Le dépucélage de Paul - 3
Histoire gay publiée le 23/08/2024
Une fois dehors et séparé, j’avais encore la sensation d’avoir le cul ouvert. Mes parents dormaient encore et je me suis endormi, plein d’images de sexe dans la tête. Ma tante m’a réveillé. -Tu as du faire des cauchemars t’as les yeux en trou de pine. Si elle savait. J’ai pris ma douche. En effet mon anus était sensible mais plus souple à ouvrir des doigts. -Tu ne mets pas ton jean ? Non, je suis plus à l’aise en jogging. J’ai déjeuné. Papa va mieux ? -Oui il n’est pas habitué aux efforts mais ça va venir j’espère. Je suis passé aux toilettes, ôter le slip sous le jogging. Je sentais la couture sur mon trou à pines et j’aimais la sensation. Je file maman. Je l’ai embrassé. -Soit sage mon gars. A peine parti vers l’arrêt de bus Karim m’a rattrapé. -Tu sais que tu me fous la trique quand je te vois. Moi je te sens encore en moi. On arrivait à l’arrêt et personne encore n’attendait. Il a glissé la main dans le pantalon du jogging. -Tu n’as pas mis de slip ? Non j’aime bien le frottement de la couture là où vous mettez vos queues. -Je sens bien que tu aimes ça ! Tu bandes. Il faudra que tu découpes le fond d’une de tes poches. Pour passer aux choses sérieuses, j’ai un pote qui fait le concierge dans une résidence plus classe il cherche un remplaçant. Le car arrivait et on est monté. Placé côte à côte il a joué dans mon jogging. Elle est grande cette résidence ? -Bah deux appartements par étage et il y a quatre étages avec parking, cave et débarras fermé. C’est classe et tu as une belle loge au rez-de-chaussée. C’est sur le boulevard et tu as une porte qui donne sur une ruelle pour les poubelles. Mais je n’ai pas de certificat et aucunes références ! -Ne t’occupes pas de ça, mon oncle se charge de tout. Je pense que t’es pas contre une pipe à un mec de cinquante ans pour avoir le job. C’est bien payé ? -Déjà, c’est un vrai appartement, pas d’électricité ni de gaz à payer et le net est collectif. Tu as le SMIG, c’est pas mal non ? Xxx j’ai manqué mon arrêt du coup ! -Pas grave, un des frères te ramènera. D’habitude tu attends que ton bahut s’ouvre et là tu as du temps pour de la bite. On va descendre là. C’est un coin plein de beurs par là non ? -Tu n’as pas aimé les beurs hier soir ? Si c’est vrai. Tu me fous la trique de penser à ça. -Au fait, on n’en a pas parlé, tu n’as rien contre être soumis comme une chienne ? Euh j’ai vu des photos et ça dépend de la soumission. -Le pote que tu vas remplacer si tu es d’accord à toute une pièce destinée à ce genre de sexe. Arrête de parler de sexe je vais exploser. On marchait dans une des rues de banlieue de l’ancien village rempli maintenant de beurs où je ne me serais pas aventuré sans lui. -On rentre là, pousse la porte et fait gaffe ça descend dans les caves. Oups ! Ce sont directement les marches ! Heureusement que tu m’as prévenu. -Descend. C’est profond, on va dans les anciennes carrières de Paris. Il y a eu un palier qui devait servir de vestiaire où des fringues étaient accrochées. -Fait comme moi, vire tes fringues, tu as un crochet là. Le voir nu comme moi ! je ne l’avais jamais vu entièrement nu. Il m’a posé un collier noir, large, genre pour molosse. - On continue la descente. Des lampes s’allumaient en passant dans la descente et j’ai commencé à entendre des voix. Un large espace était devant moi, occupé par trois jeunes beurs. -Salut Karim ça va ? -Oui je voulais montrer à mon lope la soumission que j’attends de lui. Ils se sont écartés et j’ai vu un mec masqué, rasé, bouche maintenue ouverte par un truc de dentiste qui bandait comme un fou en nous entendant. Ses deux pieds étaient maintenus écartés par des chaînettes et les reins soulevés par un genre d’oreiller en cuir. On voyait ses couilles entourées d’un large lacet et en dessous son anus maintenu ouvert par un truc qui le tenait largement comme ça. Sur son torse j’ai vu des pinces comme j’en utilisait pour les travaux pratiques qui mordait les tétons, reliés par des gars. Régulièrement il râlait et se tendait, sexe compris. -Tu aimerais être à sa place ? Je ne sais pas mais c’est excitant. Il peut jouir ? -Bien sur mais les traits sur son front indiquent sa troisième giclée. Si tu aimes ce genre, le poste dont je t’ai parlé est à toi. Et c’est moi qui serais à sa place ? -Pas toujours, j’ai des jeunes qui aimeraient ça. Et il y a tout ce qu’il faut là où je t’ai dit. Pour toi, ce sera ici sur une convocation que tu recevras. J’ai envie de jouir là. -Ne te prive pas, fais toi plaisir il est là pour ça. Je suis passé entre ses cuisses et j’ai enfoncé ma queue dans le trou maintenu ou j’étais raide et pressé en une dizaine de va et vient j’ai joui dans son cul. Il a eu en même temps une contraction que j’ai devinée électrique. Dans mon dos j’ai senti un sexe et j’ai compris que c’était ma contribution. Je me suis détendu et le mec m’a bourriné les fesses à m’en faire gueuler avant de se retirer. -Viens on remonte. Tu as vu la route pour venir et quand tu auras une convocation il y aura une carte magnétique jointe, pour ouvrir la porte. Avant de t’habiller j’ai emprunté un ciseau et je vais découper le bas de ta poche gauche. Je pourrais glisser ma main par là. En m’habillant j’ai changé le slip de poche et on est sorti.