Histoires de sexe

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Une soirée bien remplie - 2
Histoire gay publiée le 23/10/2024
Chapitre 2: Me voici de retour pour vous compter la suite de cette soirée qui avait bien commencée tant physiquement que cérébralement. Mes muscles étaient bien chauds, mon anus s’était fait limer comme un fou, j’avais joui cérébralement mais bizarrement mon anus lui en voulait encore. On peut dire à ce stade ma mentalité de chienne, se retrouve satisfaite mais il y a un truc bizarre j’arrive chez moi j’étais toujours pas rassasié, j’avais encore envie de sexe, de défonce, de animalité, d’échange entre 2 partenaires, de baise tout simplement ! Par contre, aucune envie de sensualité, de calme, douceur, etc … Ca je le laisse aux stéréotypes qu’on se fait des gens qui vivent dans l'opulence, le puritanisme, le traditionnel programme du dimanche (10h petite pipe, 11h la messe, 12h30 le rôti traditionnel, petite sieste toute sauf crapuleuse, bref vous m’avez compris). Attention je ne juge pas, mais par contre je ne m’y retrouve pas du tout. Je me reconnectames donc sur mes sites favoris, toujours avec le même type de pseudo (lope, chienne, soumis pour le premier mot et le second docile, soumise, à doser, à souiller (j’adore les 2 derniers). Plusieurs mecs viennent me parler, certains excités du fait que j’étais rempli et ils mourraient d’envie de me tasser et d’autres écoeurés jusqu’à dire des mots d’oiseaux ou des gentillesses tel que “tu n’es qu’un nid à MST”. Ils ne savaient pas que je me faisais tester très régulièrement, ainsi que je prends la PREP. Je discute avec tout le monde sans exception jusqu’à ce qu’un mec avec qui j’ai déjà eu un rapport me contacte pour un plan à 23h30 dans son garage à Muret (20 km de chez moi). Le premier plan s’était super bien passé, il en a une plutôt conséquente, et avait été respectueux lors de notre rencontre, moins respectueux lors de notre échange charnel mais ça encore heureux sinon comment je me sens chienne! Je ne suis pas venu pour jouer aux cartes. J'hésite à y aller car c’est pas la porte à côté et lui, on va l’appeler Miguel, commence à se démotiver et me dit de laisser tomber qu’on fera une prochaine fois. Là la chienne qui est en moi se manifesta en un quart de seconde et sauta sur le clavier pour lui dire que maintenant de suite c’était possible, juste le temps de faire le trajet et que j’avais envie qu’il me défonce comme une chienne et qu’il tasse et rajoute du sperme à celui que j’ai déjà en moi. Il revena sur sa décision d’être fatigué et se retrouva d’un coup prêt à m’attendre afin que je lui vende le dernier produit High Tech (oui je sais je pars en couille c’est juste mon cul qu’il veut) Là je me dis au fond de moi que la soirée commence à être spécial, faire pas mal de kilomètres et se déplacer de mecs en mecs pour se faire souiller (il n’y a pas trop d’autres mots, le respect de mon côté salope est au plus bas de l’échelle et en même temps c’est ca le jeu; tout en continuant à rester sur le principe de scénarios consentis entre adultes responsables). Venons en donc au scénario de ce rendez-vous improvisé à 23h30? Pourquoi changer une technique qui marche, j’arrive il m’ouvre son garage, on se met à poil, lui assis en mode pacha sur son canapé et moi à genoux entre ses jambes, ma réputation qui fait ma fierté fut une fois de plus remise en jeu sur comment et en combien de temps je vais mettre Monsieur en forme). Je me régale surtout que son attribut a une particularité. Déjà il est assez gros, un bon 5 cm d’épaisseur et 15-16cm de longueur, ce qui pour mon petit cul serré; qui s’était fait défoncer 2 heures plus tôt par une 20x5, j’avais gardé le plug, j’ai du sperme et du gel comme lubrifiant; allait encore être une épreuve. Je m’amuse à dire que mon cul redevient puceau après chaque rapport mais ca va devenir une légende belle et bien réelle; surtout