Batard à rebeus
Histoire gay publiée le 01/09/2009
Le rendez-vous est pris chez lui. Dehors il fait lourd. Dans le taxi, je reçois un sms : « Kan t ariv tu ferme ta geule et tu fais ce ke je te dit. Tu parle pa tant ke je t ai pa dit de l ouvrir. Ok salope ». Je m'empresse de répondre : « Oui très bien ». Le taxi fonce à travers les rues désertes de paris en aout. On stoppe à un feu rouge et je pense à notre conversation d'il y a quelques minutes. Moi : tu cherches quoi ? Lui : une petasse à toucher.
Le taxi redémarre et je commence à réaliser que dans un instant je serai une chienne à arabes. J'hésite, je doute et si ça devait rester un fantasme et pas une réalité. J'ai envie de crier à ce chauffeur qu'il s'arrête, qu'il m'empêche de faire tout ça. A quoi bon. Deuxième texto : « T ou sale petasse ». Au même instant le chauffeur stoppe. La rue où je dois rejoindre mon dresseur est fermée. « Vous descendez là ?... ». Et me voilà perdu en pleine banlieue à finir la route. Le paysage est désolé, en jachère. C'est flippant. J'avance et j'arrive devant le numéro de la rue. Je ne réfléchis pas et cours vers ce destin tant désiré. Il m'ouvre. Il est en jogging crade, torse nu. Il est beau. Une vraie tête de tueur. Typé, macho. Il me montre un coin du doigt et de sa voix grave il me dit : tu te déshabilles là et après tu viens ». Je m'exécute aussi vite que je peux. Je tremble, j'ai peur. Il me regarde d'un air méchant et me dit « garde ton caleçon». Je garde mon caleçon. Je fais le tour de la table. Il est assis sur son canapé et parle avec des gens sur son ordi. « Met toi à genoux ». Je me baisse. Il se lève, je le suis du regard. Première gifle, forte, sèche. « les mains dans le dos ». Deuxième baffe, plus forte encore. Ca brule. Il approche plus près. J'ai son slip sous le nez. « T'aime ca les rebeux alors ? » Je n'ose répondre, les ordres étaient clairs. Il me tend le menton de sa main puissante et commence à frapper. Une joue puis l'autre, une main puis l'autre. Il se déchaine. Il kiffe comme il me dit. Il gagne en puissance. J'ai la tête qui tourne. J'ai mal. Il s'arrête enfin et me dit : « réponds moi quand je te parle ». Il me tend du et me dit prend en bien parce que je vais pas te louper. J'inspire longtemps, surement. Je suis stone, mon c'ur palpite. Il va éclater. Je suis prêt. Il sort une belle bite, bien proportionnée, dure. « Suce ». J'avale ce bout de chair. Je le mets au plus profond de ma gorge. Je veux lui faire plaisir, qu'il soit fier de son bâtard. Je m?éssouffle, relâche la pression. La gifle part. Je recommence. Il pousse encore plus loin dans ma gorge. J?éructe, je pleure mais je tiens bon. Il presse ma tête contre son sexe et touche son ordi. Est-ce qu'il nous filme ? Je ne sais pas. Il continue son long travail. Il me racle la gorge avec sa bite. J'aime cette sensation. Il me décolle et il me lève. Il baisse mon caleçon et me regarde. « C'est quoi cette bite ? C'est quoi cette bite de ? Cache toi». Je suis là les joues en feu, en pleurs, dégoulinant de bave et de sueur. Debout nu j'ai honte. Je suis humilié, et je cache mon sexe entre mes mains. Autre série de baffes, toujours plus fortes. Je les attendais. J'en avais envie. Mes yeux me brulent, c'est étrange. Il s'arrête et me dit « Alors tes mains dans le dos, j'ai dis. Sale petasse ! » Et je reprend ma longue besogne, a genoux. Je m'entête, je veux réussir. Je veux être une bonne chienne. J'ose un regard vers lui. Je n'y vois que du mépris et de la haine. « T'es qu'une ? Hein dis le. Oui je suis une . » Il me crache dessus et bien sûr il touche. « T'es qu'une pour les arabes ! ». Je n'entends plus la suite, je suis sonné, ca bourdonne dans ma tête. Il a frappé fort. Très fort. J'ai un geste de recul mais il me rattrape par les cheveux. Il les tire. Ca fait mal. Il m'arrache les cheveux. Il devient gai de fureur. J'ai très peur. Je n'entends rien. Ca l'amuse. « Elle a peur la petasse » et il recommence à frapper. Ces coups sont lourds, puissants. Il se défoule sur ma gueule. Il me jette à terre. Il s'assoit et allume une clope. Je ne sais plus trop où je suis. Ca tourne, j'ai mal. Je me touche le visage. Pas de sperme, rien. Il me demande de reprendre ma position. Il me laisse récupérer un peu. Je suis essoufflé, vidé mais j'obéis. Pendant qu'il fume tranquillement, je regarde ses pieds. J'ai envie de les lécher, de les sucer pour qu'il soit content de moi. Je veux lui prouver qu'il a raison. Que je suis qu'une soumise à la puissance des arabes. Je ne fais rien. Je suis paralysé. « Tu te fais niquer la petasse ? Non » Il me gifle. « Ok t'as de la chance. Si j?étais avec mon pote, t'aurais pas eu le choix. »
Il allume une autre clope et j'ai un peu peur de ce qu'il pourrait faire avec. Mais non il me fait signe de reprendre mon travail. Je suce cette bite du mieux que je peux. Mais ca ne suffit pas « fait mieux, fait mieux où je te décolle la mâchoire ». Il me dit de lécher comme un chien, je lèche comme un chien. Il me dit avale, j'avale. Il me dit de sucer je suce. Mais il n'est toujours pas satisfait. Et à chaque fois je reçois une correction. Je n'en peux plus. J'ai envie que ca s'arrête. Mais il ne lâche pas l'affaire. Il me crache dans la bouche plusieurs fois avant qu'il ne m'autorise à avaler. Il me baisse encore et me fait lécher son pied. Je suis en extase. Mais je n'ai pas le temps d'y gouter. Il me repousse du pied. « Tu fais ça mal » et il commence à me donner des coups de pieds. Je suis à quatre pattes et il tourne autour de moi. Il me frappe. Il m'insulte, me crache dessus. Il s'assoit sur moi et me donne des coups de poings. Il se relève. Il se met devant moi. D'une main il se branle et de l'autre il me gifle. Encore et encore. Il ne s'arrête plus. Il est content. Il jouit en me défonçant la tronche. Il éjacule beaucoup de sperme sur mon visage, j'en ai plein les cheveux déjà collés de sueurs et de bave. Il jouit longtemps et bruyamment. Il souffle c'est fini. Il me donne une petite claque comme pour me remercier. Sans me regarder il me dit « casse toi ». Je me lève un peu sonné. Il marmonne quelque chose en arabe pendant que je m'habille. Il me donne une dernière claque magistrale « je t'ai dit de te casser. »
Je fini de m'habiller dans le couloir, m'essuyant tant bien que mal avec mon tee-shirt.
Sur le trajet du retour je suis perdu dans mes pensées. Le chauffeur de taxi me parle, je m'en fous j?écoute pas. De toute façon j'entends plus rien. Je me dis que je suis fou pour faire ça. A un feu rouge J'envoie un texto « Merci ». Le taxi redémarre, « T a kife ».