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Transformé en sa petasse, définitivement
Histoire gay publiée le 29/01/2024
Hello moi c’est Charles-Henri, petit minet du 16e à Paris. Je voulais vous raconter la première fois où je suis réellement devenue une petasse à arabe. Je viens d’une grande famille riche et j’ai pas mal de trucs pour plaire: cheveux blonds longs, yeux bleus, corps imberbe, fesses bien rondes. Il y a quelques années, ma a créé un outrage dans la famille en divorçant et en épousant un gros algérien. Je me suis toujours demandé ce qu’elle lui trouvait: assez poilu, assez gras, 55 ans, petite barbe noire, cheveux courts et yeux noirs perçants. Je suis parti vivre avec mon vieux, en tant que famille ultra-catho c’était dur pour moi de soutenir un divorce pour un musulman. Mais pour des raisons pratiques (cours), j’ai du aller vivre chez ma durant 6 mois. Au début je me sentais pas à l’aise et j’étais ultra-méprisant. Il faisait semblant de pas le voir. Un lundi, ma est partie pour un business trip durant une semaine me laissant seul avec lui. Ce jour là je vais donc en cours comme d’hab et je rentre vers 18:30. C’était mai, il faisait chaud et j’étais en short, tee-shirt. Je rentre et je retrouve Hassan, mon « beau-vieux » et un de ses amis, lui aussi gros et arabe, entrain de avaler dans le salon. Ils étaient assez alcoolisés. Je les ignore et je vais dans ma chambre. Mais voilà qu’ils arrivent. « C’est vrai qu’il à l’air d’une salope » C’est l’ami qui parle. Je leur fais face mais Hassan me prend par le cou et me pousse contre le mur. « Avec Mourad on a bien envie de se vider, ça te dirais pas » Il sentait l’soda, j’essaye de me dégager: « Je suis pas pd, dégage ». « Oh il résiste ça sera encore mieux! J’ai toujours rêvé de niquer du bourge » Mourad avait l’air ravi. Ils se sont mis a deux sur moi et au bout d’une minute j’étais en chaussettes, nu comme un ver. Je voulais résister mais mon petit corps de 18 ans face à ces deux mecs… impossible. On m’enfonça mon propre boxer dans la bouche. Un me tenait pendant que l’autre se déshabillait et je me suis retrouvé face à deux darons rebeus de 55 ans, poilus, gras qui bandaient. Ils avaient des bites moyennes mais ce n’était pas mon délire à ce moment. Mourad me fit me mettre à genoux et il retira mon bâillon pour qu’Hassan puisse y glisser sa bite. Ça avait un gout horrible de sperme séché, de pisse et de sueur. J'ai du les sucer tous les deux, leurs bites coulissant dans ma bouche comme si elle leur appartenait. Poussant parfois et me faisant avoir un hoquet d’étouffement. Ils riaient « on va lui apprendre à être une petasse » « il est né pour ça » « pas un poil sur cette salope, je suis sur qu’il s’épile »… Je m’étais résigné, je ne cherchais pas à résister. Je commençais à suivre leurs instructions, comment sucer le gland, les couilles. Et soudain ils me balancèrent sur le lit. Me faisant prendre une position à quatre pattes. Je voulais résister mais en vain. Mourad se mit face à moi et m’enfonça à nouveau sa bite en bouche. Hassan tripotait déjà mon cul, le léchant et le doigtant. Puis il se plaça bien en position, une main sur ma hanche, l’autre guidant sa bite dans mon petit trou vierge. « Tu vas aimer petite petasse, je vais te baiser comme au bled! » Et il entra hard, arrachant un cri étouffé par la bite de Mourad. Il commença à me baiser sans vergogne. J’étais dégouté. Moi le gars de bonne famille, scout, religieux, 18 ans, je servais de vide couille à deux vieux gras et poilu dans mon propre lit. Je pleurais un peu puis une sensation bizarre, comme un plaisir. La bite d’Hassan ne faisait plus mal mais envoyait des décharge de plaisir. Je me mis à gémir. Hassan le vit et accéléra ses mouvements. Il semblait aimer ça. « Tiens la petasse aime ta bite! » Mourad avait remarqué aussi. Hassan accéléra encore et Mourad se retira pour que mes gémissements se fassent entendre. « Vas y baise la! » Hassan intensifia ses coups se reins et explosa dans mes boyaux, son sperme chaud coulant en moi. Il resta ainsi quelques secondes puis se retira. Mourad prit sa place et me baisa aussi comme une chienne. Une fois les deux ayant juté, ils se rhabillèrent et retournèrent au salon, me laissant là, épuisé, rempli de foutre. Je me rendais compte alors que j’avais moi aussi juter durant la sodomie de Mourad. J’étais plein de honte et de questions. Le soir même Hassan me transformait en sa petasse définitivement.