quand tu vois qu’une fois bien dilaté (c’est pas tout les jours lol) ce qu’il est capable d’encaisser et d’en tirer du plaisir uniquement par le ramonage et la puissance viril du mâle qui prend soin de moi (mes couilles oui; qui prends soin de lui et de son plaisir et quant au mien n’est que pour la plupart un trou dans lequel se vider). ps: J’ai toujours trouvé ca très drole ceux qui se persuade d’être hétéro car ils ont juste baisé un cul et rien touché d’autres du corps de l’homme, personnellement ca m’amuse encore beaucoup. Parlons maintenant de cette particularité (que je connaissais déjà mais que j’avais sous-estimée dans mes souvenirs). En plein milieu de son pénis une surcroissance circulaire de facile 1cm faisait tout le tour de son pénis comme si il avait un cock ring, et étant en plein milieu de l’objet central, à chaque vas et vient ca faisait que écarté et resserré comme quand le gland entre et ressort complètement sauf que là comme c’est en plein milieu c’est à chaque aller retour et ca fait bien 6 cm d’épaisseur à cet endroit précis, ca a finit de me faire grimper au 7eme ciel et me mettre à couiner / jouir car si je couinais c’était pas doucement. Cette proéminence me défonce le cul et a chaque passage me provoque un hoquet ou du moins la bouche ouverte qui cherche sa respiration avec la tête en avant qui pour ma part tape le dessus du canapé. Bien endurant il me lime facilement 20 bonnes minutes à un rythme soutenu et là je me dis qu’entre le black plus tôt dans la soirée et lui maintenant à quoi allait ressembler mon pauvre petit anus. Est ce fini le temps où il redevient puceau après chaque rapport, car là aujourd'hui il a encaissé quand même. Il me défonce de toutes ses forces puis me remplis à ras bords, moi pendant ce temps je jouissais clairement du cul et toujours cérébralement. J’adore vraiment trop me sentir chienne et qu’on me prenne en main, même pas besoin de jouir de façon traditionnelle. On se dit aurevoir en 30s, il ferma le garage, et je repris ma voiture le cul remplis d’une seconde dose et je me dis que quand je m’y mets je suis quand même une sacrée belle salope. Vous savez c’est quoi le pire ? C’est que la soirée n’était toujours pas finie… Même moi on me l’aurait dit j’y aurais pas cru. Que vas t’il se passer maintenant ? Chapitre 3: Je conduisis donc jusqu’à chez moi tout content et tout honteux (j’adore ce paradoxe) remplis de sperme, un peu mal au cul quand même. Et me posa devant une série tranquille. Les sites étaient toujours ouvert en arrière plan mais je naviguais plus dessus c’est bon j’étais rassasié et j’allais même peut être commencé à envisager de me faire jouir par ce qui me sert de bite, qui certes au meilleure de sa forme présente une majestueuse taille de 18cm de longueur et 5cm d’épaisseur mais qui malheureusement la plupart du temps est plus dans les 6cm toute mollassonne. Pour me faire jouir, certains jours c’est la croix et la bannière tellement elle ne fait aucun effort, je peux toujours essayé de faire des allers retours que rien n’y fera et la frustration en sera d’autant plus grande. Heureusement que mon plaisir quand je baise (je n’emploi pas volontairement le terme faire l’amour pour ce genre de rapport) passe avant tout par le plaisir de l’autre, et que j’arrive à jouir du cul et encore et toujours l’épanouissement de l’autre sans être altruiste pour autant me fait passer un moment d’accompagnement entre 2 personnes de bonnes compagnies (méfiez vous quand même de tous les tordus qui trainent sur les sites et même lieux de dragues, j’en parlerai dans mon autobiographie de tout ça plutôt). Donc me voici posé chez moi, jusqu’à tard (3h du matin) et je reçois un message sur un des sites et devinez qui c’est c’était le black du début de soirée qui rentrait de soirée, qu’il était trop chaud, et il voulait savoir si j’étais pas chaud de venir me faire souiller (je crois