Histoires de sexe

Moi c’est Rune. Rebeu de 25 ans, 1m75 pour 65kg. Corps athlétique, bonne dégaine, et surtout un cul qui fait tourner les têtes. J’ai un caractère bien trempé, mais j’ai mes petits rituels pour garder l’équilibre, me vider la tête. Changer d’air, sortir, découvrir de nouvelles vibes.
Ce soir-là, j’avais besoin de sortir un peu, de changer mes habitudes. Mon contact habituel étant occupé, je décide de passer par une plateforme privée où on peut trouver tout type de services, disons… confidentiels. Je consulte les profils, les descriptions, je fais mon choix.
Le mec me répond rapidement. Il me file un point de rendez-vous en me précisant d’arriver avant 3h du mat.
Je me prépare : gros plug dans le cul, string bien tendu, jean moulant. Mon mood est clair — ce soir, j’veux vibrer.
J’ai 30 minutes de route. En chemin, je lance une appli de rencontre histoire de me chauffer pour plus tard. Rien de fou dans le coin, mais je sens que la soirée peut basculer.
J’arrive sur le lieu donné : un vieux stade un peu délabré, style terrain associatif abandonné. Le portail est à moitié arraché, je passe sans hésiter.
Je lui envoie un message.
— « J’suis là. »
— « J’arrive dans 5. Tu peux déjà entrer, y’a sûrement mes potes. »
Je traverse le stade et repère trois gars en survêt qui chillent dans un coin. Je les salue comme si je les connaissais. Ils me répondent avec un sourire, ambiance cool.
Le mec descend quelques minutes après, grand rebeu bien bâti. Il me serre la main :
— « T’as trouvé facilement ? Bien joué. J’ai prévu un petit bonus pour toi, vu que t’es nouveau. »
Geste sympa… mais je capte tout de suite que ses potes me matent comme un morceau de viande. Y’a un truc dans leurs regards.
Quand je lui tends la main, il frôle la mienne doucement. Frisson. Mon cœur s’emballe. Mon plug me titille. Mes pensées s’emballent aussi : et si je me faisais prendre par les quatre ?
Ils sont tous grands, entre 1m80 et 1m90. Deux rebeus, deux blacks. Grosse carrure, grosse tension.
Le gars me dit :
— « On va se poser dans les tribunes, viens. »
Je réponds direct :
— « Avec plaisir. »
On escalade la petite barrière en tôle. On s’installe à cinq dans les gradins. Le béton est froid mais je chauffe vite. Chaque mouvement enfonce un peu plus le plug dans mon cul, et je suis au bord de l’explosion.
Leurs regards se font insistants. Mon corps est en mode réceptif. J’ai plus envie de rien d’autre que de me faire ouvrir par cette meute de mâles.
Et là, tout bascule.
Le meilleur plan de ma vie démarre ici…
À suivre.