Job d été - 1
Histoire gay publiée le 19/08/2024
Je suis un cefran de 28 ans, 172 cm, 68 kg, épilé. Me voilà parti en Espagne du côté de Valence pour passer 15 jours en vacances. Le voyage se passe bien. Arrivé à Valence, je me dirige vers un hôtel pour prendre une chambre. Je fouille mon sac : plus de porte-monnaie (700€). La panique ! Je fouille toute l'auto, rien. En réfléchissant, je pense l'avoir laissé sur le contour de la station-service à plus de 300 km. C'est foutu. Comment faire ? J'ai juste mon permis de conduire, ma carte d'identité et mon téléphone des années 2000 qui ne passe pas. La totale.
En faisant les cent pas autour de l'auto, je réfléchis. Je dois trouver de l'argent, un job pour me dépanner. J'accoste plusieurs personnes pour des renseignements, mais comme je ne parle pas espagnol, c'est compliqué. Au bout d'un bon moment, enfin un homme parle le français, comprend ma détresse et me conseille pour un job d'été d'aller dans les grandes fermes à la périphérie de Valence.
Ni une ni deux, je reprends l'auto et me présente à une, puis deux, puis trois exploitations, et j'ai la même réponse : non, complet. C'est à la dernière, la plus éloignée et la plus vieille vu l'état des locaux, heureusement que son gars de 3ème a pu plus ou moins traduire. Il dit seulement OK pour 2 semaines, mais pour le prix je serai payé comme les autres ouvriers pour ne pas créer de tension. J'accepte malgré la très faible rémunération. Je logerai avec les autres dans un bâtiment aménagé pour les travailleurs saisonniers.
Là, directement, il m'amène aux champs de melons et m'explique ce que je dois faire pour ramasser les melons. Il me présente vite fait aux autres, beaucoup de travailleurs arabes, quelques Espagnols, mais ils conduisent les engins. Puis après les explications et la présentation du personnel, il me ramène à la ferme, me donne une combinaison et me montre le dortoir pour déposer mes affaires et me changer. Le dortoir sommaire : des lits superposés avec des armoires métalliques à côté, les douches sont des douches collectives.
Il me ramène aux champs pour commencer la journée. J'ai fait la connaissance de mes collègues de travail, tous arabes, spécialement des Marocains. L'un d'eux parlait super bien français, c'était Amar, 32 ans, le plus jeune d'eux. Les autres, il y avait Mohamed, Younes, Farid, Akim, Abdelkader, Moustafa, Abdul. Après la journée très fatigante, on se retrouve tous au bâtiment pour une bonne douche et les voyant se déshabiller, j'aperçus qu'ils avaient de belles bites. Moi au milieu d'eux avec ma petite bite, ils vont se moquer de moi. Quand je suis entré dans le bloc douches, ils m'ont tous bien regardé de bas en haut. Ils ont remarqué que j'étais complètement épilé. Ils parlaient tous en arabe en me regardant. Je demande à Amar de traduire, il me répond : "Non, laisse tomber, c'est des conneries." J'insiste et il me dit : "Ils pensent que tu es un PD comme tu es épilé."
"Et si j'étais un PD, ça changerait quoi ?"
"Tu sais, ils n'ont pas vu leurs femmes depuis 6 mois, alors tu vois ce que je veux dire ?"
"Non, explique ?"
"Tu risques de leur servir de femelle."
"Ah OK, je comprends," avec mon sourire coquin.
Après le séchage, on se rhabille. Je mets très discrètement un string, je n'ai que ça comme sous-vêtements, un short et un débardeur. Tout le monde discute ensemble, ça rigole, ça fume et on va manger tous ensemble, c'est pris en charge par l'exploitant. Le repas fini, on traîne un peu avant d'aller se coucher. Amar me demande : "Dis-moi, tout à l'heure sous la douche quand les autres pensaient que tu étais PD, ça t'a gêné ?"
"Non, pas du tout, je le suis, oui."
"Tu es PD passif ou actif ?"
"Moi je suis passif, je dirais femme passive soumise, tu sais ce que ça veut dire Amar ?"
"Oui, oui, tu es une videcouille."
"Exactement Amar."
"Ce soir je te rejoins dans ton lit."
Quand je rentre dans le dortoir, déjà certains sont couchés. Amar m'indique mon lit. Au fur et à mesure, tout le monde se couche. En enlevant mon short, je fais attention qu'ils ne remarquent pas que je porte un string, mais je pense que certains l'ont vu car j'ai remarqué des lueurs de lampe électrique sur moi. Au bout d'une heure, Amar se glisse dans mon lit très doucement pour ne pas réveiller les autres.
"Chut, suce-moi, j'ai trop envie."
Direct, je glisse sous les draps pour le sucer. Très belle bite, 20/6, épaisse, circoncise. Je m'applique avec douceur mais soudain Amar me prend la tête à deux mains et me lime vigoureusement la bouche. Très vite, il gicle 6 gros jets de foutre que j'avale silencieusement. Il était vraiment pressé de jouir et repart se coucher. Tout le monde dormait jusqu'au réveil à 5h.