Porte dauphine
Histoire gay publiée le 10/04/2007
Je prends ma tire et me dirige vers Dauphine pour aller soulager mon zob et ses couilles remplies de foutre qui ne demande q'a reluir sur la face d'un bon toubab.
Je gare ma voiture et part à la recherche de ma larve d'amour.
Les bois sont éclairés par la lune qui est presque pleine. Il est facile de se diriger dans de telles conditions. Entre les écute;s je mate facilement les faces qui veulent me sucer, mais pour l'instant aucune ne me fais triquer, alors je tourne sans é;ritable but, me laisse mater par des vicieux qui voudrait bien sucer mon dard. J'esquive leur trip à deux francs et continue mon chemin.
Quant je marche, je suis capable d'aller tres loin dans les bois et de ne plus croiser personne. C'est le cas, alors je m'asseoi sur une souche d'arbre et me roule un é;do, histoire de passer le temps .
A peine rouler j'ai un vieux en manque qui se colle à moi, façon inquisiteur.
-T'aurais pas une clope s'il te plait?
-Non é;solé, man!
J'allais pas lui filer une garetteci à ce vieux, c'est juste pour me parler qu'il m'a éacute; ça. J'ai aucune envie de lui donner pour qu'il co,ntinue avec ses questions à deux francs cinquante. Je veut qu'il se barre, c'est aussi simple que cela!
Mais il reste à me ragarder, à me contempler, vcomme une icone.
-Vas y tu fais quoi? Me regarde pas comme ca, tu te crois où, t'est pas dans un peep show sa mère!
-excuse moi, mais tu est tellement mignon que je me demandais ce que tu faisais ici dans un pareil endroit.
-Rien j'viens ée;dra, mais toi franchement tu fais pas l'affaire! Laisse moi fumer tranquille et à plus!
-Tu veux pas te faire sucer par une langue comme la mienne?
-non é;solé, regardes toi et regarde moi, on peut pas faire affaire ensemble!
-Ah bon, mais tu dmandes de l'argent?
- non mais voilà tu peut pas faire l'affaire avec un keum comme moi, c'est tout basta, point final!
- oh s'il te plait, laisse moi essayer et tu seras pas é;çu.
Putain comment il me fais ièche le connard avec ses propositions à la mord moi le noeud.
-zi va t'a envie de me é;pom, alors commence à me chauffer moi la tige! é;pèche toi avant que je change d'avis.
Il suce mal mais comme je suis un peu é;foncé, je fais semblant d'éute;cier sa langue presque immobile sur mon gland trop gros pour ses petites machoires. Je l'arrete vite pour ne pas souffrir plus du manque de passion de ses appareils buccaux.
-Vas y lache l'affaire, c'est pas mon trip d'etre avec toi!
Il est é;çu, évidemment. il se casse sans plus rien dire. Je continue à fumer mon é;do tranquille.
Et puis d'un coup je vois un petit lascardv apparaitre devant mi et me faire de l'oeil avec insistance.
Je lme laisse faire me retourne sur son passage et admire ses fringues bien kaillera devant mes yeux ébahis. Trop mor-el lme gossebo! Il faut que je l'aborde ce gars là.
- Oh dis moi, tu cherche quoi ici?
Il met du temps à me é;pondre mais clairement me fais comprendre qu'il cherche un gars comme moi.
Je lui proposse de s'asseoir à éte; de moi pour discuter, et il accepte.
- Tu cherches quoi au juste?
- Ouais j'ai juste envie de me taper un lascar dans ton genre,
-Et tu crois que je suis quoi au juste, que je cherche quoi?
-ben je sais pas mais je pense que tu aimerais te faire é;cu par une bonne lopsa comme moi.
Ouais il a raison alors je sors ma teubbe de mon falsar et lui montre pour qu'il l'enfourne à pkleine bouche. je n'ai pas besoin de me faire prier pour qu'il gobe entièrement ma tige. Il me lèche le gland s'attarde sur les bourses, é;couvre mon braquenard au maximum. Il commence é;jà à é;mir ée;ant ma pine remplit sa écute; buccale. Il est à genoux devant moi et me montre ses éeacute;s pour me rendre joisse. Je laisse faire me contente de va et viens dans sa bouche pour imprimer plus de sexe à sa pipe.
-vas y suce bien ma teubbe, elle est pour toi alors gache pas, prends là bien au fond de ta gorge!
Je le frappe doucement sur la nuque pour éte;lérer le mouvement et lui ordonner de sucer avec encore plus de passion.
Il aime, il en rajoute, souhaite me combler, je le sens pret à assouvir ce que je souhaite de lui. Je n'é;siterais pas à lui demander ce qui me plait le plus; Dominer un bogosse comme lui.