que c’est son terme en plus) dans l’escalier commun de l’immeuble (c’est cool il a de l’imagination) car lui avait trop envie et qu’il allait me défoncer et qu’en tant que salope blanche je pouvais pas dire non à l’appel de la dominance bestiale de sa queue noire puissante et virile, qui depuis qu’elle m’avait remplit une partie de mon cul lui appartenait et qu' il faut écouter le dicton jamais deux sans trois, vu que je lui avait raconté pour le mec entre temps. En plus il me traitait de salope, de chienne, de garage à bite etc et surtout que j’étais fait pour ca je pouvais pas dire non je savais au fond de moi que j’en avais trop envie. Et je dois avouer que dans mon ventre ça bouillonnait tellement j’avais envie de me faire remplir et mon cul lui m’envoyait 2 messages dont 1 comme on peut le deviner d’aller se faire défoncer (ca c’est la partie qui ne réfléchit pas trop) et un 2nd message qui me disait de me calmer, que là en plus il était bourré il allait me défoncer même si il était convenu que si j’ai mal on arrête. Mais l’occasion n’allait pas se reproduire de si tôt et je ne laissa pas à mon cerveau le temps de prendre une décision rationnelle, je fit un lavement (pour moi l’hygiène doit être irréprochable), ce qui sur le coup j’ai pas pensé que ca allait xxx tout le sperme accumulé mais bon tant pis comme vous allez voir ca l’a pas gêné trop longtemps. Je le rejoins donc à sa résidence à 3h du matin, il vient m’ouvrir et nous prîmes la direction des escaliers communs. Il ne me laissa même pas le sucer, il me retourna et me mis à 4 pattes sur les marches de l’escalier et lui installa les jambes debout bien en appui le gland pile au niveau de mon anus et força pour y entrer sans mettre de gel ni rien. Ca me fit trop mal, je le fis retirer pour qu’on mette du gel mais une douleur s’était créée et finalement moi j’étais plus si chaud que ca, j’avais eu ma dose (c’est le cas de le dire) pour ce soir. Il recommença son entrée, plus doucement cette fois ci, il réussit à rentrer, ça me fit moins mal, mais toujours une gène quand même. Il commença à me limer en me traitant de salope et d’autres noms d’oiseaux, que je lui répondis par oh oui c’est bien moi, continues je suis ta chienne. Il faut bien jouer son rôle jusqu’au bout 🙂 Cependant au bout d’un moment ca me gênait trop et ça recommençait à me faire mal, n’allant pas le laisser sur la béquille en tant que bonne salope je lui demanda s' il pouvait se presser pour jouir et me remplir pour la 2nde fois de la soirée car je commençais à fatiguer. Il s’est alors mis à me mettre des coups de boutoir d’une intensité sans nom, ma tête rebondissait contre une marche et tout mon corps montait quasiment d’une marche à chaque coup de reins. L’escalier devait être bien insonorisé car entre lui qui commençait à grognait plutôt fort parce que ça montait et m’insulter et moi qui répondait à ses insultes et l’encourager à jour le plus vite possible en couinant, serrant les fesses, aspirant sa queue avec mon anus, donnant des coups de bassins à mon tour, (j’en pouvais plus il fallait qu’il jouisse là mon trou de balle était arrivé à sa limite journalière). Il explosa déjà dans un bruit qui raisonna dans tout l’escalier, et je sentis une dizaine de jets me remplir l'intestin, plus que le soir à 21h. Etait-ce parce qu'il était bourré ? On ne restâmes pas à taper la causette on se rhabilla chacun de son côté et je partis prendre ma voiture. En rentrant chez moi j’ai eu l’heureuse surprise de trouver un témoignage sur mon profil venant de sa part donc je vous en fait la copie: “Une vraie salope qui n'a pas hésité à accourir à 3h du mat pour me satisfaire une deuxième fois. Vraie mentalité de chienne et bon cul à défoncer.” Voilà pour cette soirée bien remplie qui fut riche en rebondissements et en aventure. J’espère que mon histoire vraie vous aura plu ! A très vite pour de nouvelles épopées. 0liv.