Maison Alfort
Histoire gay publiée le 10/04/2007
La radio é;bite ses chansons, ses rengaines et n'arrive pas à me destresser. J'ai rencart dans moins d'une demie heure dans le 9.4 à maisons alfort, et je suis pas pret d'y arriver.
J'ai écute; un gars sur le Chat de Citebeur et apparemment c'est de la balle. On s'est éute; sur le net puis au phone et je le pense pas trop baltringue. Il est grand fin et imberbe. Sa pics était correct meme si c'était une photo de ses dernières vacances, alors j'ai dis chiche et ma voilà dans les embouteillages.
trop fort, limite guedin. J'ai mis 1heure trente pour faire dix kilomètres, mais ca y est, je suis écute; au pied de son immeuble. Le é;cor ressemble étarngement à ma éte;e. C'est du pareil au meme. Sonnete 211, troisième étage escalier E.
C'est un clapier à lapins, minuscule, rachitique avec un grand lit qui mange tout l'espace. Il est grave beau, éacute; d'un marcel avec un bas de survet.
éte;diatemment sans salut ée;alable il se jette sur ma bouche et me gamelle à fond*, sa langue curieuse des moindres éte;ritées de mon ouverture. Il m'a l'air en manque ou alors c'est un éacute; de la bite. je laisse faire, c'est pas é;sagréable après tout!
Par contre j'éute;cie moyennement quant il me propose un jus d'orange sans aucun accompagnement d'un quelconque . Dommage qu'il soit un mec "bio".
le jus est éute; d'un trait, sans fioritures. Bouche grande ouverte j'avale goulumment d'un trait La pulpe d'orange.
Je ne sais encore rien de lui que é;jà il s'agenouille devant ma teub encore molle. Il la mange avec le gout froid de l'orange dans la bouche. J'ai du mal à é;agir, à me sentir vraiment à l'aise. Mais sa bouche se é;chauffe et petit à petit sa langue devient bouillote vibrante. Il s'attarde sur mon frein enveloppe mes couilles dans un cocon éeacute; de connaissances écute;es. Je le comprends demandeur et je vais me faire un plaisir de le servir, et ce royalement.
Ces gencives insistent et font ptit à petit circuler le sperme au bou de ma verge. Bref je commence à bander. Il ne me ragarde pas, simplement assis sur son lit, les jambes écartées mais toujours éacute;es. Je lui donne ma queue à bouffer et il se é;gale.
Elle grossit et maintenant moule ses machoires autour de ma éacute;rence. Je le sens ravis, aux anges. Quelques é;missements viennent éclater un silence quasi monacal. Sa langue continue à redessiner ma tige pour mon plus grand plaisir. Il descende te me lèche les cuisses vrs l'éte;rieur, à la recherche de mon trou.
Je me retourne et offre à sa langue mon trou du cul à é;guster. Sa langue et ses lèvres embrassaient mon cul et son trou. C'était fait de manière presque divine. Je kiffais royal*.
Je m'appretais à vouloir lui faire gouter mon chibre et j'avais bien l'intention de lui laisser un souvenir percutant dans son esprit. Je le retournais de façon rapide et brusque pour l'enculer avec une éé toute en douceur.Il é;missait de plus en plus fort, mes coups de rein se ée;cisait pour toucher le maximum de son éte;rieur.
Je le voyais et le sentait se cambrer de plus en plus fort, cherchant avec son cul mon éute;mité la plus intime. Il cherchait à arriver au bout de mes éitées; é;tait mal me connaitre! Ma queue gonflait encore et toujours et soa petite rosette baillait de plaisir et aspirait d'envies. Je n'avais pas envie de lui rapper les fesses, simplement de les combler, de les saouler d'allers retours.
Manque de pot, il a joui tres vite, se contentant d'un échantillon de mes éeacute;es. Dommage pour lui, je me suis éacute; sans cracher et lui ai dit salut amicalement en essayant de lui promettre de le rappeller.
Y'a des promesses qu'on a du mal à tenir!
C'est la vie!