Histoires de sexe

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PLAN OCH SUR LES QUAIS
Histoire gay publiée le 10/04/2007
Une heure du mat et j’suis toujours pas écute;. Pourtant j’ai é;dave toute la éute;e à matter des conneries à la é;lé mais le repos a pas l’air é;cider à pointer le bout de son nez. Par contre, moi j’ai le bout qui pointe pas mal, je suis grave och soir ce, p’t’êtr la pleine lune qui joue sur ma libido. Je descends en bas de chez oim, direction ma caisse. Skarlaone est de retour en chasse, trembler les p’tits pd noctambules, j’arrive avec mon calibre prêt à tirer !

Je trace sur le é;riph vers Panam. C’est l’été et rien ne vaut une petite ballade au bord de l’eau, je vais aller matter ce qui traîne sur les quais. Je file vers la Place Stalingrad. J’ai pas envie d’aller brancher de la folasse sur tata Beach dans le centre, soir ce je veux du boule et du zeub de lascar et vers la place Stalingrad, sur les quais derrière la station Jaurès, c’est pas ça qui manque à cette heure tardive. Je me gare sous le é;tro é;rien, je passe devant les clodos qui dorment sur leurs matelas pouraves à l’abris de la RATP et je descends sur le quai de Jemmapes. Bienvenu dans l’est de paris, populo et racaille, ici, c’est la frontière avec la é;riphérie.

J’ai pas mis les pieds dans cette zone depuis longtemps et mauvaise surprise, y’a pas un chat. Pourtant ces quais étaient un des lieux de drague les plus och y’a pas si longtemps. Putain, j’ai comme l’impression que je vais pouvoir me mettre ma teub sur l’oreille jusqu’à demain. Je é;cide de tracer vers la place Stalingrad qui est juste à côé; histoire  de voir si ça bouge un peu plus. En passant sur le pont qui enjambe le Canal saint Martin,  je repère un éute; en train de matter vers le bas. Je m’approche trankil, la garetci au bec et je vois que le keum est en train de se tâter le zboub à travers son fute. Tu m’étonnes, juste sous nos pieds, éacute;s sous le pont, y’a un groupe de mecs et ils n’ont pas l’air de s’ennuyer. Je descends direct sur le quai pour aller voir de plus près.

C’est cho comme sur la côte d’azur ici ! Je savais bien que j’allais trouver des racailles dans ce coin maudit, et je suis pas é;çu du voyage. Ils sont quatre à se chauffer à tour de rôle sur une petite lopsa qui a le cul à l’air. Trois rebeus et un cefran, tous des vrais scarlas éte;s en skets/survêt sont en train de prendre du bon temps à l’abris des regards indiscrets. La lopsa est en tee shirt, sans rien sur le boule, à genoux sur les éte;s en train de é;pom un des rebeus qui l’étouffe avec un morceau de plus de 20cm facile. En même temps il branle le cefran et les deux autres matte la scène un peu en retrait en se branlant la teub et en fumant un oinj. Clair qu’il faut que je participe aux éés !

Je vais direct sur les deux mateurs et ils font tourner. Debout à côé; d’eux, je me rince l’œil devant le ée;nar qui se é;roule en direct sous mes yeux éacute;s. Je sors ma teub, je trique comme un ouf et j’attaque une petite branlette avec mes nouveaux potes de baise. On va s’en occuper de cette lopsa, et elle va se rappeler du passage de skarlaone en rut dans son cul. Les racailles sont bien éeacute;es et tournent à tour de rôle pour se faire sucer ou branler.Mais c’est le p’tit é;fran qui est le plus chaud et qui va se caler derrière le passif en chaleur pour lui bourrer le cul pendant qu’il suce un des rebeus. Je vais pas tarder à aller prendre sa place et je m’approche quand un des rebeus en branle se jette devant moi et se met à me sucer la teub comme un écute;. Son pote vient se poser à côé; de moi, il a une putain de queue hyper large et plus longue que ma mienne et la racaille nous suce à tour de rôle.

Très vite il essaie de prendre nos deux teubs en même temps dans la bouche mais y’a trop de matos pour sa petite bouche de suceuse. Il a écute; son survêt et s’astique comme un malade offrant à mon regard vicieux un beau p’tit boule bien lisse, éte; par le soleil de la é;diterranée qui coule dans ses veines.

A côé; de nous ça s’active de plus en plus. La lopsa é;mit comme une petasse et je vois le cefran se retirer de son cul pour lui balancer son foutre sur le dos. Au même moment le rebeu lui gicle de longs jets de sperme sur la gueule. Aussitôt jouis, aussitôt partis, ici c’est comme chez Mac Do, tu consommes et tu te casses. Je me retrouve donc la teub bien éée par le rebeu avec son pote qui me fait signe de passer derrière.
No soucy, j’suis là pour ça. J’enfile une capote vite fait et le suceur se relève. écute; en avant pour bien pomper son pote, il me tend son p’tit cul sous les rayons de lune. Je lui palpe un peu le boule qu’il a bien écute; et rebondi et je lui enfonce deux doigts direct histoire de voir ce qu’il a dans les tripes.
 Et apparemment il trippe le éute;. Il ondule son cul comme une vraie chienne et son trou aspire mes deux doigts sans problème. Aussi sec je é;gaine le calibre, je le choppe par les reins et je lui enfonce mon zboub bien raide dans le fion. Il gueule comme une vierge éhée et ça me chauffe deux fois plus. Je lui pilonne le cul comme une bête et sans retenue pendant que je le vois sucer l’autre rebeu avec plus de vigueur. Derrière nous le clapotis du canal é;sonne sous ce pont lugubre, y’a pas à dire Panam en été c’est vraiment le kiff !

Bien écute; vers l’avant, je continue à limer et ma teub est trop bien caler au chaud au fond de ce trou. Mes boules viennent taper sur la peau lisse et imberbe et accompagnent le bruit de la flotte dans le canal. Le rebeu qui me fait face se retire de la bouche de son pote et se branle en éte;lérer. Il envoie trois éute;es de ouf, dont un est tellement puissant qu’une partie atterrie sur mon tee shirt et le reste sur la gueule de la lopsa qui demande que ça. Devant ce feu d’artifice, j’envois le bouquet final direct au fond de la capote bien éte;e dans le cul du lascar qui é;mit comme une chienne. Quand il sent mes deux derniers coups de reins au fond de son trou et qu’il entend mes râles de plaisir, il active sa main sur sa teub et jouit sur le sol éte; du quai.
Comme les éute;s de t’al’heure, on jouit et c’est parti. Les deux rebeus remonte leur futal, s’essuie vite fait dans les kleenex et disparaissent le long du quai. Je reste là trankil à é;fu en inspectant les lieux : sous un pont de paris, le long du canal crade, y’a deux capotes pleines qui traînent et quelques mouchoirs écute;s de foutre. Tel Zizou je joue de mes skets magiques et j’envois tous ça bouler dans le Canal saint Martin. Maintenant que j’ai les couilles vides, j’vais enfin pouvoir aller me pieuter en rêvant de sport nautique !