Histoires de sexe

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Le dépucélage de Paul - 2
Histoire gay publiée le 23/08/2024
J’ai attendu un moment et quand j’ai entendu leurs souffles réguliers je suis sorti refermant le verrou et me suis dirigé vers l’escalier de la cave. Au premier palier un mec attendait et après une hésitation j’ai sorti ma queue. -Une lope vierge obéissante ! Tu en veux toi ! Tu vas être servi. Laisse-toi faire. Il a sorti de sa poche un genre de collier de chat qui a entouré mes boules et une simple corde. Il a tiré un peu dessus et voyant ma grimace a souri. -Suis moi et avance sinon ça peut faire très mal. J’avais bien compris et docilement j’ai suivi. Le sous-sol était plein de coins et recoins et je ne le connaissais pas. On est passé devant une suite de porte murée de parpaings avant qu’il ouvre une des portes de coin et me tire à l’intérieur. Akim était là, assis sur un genre de fauteuil. -C’est bien ce que je pensais. Tu as apprécié la petite série de sucette et tu en veux plus. Pour ça il faut te mettre à poil entièrement. Regarde autour de toi ils sont nombreux à attendre de voir un lope et bientôt une chienne. En effet ils étaient une dizaine, assis sur un vieux canapé défoncé et des bancs curieux comme je n’avais jamais vu. Quelques-uns appuyé aux murs. -Aller pas de chichis tu sais pourquoi tu es là alors vire tes fringues. Commence par le bas, c’est plus humiliant et ça te rendra plus souple. Je me suis accroupi pour défaire les lacets et ôter les tennis puis les chaussettes et relevé pour ôter la ceinture qui retenait mon jeans, dévoilant mes cuisses, mes mollets et le bas du slip. J’ai enfin baissé mon slip, dévoilant mes couilles pendantes et le prépuce. Plus très à l’aise j’ai tiré le tee-shirt par-dessus la tête. J’étais nu et tous les regards portaient sur mon sexe et mes reins pour ceux qui étaient derrière. Akim s’est levé et une main sur mes fesses, a titillé le bourgeon de mes tout petits seins me faisant frémir. J’ai senti un de ses doigts appuyer dans ma fente, sur ma rondelle de gars me faisant fermer les yeux. Il a appuyé de plus en plus fort mais mon anus ne cédait pas. J’ai commencé à bander et il a saisi au vol la perle qui sortait de ma queue et remettre le doigt sur mon anus. Cette fois il a cédé et ma bite s’est dressée d’un coup. -Visiblement tu aimes avoir le trou de ton cul occupé ! Il s’est dégagé. -Monte sur la table que tous puissent voir ton cul. Pas mal avait déjà sorti leur queue et se branlaient doucement. J’ai remarqué que deux avaient un prépuce. Sur la table deux lanières en cuir ont entouré mes avants bras pour que je ne bouge pas et j’ai senti une odeur de crème grasse venant de mes fesses, et des doigts qui l’étalait. J’attendais presque avec impatience ma première sodomie. Je n’avais pas remarqué les vérins sur les deux pieds de la table qui l’ont abaissée un peu mettant mes fesses et mon cul à hauteur d’un sexe mâle. Enfin j’ai senti la chaleur puis la puissance d’une bite s’enfoncer en moi. J’ai ouvert la bouche pour un râle de plaisir mais elle a trouvé une queue que j’ai accepté avec plaisir. Embroché comme mis à la broche ils m’ont limé, bouche et cul, tournant pour changer de trou, j’acceptais mes humeurs de fesses mêlées au sperme. Je ne sais pas combien m’ont baisé ce soir-là mais avant de me détacher j’ai eu droit à une éponge entre les fesses. -Tu as apprécié comme un vrai lope. Demain ce sera plus souple. On te prépare une surprise. Rhabille-toi, toute la barre d’HLM sait ce que tu es. Fonce te coucher il va être l’heure de bosser. Ils n’étaient plus que deux et Karim a profité du moment où le mec détachait mes bras pour écrire au feutre indélébile juste au-dessus de mon cul, LOP, pas visible avec un slip mais penché en avant si. Je me suis levé, la table avait du sperme sur le revêtement, le mien surement. J’ai essuyé ma queue et me suis rhabillé. Demain toute l’immeuble verra la vidéo alors soit pas surpris. Mon site n’est pas accessible au plus de trente ans ça reste entre nous les jeunes. Je vais t’aider pour sortir, ce n’est pas évident de se retrouver ici. Un fois dehors et séparé, j’avais encore la sensation d’avoir le cul ouvert. Mes parents dormaient encore et je me suis endormi, plein d’images de sexe dans la tête.