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Ma double dose de rebeu domi et tbm
Histoire gay publiée le 28/03/2025
En rentrant, je retrouve mon mec affalé sur le canapé, concentré sur sa série. Ni une ni deux, je me mets à poil et lui saute dessus. Je lui remonte le t-shirt et commence à lui bouffer les tétons. Il adore ça.
Je déboutonne son jean et lui taille une pipe bien profonde. Il gémit doucement.
— « Putain, toi t’as une tête de salope ce soir. Tu dois avoir quelque chose à te faire pardonner... T’as fait quoi ? »
— « J’me suis fait démonter par Kamel… notre beauf. »
— « Quelle chienne t’es… Dès que tu vois une queue de rebeu, tu peux pas t’en empêcher, hein ? »
— « Elle est énorme… »
Il descend sa main jusqu’à ma rondelle et sent direct que je suis encore bien ouvert. Il m’attrape, me retourne et me pénètre d’un coup sec.
— « T’as mérité ta punition, sale pute. »
Il me défonce comme un animal, me fait gémir comme jamais, et finit par se vider en moi, profond. Une fois calmés, je lui raconte les détails. Il sourit.
— « J’suis fier de toi. Mais va pas trop te faire niquer par lui sinon ton petit cul va se détendre pour de bon. »
On rigole, on se pose, on s’endort dans les bras l’un de l’autre. Le lendemain matin, en me levant, je découvre une série de messages de Kamel.
"Merci pour hier, t’as un cul de rêve. J’ai testé ta sœur, mais c’était pas ouf…"
Je lis sans répondre, pas trop d’humeur. En fin de matinée, il m’écrit :
"Tu peux passer chez moi ? J’ai grave envie de te baiser à nouveau."
Je lui réponds avec un petit sourire sadique :
"Demande à mon mec s’il veut bien que je vienne te vider les couilles."
Silence radio pendant deux heures. Puis je reçois un message de mon mec :
"Salut mon cœur. Kamel vient de me demander s’il pouvait emprunter ma salope. Comme je sais que tu kiffes sa queue, j’ai dit OK."
Ni une ni deux, je me prépare. Je préviens Kamel que j’arrive, pas de réponse. J’arrive devant chez lui, je sonne. La porte s’ouvre, je saute au cou du mec et l’embrasse à pleine bouche. Il me plaque contre le mur.
— « Heu… c’est quoi ce délire ? T’es qui toi ? »
Je bug. Kamel arrive depuis la cuisine, hilare.
— « Ludo, je te présente mon frère jumeau, Abdel. Désolé, je venais de t’envoyer un message. »
On rigole de l’improbable situation, les tensions tombent. On se pose au salon avec des bières. Kamel explique à son frère :
— « Tu sais comment c’est avec nous, les rebeus. Nos queues, c’est pas facile à gérer. Les meufs, elles encaissent pas. Alors… la sodo, c’est l’idéal. Et Ludo, c’est un putain de bon plan. »
— « Sérieux mec, tu fais ça souvent ? »
— « Il adore ça. Il en redemande. »
Ils parlent de moi comme si j’étais pas là. Moi, je les mate. Leurs jeans gonflent clairement.
— « Bon les gars, j’vais pisser et je vous laisse entre frères. »
Je file à la salle de bain. En revenant, les deux sont à poil, en train de se branler, grosses queues en main.
Abdel me fixe.
— « T’es venu pour bosser, pas pour bavarder. À genoux, salope. »
Je m’exécute, chaud comme la braise. Je les suce à tour de rôle, alternant pipe, gorge profonde, branle. Kamel me déshabille entièrement, m’emmène dans sa chambre.
Il m’allonge, m’embrasse, me bouffe le cul avec passion. Sa langue me fait gémir. Il crache, lubrifie, puis entre lentement. Il me laisse quelques secondes, puis commence ses va-et-vient profonds.
— « Putain ton cul est trop bon… »
— « J’adore ta queue, continue… »
Entendant mes gémissements, Abdel débarque, queue tendue, et me la colle direct sur les lèvres. Je la prends en bouche pendant que Kamel me défonce.
— « Putain Kamel, ton beauf c’est une vraie salope ! Il adore ça ! »
— « Tu veux tester ? Il est ouvert. »
Kamel se retire. Abdel prend sa place, un peu hésitant. Je prends l’initiative, je m’empale moi-même sur sa queue.
— « Vas-y, défonce-moi, fais-toi plaiz ! »
— « Sale pute ! »
Il prend confiance et me défonce pendant un bon quart d’heure, avant de revenir à ma bouche. Kamel revient dans mon cul, bien lubrifié.
Les frérots me font gémir comme un porc. Kamel accélère, prêt à jouir.
— « J’vais t’engrosser, ma chienne ! »
— « Tu vas vraiment lui gicler dedans ? »
— « Et comment ! »
Il se vide en moi. Puis me tend sa queue pour la nettoyer. Abdel en profite pour reprendre ma rondelle, me pilonne encore, jusqu’à me faire hurler.
— « Putain, j’vais te faire des gosses, bébé ! »
On s’écroule, tous les trois trempés. Kamel propose une bière. Je file prendre une douche. À mon retour, les deux sont toujours à poil, et moi aussi. On trinque.
— « J’comprends pourquoi t’étais accro à son cul. »
— « Un vrai formateur, ce beauf. »
— « Surtout un bon vide-couilles. »
On rigole. Abdel me demande mon numéro.
— « Pour ça, faut demander au patron. C’est lui qui prête sa salope. »
— « T’as un mec ? Il dit rien ? »
— « Demande-lui. Tu verras sa réponse. »
Je prends mes affaires et rentre. Sur la route, message de Kamel :
"J’ai filmé la scène pour toi. Je savais pas que mon frère serait là, mais j’ai tout capté. Je l’ai envoyée à ton mec aussi. Ça te dérange ?"
Je m’arrête. Je regarde la vidéo. On me voit clairement jouer les putes comme jamais. Je bande, je me branle.
Mon mec m’appelle.
— « C’est quoi cette vidéo ? T’as bien joué ta chienne. Ramène ton cul à mon bureau maintenant. J’vais te démonter. »
Je range ma queue, essaie de ne pas jouir trop vite…
Et prends la direction de son bureau — prêt pour un deuxième round.