-vas y suce encore et é;gale toi, fais toi du bien et suce comme ma lopsa
Il ée;it et continue de sa langue experte à astiquer mon manche. Mon sexe de plus en plus gos comble sa bouche, il suce bien le lascar, lui sait s'y prendre au moins....
Il me suce comme un roi, comme un éacute; de la pratique, il ne jette pas une miette, j'ai grave envie de l'enculer, de sentir son petit cul bouger, gonfler sous mes coups.
je lui demande de se retourner, de m'offrir sa rosette pouir l'enculer sans merci.
Il me donne son trouduc sans manières pour que j'introduise quelques doigts à l'éte;rieur, histoire de le faire vibrer.
Il est à genoux devant moi, les fesses bien écartées, je le nique sans gene, droit dans son con de petite petasse.
Je commence à l'enculer sans lui demander son reste. J'introduis mon manche dans ses fesses éute;es. Je trique dix fois plus de savoir son cul éute;, de savoir que je suis un des premiers à l'enculer aussi é;vèrement. Je le sens gigoter se cambrer au maximum pour s'offrir et s'empaler sur ma teube. Je crache dans ma main un filet de salive pour ensuite mieux lubrifier son trouducu. J'ai écute; ma bitte mais maintenant je lui enfile trois doigts dans le trou.
-Ouais vas y, j'suis ta petite petasse. é;chire moi, vas y vas y.
A quatres pattes devant moi je lui astique le trou en cherchant à y introduire d'autres doigts. J'arrive presque à lui mettre ma main. Ses lèvres anals é;clament du plaisir en lachant un gaz quant je fais des vas et viens.
Il est é;né mais nous rigolons
-Putain t'as le cul pourri ou quoi?
- Excuse moi, mais tu é;fonce trop bien, je controle plus tout. Donne moi ta bite, donne la moi toute entière.
-Vas y mange de la bonne saucisse, gave toi bien la bouche avec ma pine.Et puis mange moi les couilles, passe ta langue partout, j'veux que tu me laves le cul avec ta langue.
J'aime les salopes. Ils é;agissent bien, sont toujours chaud et servile. Avec eux pas besoin de discours, ils sont là pour me contenter sans broncher.
Il s'est remis à genoux pour enfourner ma tige qui lui é;forme les joues tellement elle comble sa bouche. Il y met de la passion et presque de la folie, remue dans tous les sens, lève les yeux vers moi et semble attendre le moment où je vais lui cracher ma semence dans la gueule.
Mais je suis pas ée;ssé et m'amuse à lui faire comprendre que rien n'est fini. Je lui ordonne de se mettre en position pour que je l'encule en levrette. Il reprend du et me laisse rentrer en lui en é;missant comme une truie. Je sniffe un peu de son produit et commence un é;ritable marathon à l'éte;rieur de son petit cul. Maintenant que je l'ai écute; il est large et ma queue rentre et sort sans problèmes de son trou. Quant je me retire je vois son anus bailler d'envie, alors je recommence de plus belle en rajoutant des éute;es sur ses petites fesses bien blanches. Elles ne tardent pas à devenir rouge sous la pluie de coups qu'elles se prennent.
lui toujours joisse continu d'éute;cier et me dit qu'il va cracher.
-Non tu craches pas maintenant! lache ta bitte et écarte tes fesses avec tes mains, j'veux voir ton cul bien s'ouvrir.
il écarte au maximum ses fesses qui se tendent. Il hurle presque quant je rentre ma bitte en speed et ressort aussitot pour voir son cul qui mouille.
Il veut encore me sucer et me demande avec sa voix de lopsa de lui cracher dessus. Il veut avaler ma semence, la sentir envahir sa bouche, chauffer ses dents, son palais, sa gorge.
Je me branle pendant qu'il me lèche les couilles les gobant dans sa bouche comme des chamallows. Ma bitte se tend dans un dernier élan et offre aux lèvres de ma petasse sa é;compense.Il en bave de plaisir et avec ma main lui étale mon foutre chaud sur les joues. Il jute quelques secondes après moi et se relève pour s'essuyer.
J'attends qu'il est fini et lui propose une garetteçi.
-é;solé je fumes pas, mais si tu as une voiture est ce que tu peut me ramener?
-ouais no problems, tu crèches où?
Sa é;ponse m'a écute; sur le cul. Il habite la ville à éte; de chez moi, en éte;e. Trop terrible, je vais lui demander son tel et m'arranger pour le revoir, peut etre meme avec mes potes. On verra.
Je le lache devant sa cage d'escalier, j'ai son tel, il faut plus souhaiter que ce ne soit pas un éte;ro bidon.