Niqué comme une petasse par un hétéro
Histoire gay publiée le 18/08/2022
Je suis allé dans un centre aquatique avec mon mec. Le genre de piscine avec des toboggans, mais aussi avec des bassins plus calmes et des Jacuzzis. Dans un jacuzzi à remous, on s’assoit et il y a un autre couple, hétéro, 20-25 ans, à côté de nous. Le mec est juste à mes côtés. Brun, musclé, sûr de lui. Quand je m’assieds, je frôle sa cuisse et je m’excuse, il me sourit. Mon mec et moi discutons ensemble, je suis face à lui et tourne légèrement le dos à l’hétéro. Soudain, je sens une main posée sur le banc derrière moi. Le mec est en mode jambes très écartées, mais je ne me retourne pas et ne dis rien. Je pense que je me fais des idées. Puis je sens des doigts qui se rapprochent de mes fesses et qui vont chercher sous mon maillot-slip. Je ne sais pas trop quoi faire, mon mec me parle, je me retourne discrè- tement, mais l’hétéro fait comme si de rien était. Cette fois, c’est sûr : son doigt est passé sous mon maillot et il cherche mon trou. Je suis mal à l’aise, mais excité aussi. Il me caresse et commence à essayer de me pénétrer. Je décide de me lever et d’aller aux toilettes pour me cal- mer et sortir de cette situation. Je m’enferme dans une cabine et attends que ma gaule retombe. Quand j’ouvre la porte, je me fais rudement pousser et retourner contre la paroi : « tu croyais aller où comme ça petite petasse ? » Murmure-t-il dans mon oreille. Il m’a suivi. Il met sa main sur ma bouche en baissant mon maillot et le sien. Je l’entends cracher dans sa main et la passer entre mes fesses. Recracher sur sa teub. Il me tient toujours en me faisant taire, il est plus fort que moi, je ne peux rien faire. Je bande comme un âne. Et puis, je sens son gland pousser contre mon trou. Et il me donne un grand coup de bite pour me défoncer d’un coup. Le salaud est bien monté, plus long et plus large que mon mec. Il me démonte toujours en me tenant la bouche, je peux à peine respirer. C’est un bourrin, j’ai pas l’habitude de me faire prendre comme ça. Ça semble durer une éternité, je perds un peu le fil. La paroi claque, j’entends ses couilles qui ont l’air lourdes et mes fesses claquent aussi. Je ne sais pas s’il y a quelqu’un d’autre dans les toilettes, mais le bruit ne laisse aucun doute sur ce qu’il se passe. D’un coup, je le sens accélérer, me pilonner comme un malade et puis se figer. Il est en train de jouir. Je jouis aussi, sans me toucher. Je l’entends remettre son maillot et partir, je referme la porte le temps de reprendre mes esprits, et je réalise qu’il n’a pas mis de capote, il m’a rempli le cul. Et j’ai kiffé.