mes vacances en Algérie
Histoire gay publiée le 04/03/2024
C'était pendant mes vacances en Algérie. J'étais dans un petit village sur la côte. Le village n'était pas super touristique mais avait beaucoup de charme. Je logeais dans un petit appart. Tous les jours je prenais la rue principale pour aller à la plage. Il y avait des magasins et quelques vendeurs de rue avec leur étalage à bibelots. Il y en avait un surtout que je trouvais pas mal. Il me matait tous les jours quand je passais devant lui et je n'hésitais pas à rouler du boule pour lui faire bien de l'effet. Il m'interpellait tout le temps pour que je vienne le voir mais je le zappais. Une fois il cria en pleine rue que j'étais sensuel. Je trouvais ça flatteur évidemment mais il m'affichait quand même et ça me gênait. Surtout que lui aussi s'affichait du coup car tout le monde pouvait l'entendre et je ne savais pas qu'on était en sécurité de de draguer des mecs en pleine rue. Bref. Un jour je cédais à son petit jeu et m'approchais de son étalage pour voir ce qu'il proposait. Il se montrait poli finalement et moins dragueur. Il voulait surtout vendre donc il essayait de me refourguer des conneries. A chaque fois je le remballais et ça m'amusait. Mais au final on finit par discuter de choses et d'autres. Il me racontait un peu sa vie, on parlait du pays, des gens, de la mentalité. Il s'appelait Mounir. On papotait un moment comme ça. Je le trouvais beau, genre 1m85, torse musclé mais pas trop, épaules larges, des poils sur le torse qui dépassaient du col de son T-shirt, miam miam, belle bouille, des yeux de tombeur, bien noirs et sensuels. Il portait un short simple avec des tongs. Je voyais ses jambes et ses mollets bien musclés et poilus. Putain, il m'excitait. En plus, furtivement j'observais souvent son paquet et j'avais l'impression qu'il était bien fourni. Laisse tomber le kiffe ce mec. Après un temps il commençait à parler de sexe, pas de façon super ouverte mais genre bien me faire comprendre que sa bite était bien grosse et vigoureuse. Je ne réagissais pas vraiment, j'écoutais plutôt. Souvent on se vante mais au final la vérité est différente. A un moment donné sans prévenir il prit ma main et la posa sur son paquet. J'étais étonné et me voyais bien tâter son paquet sans vraiment contrôler ma réaction. Apparemment je n'étais pas encore super convaincu. Il me dit qu'il me ferait passer une bonne soirée avec ce qu'il avait dans le pantalon et que la plupart des meufs ne voulait pas l'affronter. Là par contre je me lançais "ah ouais, moi j'aimerais bien la voir ta fameuse bite". Son étalage se trouvait juste devant un genre d'abribus en pierre avec une ouverture et un compartiment sur le côté où ne pouvait rien voir depuis la rue. Il m'attira vers là-bas. On était là tous les 2 en mode excités et il baissa son short pour me montrer sa queue qui bandait déjà à moitié. Eh ben putain, il n'avait pas menti. Sa bite était bien grosse, pas super longue mais bien large. Putain je sentis un boule dans mon slip qui montait jusque dans mon torse pour redescendre vers ma bite. J'étais bien dur. Il s'approcha de moi et on s'embrassait. Ouah, le kiffe. Il me touchait la bite et moi aussi la sienne. Là je me mis à genoux et commençait à la prendre dans ma bouche. Je devais bien ouvrir la bouche pour accueillir sa bite bien large. Je le suçais comme un malade pendant qu'il me caressait la tête et le torse. Puis il se penchait pour mettre sa main dans mon slip. Il alla toucher mon cul et je sentais ses doigts me titiller la rondelle. Après notre petit jeu qui dura comme ça une dizaine de minutes, il me fit me relever et on s'embrassa à nouveau. Là il me chopa les miches en me serrant contre lui. C'était bon. Je sentais sa bite bien dure contre mon ventre. Puis il me fit signe de me tourner, ce que je fis. Puis il baissa mon short et se mit à me lécher le trou. Tout en crachant dans sa main il lubrifia sa queue et mon trou avec sa bouche. Puis il se leva et mit son gland contre ma rondelle. Il poussa un peu mais pas trop. Puis il me serra contre lui et ses 2 mains vinrent me malaxer les tétons pendant que je sentais son gland à l'entrée de mon trou. A un moment donné il commença à bien pousser et j'étais tellement excité que sa bite me pénétra bien comme il faut. Je criais un peu tellement je le sentais en moi. Et il commença des va-et-vient lents mais accéléra au fur et à mesure, je lui demandais de me défoncer. Ce qu'il fit. Bien comme il faut. J'étais au paradis. Je le sentais en moi et il me défonçait comme sa chienne, sa petasse. J'étais aux anges. C'était tellement bon de sentir sa queue bien large au fond de mon trou me malaxer la prostate. Je bandais comme un taureau et j'avais un filet de mouille qui pendait au bout de mon gland. Il me défonçait comme ça un moment et je sentais que j'allais jouir donc je lui dis. Il me dit que lui aussi donc il continua et je lui demandais de m'inonder la chatte. Je me sentais jouir sans me toucher car mes mains étaient posées sur la paroi pour amortir ses coups de bite. Ca y est je jouissais bien grave, tout mon sperme propulsé contre la paroi et je sentais sa bite se contracter en moi avec un râle qu'il essayait au mieux d'étouffer. Il avait joui en moi. Je tournais ma tête pendant qu'il était encore en moi et on s'embrassait. Puis on se rhabillait et s'échangeait nos numéros. Je l'ai invité dans mon appart les jours suivants et il m'a baise comme jamais.... Mais ça c'est une autre histoire.