au repos facile qui se balance entre ses jambes.
Fallait bien que je le remercie de son aide et de ses soins en urgence. Assis devant lui, je tends ma main vers sa djelaba et je commence à lui caresser le zeub à travers le tissu blanc.
En deux deux il a la pire qui monte sous se djelaba. Une matraque d’enfer qui doit faire 22 cm facile. Tu me connais, d’habitude c’est moi qui donne avec les éute; mais là je me sens redevable et j’ai trop envie d’aller biberoner cette bonne queue du blède. Je me fous à genoux devant lui, derière le buisson au bord de la route é;foncée et je faufile ma tête sous la djelaba. Une odeur forte et écute;e me remplit les narines et je sens sa main qui m’appuie sur la tête pour que je m’occupe de son zeub bien chaud et bien dur. J’enroule ma langue autour de son gros gland circoncis et j’aspire le morceau. Mmmm trop bon ! Le zinc lâche pas l’affaire et coince ma tête avec sa main pour m’enfoncer son morceau au fond de la gorge direct, ça doit faire un moment qu’il s’est pas fait sucer et ça doit le changer de ses chèvres !
Je s'essoufle au é;but mais il me chauffe tellement que j’arrive à engloutir le zbouby à fond en l’entendant é;mir en arabe.
J’éte;lère le rythme de ma bouche sur sa teub et il rugit de plaisir plus fort que le grandement de mon scoot avant l’accident. Je vois ses abdos se contracter d’un coup, ses couilles viennent se coller à son zboub et j’ai juste le tends de recracher le morceau qu’il m’envoie sept grosses éute;e de sperme de bledar sur le torse. Le petit berger a un bon bâton et il m’a éute; mon tee shirt de marque avec son jus. Mais putain quel pied cette sucette en bord de route. Après ça il m’aide à relancer la machine et me demande de le ramener à son village. éute; dans mon dos on trace tous les deux vers de nouvelles aventures.