A la fête foraine
Histoire gay publiée le 07/07/2022
J'ai toujours kiffé les plans exhib. Quand j'étais plus jeune, je passais mon temps sur des sites de cam aléatoires et je montrais ma rondelle à qui voulais. Je me doigtais et et je gémissais comme la petite petasse que j'étais. Il y a quelques mois, j'étais avec des potes à la fête foraine de la ville. Le genre d'endroit où on trouve de tout, et surtout des lascars en bande. J'avais une petite technique pour les attirer, j'avais personnalisé un t-shirt avec écrit "pipes gratuites" des deux cotés, avec une flèche vers le haut pour le devant et une flèche vers le bas pour l'arrière. Mes potes savaient très bien ce que je faisais et ils trouvaient ça amusant, j'en ai même déjà vu se branler ou se doigter un peu à l'écart alors que je suçais une bonne queue. Il était assez tard et les progénitures étaient partis, il ne restait plus que les jeunes ou les moins jeunes à la buvette ou sur les gros manèges, le moment parfait pour me transformer en bonne chienne. Je prend un shot et enlève ma veste on commence à se balader avec les potes sans forcément rechercher une ou plusieurs queues. Au bout d'une bonne heure, il devait être 2h30 du matin et l' se faisait sentir, mes potes et moi décidons de rentrer pour l'after quand on entends plusieurs voix au loin se foutre de ma gueule parce que je suis une petite tantouze. Je ne fais pas attention mais une phrase attire mon attention : "Viens derrière les caravanes on va s'occuper de ton cas, on va voir si tu es une bonne chienne !" avec des ricanements en fond. A ces mots, ma queue se mit à grossir et mouiller toute seule, sauf que l'instinct de survie prit le dessus et je décida de partir avec mes potes pour un after pas très loin d'ici. "On t'attendra salope !" Une petite voix dans ma tête m'a dit d'y aller, je ne sais pas pourquoi mais j'ai dis à mes potes que j'avais oublié quelque chose dans la voiture. J'errais entre les caravanes à la recherche du petit groupe quand je finis par tomber dessus. Ils étaient 4 et avaient entre 21 et 30 ans aux premiers abords, jogging, tn, et typés arabes, "mes préférés". "Qu'est ce que tu fais encore debout ? à genoux et détache tes cheveux !" J'enlevais mon chouchou pour libérer mes cheveux en me mettant à genoux. A peine le deuxième genoux à terre, je senti une main me chopper les cheveux et me faire renifler le paquet, je pense qu'il n'avait pas pris de douche depuis plusieurs jours.. J'adore les bonnes odeurs de mâles, je sentais mon cul s'ouvrir et sa queue gonfler. "Eh attends mec, on était pas censé lui casser la gueule à ce PD ?" Dis un des lascars. "Attendez les mecs, vous allez me dire que vous pouvez baiser de la gorge de votre copine ? Ce PD peut encaisser tout ce qu'on veut, vu son t-shirt, pas vrai petite petasse ?" dit il en me relevant la tête de puissance. "Des promesses, encore des promesses" je lui répondais avec un bon regard de vicieux et un sourire bien salope. Il me cracha dans la gueule et sorti sa queue, il l'a fourrait dans ma gueule et me baisa sans retenu. j'étais aux anges. A chaque fois que ces couilles tapaient sur mon menton, je salivais un peu plus. "Putain mec, moi j'ai pas signé pour ça je me casse !" "Ouais moi aussi". J'en avais rien à foutre, je voulais juste qu'il continue de baiser ma gorge. "Tu crois qu'il a la chatte propre ?" "Oh vu comment il salive sur ma queue ya moyen" Il me maintenait sa queue tout au fond de ma gorge quand je senti mon cul se faire soulever. Le changement de position manquait de me faire cracher. Il me baisse mon pantalon et je sentais une langue passer sur ma raie. "putain tu as raison, et en plus il a une vraie chatte, on pourrait être deux dedans !" Il cracha sur mon cul et l'enfonça au plus profond comme dans du beurre. Je me retrouvais là, comme la bonne lope que j'étais, à me faire tringler comme une grosse chienne derrière une caravane, je ne pouvais même pas hurler de plaisir, j'avais la bouche pleine. "putain je pensais pas que ce serait aussi jouissif de me taper un mec" "c'est pas un mec poto, c'est un trou, ou plutôt deux !" Après ces mots, je les sentais accélérer, je n'avais jamais été aussi bien baisé et je sentais que ma bite commençais à gonfler. A chaque coup de rein, que ce soit dans ma bouche ou mon cul, je sentais une pression dans ma bite. Quand d'un coup, le lascar que je suçais me maintient la bite au fond de la gorge. "Putain ouais, c'est tellement bon le gavage, vas y salope, avale !" il poussait des putains de cris de males, et quelques secondes après, je sentais une chaleur au fond de mon cul, l'autre mec venait de jouir à son tour. S'en était trop pour ma bite et je me mis à jouir, pour la première fois j'ai jouis sans même me toucher. Chose que mes lascars avaient remarqué. "Dis donc, tu es une bonne chienne toi, tu as jouis sans même te toucher. Par contre, je finis toujours mes putes à la pisse, c'est comme ça je marque mon territoire !" Et me voilà couché, épuisé, dans l'herbe, me roulant dans mon sperme et bientôt dans la pisse de mes lascars. Ils m'ont laissé là, pataugeant dans leurs pisse et mon sperme.