Histoires de sexe

Maintenant, cela faisait bientôt une semaine que mes trois amis m'utilisaient comme leur videcouille et je prenais beaucoup de plaisir à l'être. Aussi, je me sentais plus à l'aise parmi eux. On rigolait sous les douches et je ne me cachais plus pour me changer dans le dortoir. Les autres me regardaient aussi avec plus de convivialité et de sympathie. On arrivait au week-end, enfin on bossait le samedi matin quand même et l'après-midi c'était relax. Amar est venu vers moi et me raconta que les autres ont tout compris de notre petit jeu les soirs et lui en ont parlé en me disant que cela ne les dérangeait pas et qu'ils aimeraient en profiter aussi, que je sois leur fatma.
"Tu accepterais de leur servir de videcouille aussi ?"
Avec un grand sourire : "Oui, bien sûr Amar."
"OK, je vais leur dire. Tu vas assurer pour nous tous ?"
"Oui, t'inquiète pas Amar."

Il partit de suite leur dire. Je les ai vus discuter autour d'un thé, ils se tapaient dans les mains. J'en ai profité pour me changer encore. En fouillant dans mon sac, j'ai sorti un mini-short ultra moulant rose et un débardeur très court qui s'arrête plus haut que le nombril. Un dernier regard dans la glace, je me vois vraiment comme une bonne petite lope sexy. Je les rejoins et les vois tous qui me regardent avec les yeux grand ouverts, avec de larges sourires. Amar m'interpelle : "Oula la, tu es très jolie, tu fais bien pétasse, tu vas leur donner envie comme ça."
"C'est fait pour Amar, je ne veux pas vous décevoir."
Ils parlaient tous entre eux en me regardant, en se frottant le sexe sous leurs pantalons.
"Viens vers nous ma petite pétasse."

Au milieu d'eux, ils en profitent pour me caresser partout et moi aussi j'en profite pour leur toucher le sexe. Hmm, que du gros matériel, les Arabes sont vraiment super bien montés. L'après-midi se passa très bien, tranquille. Souvent je reçus des tapes sur les fesses quand je passais à côté d'eux. Le repas fut très joyeux, on but du vin rouge. Au moment de rentrer dans le dortoir, j'ai remarqué que les lits étaient poussés au maximum contre les murs pour laisser plus de place. Surprise, je regarde Amar : "C'est quoi ce bordel ?"
"Ce soir on danse, soirée sexe, tu veux toujours ?"
"Oui, oui, super idée."

De la musique orientale fut mise, on dansait tous ensemble. Moi, je me déhanchais en bougeant mon cul, eux en profitaient pour caresser. Ils ont commencé par enlever mon minuscule débardeur, ils ont fait glisser mon mini-short, je me suis retrouvé en string. J'ai vu des bites se dresser sous les djellabas. Younes, lui, s'est mis nu direct et m'a enlacé en faisant signe aux autres de l'imiter. En 10 minutes, tout le monde était nu, des bites raides m'entouraient. Amar me dit : "Allez maintenant, fais ta pétasse à genoux, ils n'attendent que ça." Je me mis à genoux, c'est Younes le premier qui me présenta sa bite à sucer. Je la dévorais en fond de gorge. Les bites s'approchaient et j'ai dû toutes les sucer. La soirée fut longue. Après les avoir sucées, ils ont disposé mon matelas sur le sol. Je fus mise à quatre pattes, le cul cambré. À partir de là, ils m'ont tous baisée, je dirais plutôt défoncée. Plus la soirée avançait, plus ils me baisaient sans scrupule, sans ménagement. J'ai sucé et me suis fait défoncer toute la nuit en continu. J'ai avalé beaucoup de sperme et j'ai aimé me faire remplir le cul de sperme. Certains m'ont prise plusieurs fois de suite. Mon matelas était couvert du trop-plein de sperme. Quand tout fut fini, on se coucha. Moi dans mon matelas puant de foutre, j'avais la chatte béante. En me touchant le cul, je pouvais introduire 4 doigts très facilement sans forcer. Dans le noir, certains sont même revenus me baiser. Je ne bougeais plus, je n'étais juste qu'un trou