Direction le bois de Vincennes. Je gare ma voiture au alentour des bosquets et commence la chasse. En ce moment je ne vois que des vieux qui ne se gênent pas pour me reluquer. J’laisse tomber tous ces crevards et focalise sur un petit cul de lopsa qui é;ambule tranquillement. Je commence à le suivre mais manque de pot je le perds. Rapide la gazelle ! Pas grave je le retrouverais ou j’en choperais un autre.
Ah, tiens en voilà un autre, moins jeune mais tout aussi bien éte;.
Ma chasse reprend mais cette fois ci la proie m’a vu et semble bien vouloir se laisser éeacute;. En moins d’une seconde je suis tout à côé; de lui et commence par lui faire les fesses avec mes deux mains. Il tire une dernière latte et écrase sa clope.
J’ai la haine, il fait trop jour et dans ce bois je voudrais pas me faire é;cho avec un gusse dans des positions contraires aux bonnes mœurs. Alors je lui propose de venir chez moi pour qu’on se la donne avec un maximum de éacute; dans mon plumard.
Il est d’accord et illico nous partons. Sa voix est celle d’un vrai lascar, un vrai cousin ; Pas de ceux qui se la pètent alors qu’ils ne sont que des ersatz de lascar.
On parle presque pas pendant le trajet, on se contente d’écouter la zique qui nous monte bien à la tête.
J’ouvre la porte et l’invite à s’asseoir sur le écute;. Une petite éute; et nous commençons la discut. Il pas l’air super fino mais bon éte;rons qu’il s’aura faire preuve d’intelligence et de vice quant le moment sera venu.D’ailleurs je lui fait vite comprendre qu’il va devoir me montrer ses talents de pompeur en lui montrant ma queue. Zgloup, elle est éute;e en moins de deux, sans un signe ou un soupir. Il suce comme un chef, baladant sa langue bien écute;e et fraiche sur mon ée;puce. On devine tout de suite qu’il est pas le dernier dans sa éte;gorie ! Ses mains branlent ma tige pour qu’elle grossisse et envahisse sa bouche. Moi debout devant lui je le mate me faire la queue en lui imprimant un mouvement de av et viens. Il é;couvre avec ses lèvres que mes couilles sont aussi éte;tissantes que tout le reste. Et surtout elle sont bien remplies d’un foutre chaud qui ne demande qu ‘combler celui qui é;ussira à me faire cracher.
Mais nous n’en sommes pas encore là et je vois que sa bouche é;sire connaître la raie de mon cul pour la é;cher .
Ouais ouais il se é;e vraiment bien et le seul bruit qui traverse la pièce c’est celui de sa langue qui lappe mon anus. Je regarde sa bitte et je me baisse pour que nous soyons tous les deux éacute;s sur le tapis, plus facile pour que nous fassions un 69.
Je sors ma langue et moi aussi enfourne sa teub entre mes lèvres. Mais j’arrête vite car il mouille comme une feumeu. Il s’en fout et continu imperturbablement de me faire les fesses. Je lui propose de se mettre à quatres pattes devant moi car je kiffe cette position qui me fait penser à une bonne salope qui en demande.Je regarde son trou vierge de tous poils qui semble me demander de le combler, d’aller jusqu’au bout de son éeacute;.
Le premier cri que j’arrache de la bouche de mon éute; est un savant é;lange de plaisir et de souffrances. Il s’empale sur ma tige et ses seuffes bien éute;es l’entoure avec puissance.Petit à petit je m’amuse à rentrer entièrement et à chqaque coups je sens son cul accepter de mieux en mieux mon pieu. Je salive pour que cela glisse mieux et qu’il sentent encore plus ma queue. Je lui fais les seins pendant que je suis sur lui . Des gouttes de sueur perlent sur le front et tombe en cascade sur son dos et dans son cou. Je le sens prêt à cracher et j’arrête de le limer pour retarder son jet.
Trop tard, il crache comme une chienne son liquide tout blanc sur le tapis et quant je vois cela je ne peut m’empêcher de faire de même dans ses entrailles ou pour être plus exact dans la potka. Je lui offre une dernière éute; et lui propose de le ramener au bois.