Je monte sur le pont, il est 5 heures du mat et c’est parti pour 6 heures de éeacute;e. La mer est calme, la brise douce et je mate l’horizon éacute; à la rambarde en me palpant le zeub à travers le survête, tu me connais, och de chez och 24/24 ! Je kifferais trop de pouvoir niker un éute; sur la bateau là comme ça direct. Mais bon y’a des familles aussi c’est un peu och de faire ça ici.
Je é;cide de faire une visite complète du bateau histoire de faire passer le temps. écute; au niveau des cabines, je repère un petit cefran qui ondule du boule en marchant. Un dèpe c’est calir et net. Encore un gourmand qui va se taper des vacances dans le Maghreb pour se faire exploser la rondelle par mes cousins de blèd. Ben s’il veut du gros zboub hallal j’suis là …
Je lui emboîte le pas et je me colle à lui au moment où il va rentrer dans sa cabine. Il se retourne surpris et j’halucine quand il ouvre la porte. Je tombe sur mon pote Farouk du bus en train de kène un autre dèpe sur le pieu de la cabine.
- « Viens cousins ya de la chaudasse ici ! »
Ni une ni deux je pousse le cefran sur le pieu et je ferme la porte. Pendant que mon pote continue à pilonner son passif, je é;gaine mon zeub direct et l’autre cefran se jette dessus et se met à me biberonner comme un ouf en é;missant comme une vraie éute;.
Farouk me tend une capote en même temps qu’il é;chire le passif qui râle de plaisir comme une tepu. Il est derrière lui et le nique à grands coups de reins en lui donnant des claques sur le cul. Farouk entre et sort sa grosse teub par coup sec et je matte le trou s’ouvrir et se refermer pendant que la bonne bouche de suceuse me fait durcir le zboub.
Je é;roule la capote sur ma teub et Farouk se retire du keum pour se faire sucer par ma tarba. Je rentre direct ma teub dans le trou bien ouvert du deuxième et ça glisse tout seul. Il doit y avoir du vent dehors car le bateau commence à tanguer et ça donne un bon rythme à ma é;nétration massive. Mes boules claquent sur les fesses imberbes et éute;es et je prends un kiffe d’enfer, surtout que je vois Farouk éacute; la bouche du deuxième é;fran en lui tenant la tête. Des bons de teub comme s’il é;fonçait une chatte ! D’un coup il se retire et asperge la face de grandes rasades de yop !
Il en faut pas plus pour mettre mes boules en surchauffe et j’éte;lère mon rythme de baise. Je me contracte d’un coup et je contrôle plus, en deux deux je m’enfonce complètement dans le keum en m’agrippant à ses hanches et je vide me couilles pleines au fond de la capote bien écute; au fond de son cul.
Putain quel kiffe ! on plante les deux cefrans dans leur cabine et on va taper une clope sur le pont avec mon pote Farouk, la teub éacute;e et les couilles vides. A l’horizon on apperçoit la côte de mon pays qui se dessine … les vacances vont pouvoir commencer.