Mon maitre Nassim
Histoire gay publiée le 05/08/2024
Salut L’histoire que je vais vous raconter est vrai et c’est passé pas plus tard qu’avant hier Moi c’est Nathan, 20 ans, petit blond imberbe et cheveux mi long. Il y a une semaine j’ai emménagé dans mon nouvel appart étudiant et ça fait plusieurs fois que le soir en rentrant chez moi je sens une forte odeur de ieps. À vrai dire ça n’est pas pour me déplaire. Mais je suis quand même curieux d’en connaître la source. Il faut savoir que je suis au 5ème étage et que au dessus de moi il y a un dernier étage où je ne suis encore jamais monté. J’imagine que l’odeur provient donc d’en haut. J’attend qu’il soit un peu tard et que tout le monde soit rentré pour ne pas faire de rencontre malencontreuse, avant de sortir de chez moi habillé simplement d’un survet sans rien en dessous et une paire de TN enfiler à l’arrache. Je sors de chez moi, je claque la porte et je monte discrètement, plus je monte les marches plus l’odeur se fait sentir, je me dis que je suis sur la bon chemin. Doucement je sens ma queue qui se met à durcir et à dessiner une forme sous mon survet. Il est 23h et l’immeuble et silencieux. J’arrive donc au 6ème étage et je découvre sur le palier une énorme collection de TN, envoûté par la forte odeur qui s’en dégage, je me précipite sur la première paire que je trouve, et me met à la sentir frénétiquement comme si ma vie en dépendait. Je sniff cette paire et commence à la lécher avec gourmandise en m’attardant sur l’intérieur qui avait un goût délicieux. Je frotte ma queue sur la dernière marche de l’étage, je suis littéralement allongé sur la pallier du 6ème étage entouré de multiples paire de TN appartenant à un parfait inconnu. Soudain j’entendis la porte de l’immeuble claqué, et des pas montant les escaliers. Je m’empresse donc de remettre tout en place, et me redirige discrètement vers chez moi, j’arrive devant chez moi , les pas se rapproche je cherche dans mes poches mais ne trouve pas mes clés… putain j’ai claqué la porte et j’ai laissé les clefs à l’intérieur. Je me retrouve sur mon palier, à moitié nu avec une gaule d’enfer sous mon survet, quand arrive à ma hauteur un jeune rebeu de 25 ans, en survet TN, musclé comme j’aime et barbu. Il me regarde un temps avec un putain de sourire, tandis que moi je suis intimidé par ce charme et j’essaye désespérément de cacher ma queue qui n’est pas prête de dégonfler. Puis il brise enfin le silence : - Bah alors mon fréro, il t’es arrivé quoi ? Intimidé par sa voix viril et son allure je bégaye quelque mots en guise de réponse : - Hey, bah je… euh… je descendais mes poubelles et j’ai… euh… j’ai claqué ma porte avec les clés à l’intérieur… voilà ! - Ah ben mon poto, t’as de la chance que je sois passé par la sinon t’aurai passé ta nuit ici. Monte chez oim, on va trouvé un p’tit truc pour t’ouvrir ta porte. Sur ces mots il me balance un immense sourire et m’invite à monter avant lui. Je monte les marches en lui balbutiant un petit « merci » et je continue de monter les marches et sentir sa présence autoritaire derrière moi. L’odeur des ses TN sur le pallier envahit à nouveau mes narines. Il passe derrière moi pour aller ouvrir sa porte et m’invite à rentrer. Il se sort un soda du frigo, s’assoit sur son canap et commence à se rouler un joint. Il n’a toujours pas dit un mot et je suis prostré au milieu du salon. Puis il me siffle et me dis d’un ton autoritaire : - Allez au pieds ma p’tite chienne ! Excité par l’ordre qu’il vient de me donner je met à quatre pattes et me dirige hésitant vers ces pieds. Lorsque j’arrive à sa hauteur, il me chope par les cheveux et me dis droit dans les yeux : - Va falloir que tu y mettes un peu du tiens si tu veux qu’on trouve une solution. Ouvre ta bouche salope ! Il se racle la gorge et me crache un molard en plein dans la bouche : - Allez maintenant décrasse gentiment mes TN ! Et toujours en me tenant par les cheveux il me plaque le visage sur ces skets ! Je m’empresse de lécher comme plus tôt sur le pallier, comme si ma vie en dépendait. Cela dur bien 10 minutes. 10 minutes au bout desquelles il m’attrape à nouveau par les cheveux pour me relever, me cracher à la gueule, retirer furtivement ces TN et me les coller au visage. Entre temps il avait fini de rouler son pet’ qu’il fuma en me recrachant la fumée dans la gueule ! - Allez, c’est bien ma pétasse, maintenant régale toi avec mes ieps j’ai bien transpiré aujourd’hui et j’ai les cho7bien puantes ! Et il me rejette à ses pieds. Moi je m’actives sur ces chaussettes j’en aspire tout le jus et je sens même un goût de foutre s’en dégager, un pur régal ! Après un moment il se relève et commence à me donner de petit calques sur le cul. Je pousse de petits gémissement et tente de remonter le long de ces jambes pour sentir sa queue que je vois grossir sous son survet. Mais très vite il me prend les cheveux d’une main et m’envoi un molard en plein dans la gueule suivit d’une gifle monumental et de ces mot : - Tu l’as pas mérité salope ! Après quoi il me traine par les cheveux sur son balcon, il retire mon jogging et me fait mettre les mains derrière la tête et à genoux. Lui est face à moi et il me regarde droit dans les yeux. Puis il approche ces mains de son survet et se met à déballer sa queue au repos et me dit : - Allez! Régales toi bien ma chienne et t’en perd pas une goute ! Au même moment il se met à me pisser sur la gueule et comme par automatisme j’ouvre la bouche et avale des gorgée et des gorgées de pisse sous les insultes et les molards de mon puissant voisin rebeu. J’apprendrai plus tard qu’il s’appelle Nassim et à qu’il allait devenir mon maître au mois jusqu’à ce que l’un d’entre nous quitte l’immeuble. Ça ne fait que commencer ! À suivre…