Histoires de sexe

Son pseudo sur le site de rencontre est "Ahmed Actif", moi c'est "VideCouilles", on était faits pour se rencontrer. Je lui dis que ce soir je donne pas mon cul (je sors d'une semaine de déboîtage de mon trou, je veux me reposer les muqueuses) mais qu'en revanche je lui promets une super pipe (j'aime me faire limer la bouche comme si c'était une chatte). Il arrive très vite, il est minuit. Il était à côté : c'est un ouvrier en bâtiment, petit, musclé sec, moi je suis plus grand, mais avec un petit côté mou qui fait très femelle. Il m'avait dit de m'habiller en string, j'ai l'air d'une salope et il m'arrache tout de suite l'élastique qui revient mes cheveux longs: il malaxe mes seins, me frappe les fesses, me traite de salope et prend tout de suite l'ascendant sur moi. J'ai pas de pouvoir contre le mâle arabe: il me fait sentir ses chaussettes, me soumet à genoux, je renifle son slip, essaie de me rapprocher de sa queue, mais c'est lui qui en me tenant la tête dirige le mouvement; je voudrais gober sa queue circoncise épaisse et dure, plus longue que sur les photos, mais il ne se laisse pas faire, me fesse à deux mains et m'oblige à me tenir à quatre pattes. Je comprends vite qu'il va falloir revenir sur le scénario "ce soir je donne pas mon cul", il s'en fout complètement il veut me limer, il me limera. Il enfile une capote (plus personne ne fait ça, c'est un actif à l'ancienne), je me badigeonne le trou de gel, je sniffe un peu de vieux , je sens que ça va être hard. Et ça l'est : je suis jambes écartées au bord du lit, je veux l'aider à trouver le bon angle pour défoncer mon trou, il m'insulte, enlève mes mains, me dit "laisse-toi faire la petasse", me tire les cheveux et rentre d'un coup. Je veux me dégager, mais il me gifle et tient ma tête en arrière: je suis juste un trou ouvert pour lui, faut que j'assume, il me fait avancer à quatre pattes sur le lit, et entame le rodéo. Il prend du plaisir, je pense que je suis juste un substitut de jeune femme : ce qu'il aime, c'est mon côté féminin, l'absence de muscles, le cul bien rond, bien offert, les cheveux longs, les petits gémissements de chienne quand il enfonce sa bite encore et encore en moi. Il jouit. Il se retire, jette la capote dans les wc et s'en va. Il m'appelle "bébé", comme si j'étais sa petite chose. Après son départ je me caresse le cul et me branle. Le lendemain, je le recroise sur le réseau ; je lui dis "t'as été content de mon cul?". Il dit "oui, faut que je me revide dedans d'ailleurs". Alors il revient. J'ai changé de couleur de string. Il aurait aimé que j'aie un soutien-gorge, il me dit que j'ai une jolie poitrine. Cette fois il est plus direct, je suis tout de suite à genoux il me met son pied sur l'épaule, puis me dit de faire la chienne à quatre pattes. Sa queue bien droite fourraille bien dans ma bouche, et comme la veille il se cale direct dans ma chatte qui, contre toute attente, s'ouvre toute seule maintenant. faut croire qu'il ne me faut que de l'entraînement et de la programmation psychologique pour être juste une salope à rebeus. à chaque coup de sa grosse bite dans mon cul, une insulte, une baffe ou une fessée: je suis bien sa petite salope à jus. Je sens qu'il va souvent venir se vider les couilles en moi. J'espère bien qu'une fois il me donnera son jus à bouffer. Ou alors qu'il me prêtera à ses potes.