Mes inclinaisons sexuelles de bonne chienne
Histoire gay publiée le 20/11/2024
Ma première fois ne fût ni la plus douce, ni la meilleure et absolument pas tendre. J'avais 21 ans, toujours puceau et complexé par mon physique banal. Pourtant, avec le recul j'étais plutôt pas mal. Combien d'occasions perdues à cause de mon ignorance. Bref, devant mon envie insatisfaite d'une bonne queue pour me dépuceler, je finis par trouver sur un site internet, un homme d'une quarantaine d'années disposé à me prendre. C'était les débuts des premiers sites Gay. Je voulais un homme dominateur et directif pour abattre mes craintes de pucelle effarouchée. Pour une première avec cet inconnu, je ne souhaitais pas le recevoir et lui ne le pouvait pas. Sa proposition m 'inquiéta mais mon excitation dévorante me fit l'accepter sans hésitation. Nous rejoindre dans le parking souterrain d'un immeuble. Arrivé devant le portail fermé, une voix m'invita à entrer par le portillon que jouxtait la grille. Seuls les éclairages des sorties de secours fournissaient une légère lumière permettant de discerner les ombres des véhicules et de l'individu. “Suis-moi et ferme ta gueule !”. D 'un ton sec il m'ordonna de le suivre. L'inquiétude s'ajouta à l'angoisse et à l'excitation d'un inédit dépucelage. Alors que nous nous enfoncions dans les profondeurs du parking, il m 'entraina entre 2 voitures. « A genoux ! » exigea-t-il. A genoux, bloqué entre lui et le capot d'une voiture, il dégrafa son jean et sortit une queue en érection. Ce n'était pas ma première fellation et je commençais alors à le caresser et le lécher. « Bouffe la salope ! ». Il retira ma main et me prenant la tête il s'enfonça direct. « Avale petite pute ! ». Coincé je n'eus d'autre choix que d'accepter cette queue qui m'étouffait. Malgré mes hauts de cœur et les larmes causés par cette queue épaisse de 20 cm, il continua à me limer la gorge. Seuls les bruits de sa queue dans ma gorge résonnaient dans ce sombre parking. Après plusieurs minutes de ce traitement, il retira sa queue qui dégoulinait de ma salive. J'en avais plein le menton et le cou. Mon envie de partir se fit alors plus pressante et j 'aurais souhaité que ma bouche le fasse jouir afin qu'il me laisse partir. En vérité, une partie perverse de ma personnalité s'éveillait qui aimait ce traitement dur. « Debout ! ». A peine relevé, qu'il me prit par les épaules pour me retourner dos à lui. Lui, plus grand, plus fort, imposait sa volonté. Moi, partagé entre le stress et l'excitation, je ne lui présentais qu'une résistance légère et de principe. D'un geste sec il baissa mon survêtement. « Penche toi la pute ! ». Toujours de ce ton directif qui éveillait le soumis en moi. Il accompagne ses mots d'un coup fort sur les fesses. Allongé sur le capot, j'entendis 2 crachats qu'il étala sur ma rondelle étroite, avant de mettre l’un après l’autre ses 2 doigts. Un cri sortit de ma gorge sous la douleur, auquel répondit aussitôt une grosse claque sur la fesse gauche et un exigeant : « Putain ! Ferme ta gueule salope ! ». Un 3ème doigt rejoignit les 2 autres et ensemble, ils tournaient dans ma chatte anale vierge. Après 5mn de ce traitement difficile, alors que je retenais mes cris, ne laissant échapper que quelques gémissements involontaires, il retira enfin sa main. Le soulagement fut bref. Un crachat que son gland étala sur ma rondelle et je le sentis pénétrer mon petit trou un peu moins vierge. Son gland finit par s'engouffrer m'arrachant un cri de douleur. « Attends ! Mets une capote stp. » Sans tenir compte de ma volonté, j'entendis un « Cambre ! ». J'obéis directement, me redressant alors que sa main se plaquait sur ma bouche. Là, d'un fort coup de rein, il s'enfonça tout entier. Mon cri fut étouffé par sa main. Commença alors un pilonnage en règle. Très forts et impérieux, seul comptait son désir. La douleur vive n'empêchait pas mon moi pervers et soumis, de confondre plaisir et douleur. Ses va et vient durèrent une dizaine de minutes dans différentes positions qu’il m’imposait. Chaque fois il plantait brusquement sa queue en moi. Penché, sur le capot d’une voiture. Debout, bloqué contre le mur. Pris à 4 pattes sur le sol poussiéreux du parking. Moi, gémissants, les larmes aux yeux, il m'insultait, me crachait dessus et me claquait les fesses et le visage. C 'est lorsqu'il me fit m'allonger une dernière fois sur le capot d'une voiture que des gémissements rauques sortirent de sa gorge, accompagnés de coups de reins profonds. Il jouissait enfin en moi. Je m'écroulais au sol pendant qu'il s'habillait. Il me laissa seul dans les ténèbres de ce parking. Accroupi dans le noir, je me branlais jusqu'à une jouissance honteuse mais libératoire. Je rentrais souillé chez moi, espérant ne croiser personne. Imaginant la honte lisible sur mon visage. Cette expérience n'est pas de celles que je recommanderais. Je ne sais pas si c’est elle qui me donna le goût de la obéissance et d'un certain masochisme. Ou si elle ne révéla que mes inclinaisons sexuelles latentes de bonne chienne.