La visite de Kader
Histoire gay publiée le 02/09/2024
Le bâtiment où j’étais sans être très haut n’avait pas de vide ordure et je les descendais quand je devais descendre, ce local sale car rarement visité par le concierge de la cité je n’y restais pas, des graffitis montraient chates en chaleur dégoulinante de sperme ainsi que des culs d’hommes tenus cuisses ouvertes avec un chibre au centre. Des organes mâles recouvraient les murs. Je déposais mon sac dans une benne et ressortait vite. Un bruit venait de derrière les bennes et curieux de nature (ma pire erreur) je suis allé voir. Derrière, un jeune était assis sur un autre ventre nu et gémissait sans avoir bien mal. Par discrétion je me suis retiré mais celui de dessous m’avait vu. -Alors Éric tu te rinces l’œil ? Ne crois pas ça, j’ai entendu du bruit et je venais voir. -Profites en, je vais en finir avec José. J’avais vingt-deux ans et je n’étais pas niais, ces deux-là se donnaient du plaisir et moi-même j’ai bandé de les voir. Ali, jeune beur donnait du plaisir à José qui adorait ça semble-t-il. Il s’était reculé et suçait l’engin qui lui avait donné du plaisir. Une fois l’engin propre il s’est rhabillé et passant à côté de moi est sorti. Du coup j’ai vu ce qu’il avait entre les cuisses et ce n’était pas petit ni mince. Il m’a regardé souriant tout en jouant avec son sexe. -Ma bite t’intéresse Éric ? Jamais vu de bite de beur ? Peut être à la piscine mais pas dans cet état. -Si tu es intéressé je peux venir te la montrer. Tu es mignon pour un céfran, et puis tu es majeur toi. Tu peux venir mais sais-tu où j’habite ? -Tu parles, tout le monde sait où te trouver. Tu es libre ce soir ? Je suis bête, aller au ciné coûte cher et tu n’as pas les moyens. Tu restes devant ta télé et tu te branles en matant ce qui passe. Oui et alors ! Je suis libre de me branler, et puis habilles toi, cache au moins ta queue. -Je te la montrerais ce soir et se branler à deux c’est plus cool. Tu n’as pas le style à te branler. -Bah on verra bien. Je passerais vers onze heures ce soir. Je suis rentré chez moi, l’image de José se prenant la queue par plaisir me dérangeait. Une fois la porte refermée je me suis branlé comme un fou, l’image de la queue sortant du cul, encore raide et baveuse m’excitait. J’ai ouvert une boîte de cassoulet et l’ai mise à chauffer je me suis changé le temps que ça chauffe et allumé la télévision. Le jeu du soir en route je me suis mis sur le canapé. Toujours la vue de la queue dans la tête. Je bandais dans mon short de jogging et je suis allé vider le cassoulet dans une assiette pour manger devant la télévision. Après les infos toujours geignardes et la pub un film marrant m’a passé le temps. Je pensais enfin à autre chose quand la sonnette a retenti. Tout m’est revenu en mémoire et je suis allé ouvrir. Kader était là, souriant. -Alors, en forme ? Il avançait la main et j’ai tendu la mienne mais lui a mis sa main sur mon jogging. Pas trop dis donc, tâte la mienne. J’ai eu une hésitation et rougi mais j’ai touché à travers le jogging qu’il avait mis et c’était chaud et déjà dur. Il a maté le salon. - On se met sur le canapé ? Il était bien plus à l’aise que moi et à peine installé il a dégagé son sexe. Sa main s’est introduite dans mon short et je n’ai pu retenir une érection, moins belles que la sienne mais j’étais comme ça. -Autant se mettre à l’aise de suite. Il a baissé son jogging et écarté les cuisses. Comme ça tu la vois bien. Il la branlait doucement. Vas-y baisse ton short on est entre nous. Ta queue est belle. Et en plus tu as le prépuce ! Génial. Prends la mienne en main je vais branler la tienne Première main d’homme à me toucher le sexe, j’ai fermé les yeux de ce plaisir inconnu. -Tu as l’air d’aimer ça, tu mouilles de la bite. Il se laissait branler et en se penchant il a chopé mes couilles. -Elles pendant pas mal j’aime bien. Avance ton bassin sur le canapé. Mais vite tes tennis et ton short, tu seras plus à l’aise. Je ne savais plus trop faire avec un mec mais bon j’ai tout xxx et il est passé des couilles à juste dessous, tout près de mon trou. -Tu as vu José le plaisir qu’il a pris tout à l’heure ? Oui et je ne comprends pas pourquoi il peut aimer se faire enculer. -Tu sais l’anus est un muscle et il ne demande qu’à travailler. Attends j’ai du gel dans mon jogging. Mais ton engin ne pourra jamais entrer ! - Regarde, je mets juste une noisette de gel sur mon doigt. J’ai senti le doigt tourner puis s’enfoncer dans mon anus sans presque aucune douleur. Il a pu s’enfoncer et explorer en tournant dans le trou. ... à suivre