SKARLAONE CONNAIT PAS LA CRISE 2
Histoire gay publiée le 17/05/2010
À peine fermé la porte de lʼappartement, que Nader se jette encore sur moi et reprend le patin quʼon se roulait deux secondes avant dans l'ascenseur. Il me chauffe à mort et il ne veut pas me donner son boule ? Il va me supplier de le prendre dans moins dʼune heure.
Le couzin sait bouger du bassin, il se frotte sur mon survet, et surtout sur le barreau bien ferme que forme déjà mon zob depuis que je lʼai retrouvé sur le quai.
Sans décoller ses lèvres des miennes, il commence à sʼenlever ses fringues et mʼinvite à lʼimiter. Oim tu me connais, faut pas mʼimplorer longtemps pour que je dégaine. Sauf quʼil va falloir la jouer serré cette fois si je veux le serrer ! Il va devoir travailler lui le couzin pour me toucher. Il comprend vite et me fait tomber le haut puis le bas de survet. Rien à faire : jʼarrive pas trop à le freiner ni à lui résister. Un vrai démon, il me donne une putain de fièvre tellement il est chaud ! Je suis presque à oilpé que lui a encore tout le bas. Là, cʼest clair : faut que je prenne les choses en main sinon il va avoir mon boule et cʼest même moi qui vais le lui tendre. Je lui fais tomber le bas en un mouvement expert et je commence à lui caresser les fesses. Il a un petit moment d'hésitation puis se laisse faire avant de serrer ma tête avec ses mains fines et viriles... Je le crois pas : le couzin est en train de me foutre à genoux ! Pas de blem petit : j'attendais que ça !
Je me retrouve à genoux et puis pas le temps de mater son zob qu'il me l'enfonce directement en bouche. Ce keumé a l'air d'aimer diriger l'action grave comme moi j'aime aussi. On est deux sur la même tendance, à moi de gérer. Et dans cette position, je vais tout tenter. Après qu'il m'ait chatouillé la gorge deux fois, je reprends mes esprit et je lui palpe son boule bien ferme dans tous les sens. C'est des caresses viriles mais qui savent où elles vont. Lui me lime la bouche et a l'air trop "inspiré" pour sentir que je m'approche de sa chatte comme un félin sur sa proie. Et avec la bave qui coule au coin de mes lèvres, j'ai vite fait de récupérer du bon liquide pour préparer l'entrée de mon majeur. J'y vais doucement, parole de Skarla, mais en deux deux il se retrouve avec mon doigt au fond de sa chatte. Il ne proteste toujours pas. J'enfile le second. Là, il sort sa queue de ma bouche et me sort :
"Tu fais ça pas mal couz mais ça veut pas dire que tu vas m'éclater, c'est clair ?"
Et sans attendre ma réponse, il me giffle avec sa queue puis me l'enfonce à nouveau. Et oim, tu m'connais, tant que je donne pas ma parole, y'a pas de règle. Je laisse encore un bon moment les deux doigts pour qu'il s'habitue et apprécie le massage que je lui fait. Et le troisième passe tout seul. Il gémit. Je caresse sa prostate pendant que je le pompe comme un ouf, et le keumé il geint de tout ça. Je lève les yeux pour voir son expression : putain qu'il est trop beau, trop stylé avec ses abdos dessinés comme un dieu ! Il a les yeux fermés et la tête vers le haut : je le fais monter au ciel, va falloir calmer le jeu ! Il le comprend aussi puisque c'est lui qui me demande :
"Ouf attends deux secondes là sinon je lâche tout...
- Tu veux que je continue avec ma langue ce que je faisais derrière ?
- Ouais mais ça veut rien dire c'est bien clair ? Je te ferai pareil après avant de t'éclater le fion ok ?
- Mets-toi à quatre pattes et crambre-toi bien couzin !"
Là, je sais que c'est gagné, mais faut pas trop le faire mariner. Je fourre ma langue dans sa chatte, l'enfonce et la ressort comme si c'était mon zob. Il râle de plaisir. Il aime ça et pire : il mouille le couzin ! Une vraie femelle du bled, mieux que ça ! Là, je ne me contrôle plus. En scred j'enfile un préso et, plus rapide que Lucky Lucke qui sort son revolver, je dégaine ma teub et l'enfonce à fond d'un seul coup de rein puissant. Il proteste, mais rien de méchant : il savait ce qui l'attendait depuis que je l'avais foutu à quatre pattes comme un iench. J'enchaine rapidement les coups de queue au plus profond pour lui faire prendre toute l'ampleur de mon puissant barreau. Lui commence à couiner, et je sens bien que c'est pas trop son habitude. D'ailleurs, il est serré comme c'est pas permis. Il a bien dû se faire éclater, mais une ou deux fois à tout casser, histoire d'essayer. Et les manchos sur qui il était tombé n'avaient pas su lui faire aimer ça... Pourtant, qu'est-ce qu'il la ramène, il donne de la voix putain ! Il va me réveiller toute la téci !
J'accélère le mouvement : je vais craquer trop vite mais j'ai bien l'intention de l'explorer d'autres fois pendant ce week où il va crécher chez oim. En plus il est si beau ce keumé, un ange beur pur mâle ! Et voilà que je jute dans un râle pire qu'une bête pendant que lui s'astique le manche. Il fout son jus partout sur le canapé. Je range mon attirail. Il se retourne, me regarde dans les yeux et me dit :
"Waouh ! Comment tu fais ça mec ?
- Appelle-moi Skarla, Nader...
- Comment tu fais ça Skarla ?
- Je te montrerai plus tard...
- Je pourrai te prendre aussi alors ?"
Je lui souris.
"On verra".