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Le rebeu domi sur la plage
Histoire gay publiée le 07/08/2024
Je suis en vacance avec ma famille, belle résidence pas loin de la plage. J’ai eu 18 ans il y a quelques mois, mais je suis toujours vierge. En fait, mon vrai kiff, ce serait de me faire baisé par un vrai mec dominant, un bon mâle alpha. Tous les soirs, je vais me promener sur la plage, en short avec une chemise ouverte. Il n’y presque jamais personne, à part un mec qui vient pour téléphoner. Tous les soirs je le regarde de loin, discrètement bien sûr. Il doit avoir au moins 40 ans, il est très grand et super baraqué. Il est toujours torse nu, dévoilant son torse musclé. Mais surtout, il a entre les jambes une grosse bite bien large, qui me fait trop envie. J’aime bien le regarder longtemps, mais je détourne le regard dès qu’il me jette un coup d’œil. Un soir, je vais sur la plage pour me promener (plutôt, pour aller mater), et je m’assois dans le sable à bonne distance de lui. Au bout de quelques minutes, il range son tel dans la poche de son short et il commence à venir vers moi. Je me dis que je me fais des films et qu’il vient pas me voir, mais il s’arrête devant moi. Il est super grand et il regarde de sa hauteur. J’ose même pas lui parler. “T’aimes bien ce que tu vois ?” me dit-il avec sa voix grave. J’acquiesce en rougissant, il a cramé que je le matais. Il sourit et il avec sa main, il secoue un peu le renflement de son short. “Tu veux voir plus ?” Je ne réponds pas, j’ai les yeux figés sur son énorme paquet qui est juste en face de mon visage. “Putain, je le savais que t’étais une vraie salope !” dit-il. Il m’attrappe la tête avec ses grandes mains puissantes et il me pousse le visage contre son entrejambe. “T’as envie de voir ma queue ? C’est ça que tu veux, hein ? Tu rêves de goûter à mon gros zob ?” Je rougis, mais j’acquiesce. Son ton dominant commence à m’exciter. J’attrappe l’élastique de son short, que je baisse lentement. Sa queue sort d’un coup de son short. Elle est énorme, au moins 20 cm de long, et large, avec un gros gland et des grosses couilles qui pendent bien en dessous. J’arrive pas à détacher mes yeux, c’est la plus belle chose que j’ai jamais vu. Il peut pas s’empêcher de lâcher un rire. “Wow, j’pensais que t’étais une bonne pétasse, mais pas à ce point là !” Ses insultes me font rougir, mais elles m’excitent secrètement. “Vas-y,” dit-il, “suce moi. Pompe moi bien, comme une bonne petite salope.” Il attrape à nouveau ma tête et me rapproche de sa queue encore pendante. Il est trop tard pour faire marche arrière, je ferme les yeux et j’ouvre la bouche. Son gland est doux et chaud entre mes lèvres. Je commence à sucer légèrement, mais mon rebeu s’impatiente. “Vas-y, salope, suce-moi !” Il pousse sa queue plus loin dans ma bouche, jusqu’à ma gorge. La taille de sa bite m'écarte la mâchoire et je m’étouffe sur son sexe. Il commence à faire des mouvements avec ses hanches et il me baise la bouche en me tenant la tête. Il soupire et pousse des râles de plaisir, et je sens le sang battre dans sa queue. “Vas-y, ouvre ta bouche p’tite pétasse !” Il retire son sexe de ma bouche et dans un grognement, il jette quatre grands jets de son sperme chaud sur mon visage et sur ma langue. Il soupire et me tape gentiment sur la joue. “Demain, même heure salope.” Il part, et je me nettoie, en imaginant déjà notre prochaine rencontre.