Plan cul avec Karim le pilonneur
Histoire gay publiée le 14/06/2024
Je vais parler à la 1ère personne et mettre les vrais ou faux noms, peu importe. Je m'appelle Olivier, j’ai 40 ans, et je suis très soumis. J’aime la domination et me donner à d’autres mecs, vous allez vite le comprendre. Je viens vous conter mes histoires car je suis très fan des vôtres depuis des années et je me suis dit que c’était à mon tour de mettre ma pierre à l'édifice. L’autre jour, je trainais sur un chat et un de mes réguliers, qui s’apelle Karim 50 ans 20x6, donc plutôt appétissant, me contacte un dimanche après midi et j’ai beaucoup aimé son approche, je cite : “Tu viens, je t’encule, et tu m’offres ton cul de petasse, et tu te casses”. Simple, net et précis comme on dit. J’ai répondu: “ok, je serai là pour 30-35” et là pour clôturer il me met : “Fais vite avant que je change d’avis.” Ensuite j’arrive chez lui et ….. Donc j’arrive chez lui, il est très cordial, ceci est un jeu entre adultes consentants. Par contre, je rentre moi dans le jeu très vite et me met à poil direct et d'habitude il me dit de me poser sur le lit et là il me dit de m’appuyer sur le comptoir de la cuisine, cul tendu, bien cambré, les jambes écartées, me met du gel, et me pénètre lentement avec sa grosse, grosse queue, je rappelle qu’elle fait 20 cm de longueur, 6 cm de largeur et dur comme du béton. A ce moment-là, je me mets à gémir en continu et essaye de pousser au maximum mon trou afin d’élargir le passage. Je sniffe du aussi. Puis commence les vas et vients et là c’est le comble du plaisir qui m'envahit. Je me mets à couiner en continu et à haleter telle une chienne. Puis il décide de changer et de tenter autre chose, il me demande de m’asseoir sur un siège de comptoir, le cul bien en arrière sur le siège et de rester comme ça. Je m'exécute. Je vous rappelle que j'adore obéir aux ordres et être une bonne cochonne. A ce moment précis il me pénètre d’un coup sec jusqu’au fond, je me suis aplati de suite sur le comptoir et je n’ai même pas poussé de cris tellement ma respiration s’est coupé de surprise et de plaisir, j’avais jamais été pénétré aussi profondément de cette manière et là il commença ses vas et vients. Je couinais, je couinais, sans m’arrêter et lui me disait des mots salaces qui m'excitaient encore plus. La situation ne lui convenait plus, il m’ordonna d’aller me mettre à 4 pattes sur le lit où il enfourna son organe d’une traite et me faisant hurler de bonheur tellement il secoua ma prostate et sentait en moi toute sa virilité d’homme. Mon rôle présumé était désormais complètement assumé, j’étais la chienne, il était le maître, et celà me convenait et j’en prenais énormément de plaisir. Il me fait mettre sur le côté et me pilonna de toutes ses forces, je haletais de manière de plus en plus saccadée et essoufflé tellement ses coups de butoir me faisaient quasi taper la tête contre le mur et lui m’insultant de chienne. Je ne pouvais qu’approuver tellement j’y prenais goût et avais envie de ne jamais arrêter ce moment magique. Il finit par me dire qu’il allait jouir, et à ce moment bien précis, il accéléra les coups de butoir et je me suis mis à hurler la satisfaction que j’éprouvais tant la tension sexuelle était à son comble. Pour finir, je lui ai demandé de vider la capote, pleine à ras bord, sur mes fesses. Comme convenu je me rhabilla avec mon short gris clair et partit de chez lui. Mon rôle était terminé et je partis en prenant ma voiture et s'arrêtant faire une course vite fait sur la route jusqu’à chez moi. Arrivé chez moi je me vis dans le miroir, j’avais le derrière trempé et il était difficile de ne pas comprendre ce que c’était tellement ça se voyait à travers le tissu que je m’étais fait souillé l’arrière train. Qu’ont pensaient les gens pendant les courses? Certains regards étaient bizarres.. Je compris mieux pourquoi et me sentais honteux et excité en même temps que peut être un daddy se dit dans son coin “mais quelle chienne celle là” et se branla discrètement sur moi une fois rentré chez lui. Voilà, cette histoire vraie avec Karim est arrivée à sa fin, j’en ai plein d’autres avec lui ainsi que d’autres que je me ferai un plaisir de vous conter une autre fois. Gros bisous à tous. Olivier