Le rebeu du métro - Partie 1
Histoire gay publiée le 07/03/2022
Histoire réelle qui date de quelques années. À l’époque je vivais et travaillais à Montreuil. J’avais 24 ans, blond, yeux bleu, 1m70, 65kg, quasiment imberbe, look baskets / jean / t-shirt. Un soir de septembre, après une journée bien crevante au boulot, je prends le métro pour une station entre Robespierre et Croix de Chavaux (oui, j’avais la flemme). A peine installé dans le métro, je croise le regard d’un jeune mec. Une vingtaine d’année, survêtement Lacoste, cheveux courts, regard sombre, peau mate, il me détaille des pieds à la tête et me lâche pas du regard. En bon provincial débarqué à Paris depuis peu, je soutien son regard et lui souris en lui disant « salut ». Il ne réponds pas, mais continue de me fixer en faisant un sourire en coin. Au bout d’une minute, le métro arrive à quai et je me dirige devant la porte pour descendre. Du coin de l’œil, je vois le bogosse bouger et se mettre derrière moi pour descendre. Je me dirige vers la sortie, monte les escaliers, et quitte la station pour me diriger dans l’appart qu’on me prêtait pour quelques semaines. Au bout de quelques instant je me retourne en ayant l’impression d’être suivi . Effectivement le mec du métro me suivait à quelques mètres sans faire aucun signe particulier. Arrivé devant le portail, alors que je m’apprête à rentrer, je me retourne à nouveau et vois le jeune rebeu arrêté sur le trottoir d’en face me regarder. Ayant compris l’intensité sexuelle de son regard, je fais un signe discret de la tête et laisse le portail pour qu’il me suive. Il me rattrape dés l’escalier devant la porte de l’appart. Il se colle derrière moi. Je sens sa queue contre mes fesses et il me dit : - « Ouvre ta porte. Tu vas pas regretter. » Je tourne la clef dans la serrure, il s’engouffre derrière moi, referme la porte, et je me retrouve directement collé contre le mur, son visage prêt du mien, son corps collé contre moi : - « Fallait pas me chauffer comme ça dans le métro, sale khaba. Maintenant va falloir assurer et assumer. Tu vis seul ici ? » - « Oui », je lui réponds. « Je suis logé seul ici pour quelques semaines. » - « Parfait. Alors maintenant je vais m’amuser. » D’une main il bloque mon visage, et de l’autre il vire mon sac à dos, le jette au milieu de la pièce, puis se mets à caresser mon torse sous mon t-shirt en descendant sa main jusqu’à mon jean. - « Mais c’est qu’elle a pas un poil et qu’elle a la peau douce ma p’tite salope. Alors tu vas te mettre à poil vite fait, et me montrer ce que tu sais faire. » D’un coup il déchire mon t-shirt, tiré sur mon jean et mon boxer qui se retrouvent à mes pieds, puis me jette au sol. Il se déplace autour de moi en me jaugeant et rajoute : - « Finis de te déshabiller, j’ai pas que ça à foutre. Tu vas vite apprendre à être dressée. » Je retire péniblement mes chaussures, mon jean et mon boxer puis le temps de me remettre à genoux pour me relever ma tête fait face à sa queue sortie de son survet alors que ses mains prennent possession de ma tête. - « Doucement Khaba. Ta place va être ici dorénavant. Au bout de ma queue. Ou de celle de mes potes. Donc tu vas apprendre à les vénérer comme il se doit. Ouvre ta bouche doucement. » Tout en me dictant ma conduite, ses mains m’ouvraient la bouche pour laisser passer sa queue qui grossissait de seconde en seconde. - « Vas-y maintenant, joue bien avec tes lèvres et ta langue. Fais bien ton taf de salope. Fais moi bien durcir. » Sa queue coulissait maintenant de plus en plus profondément et de la salive s’écoulait de mes lèvres pour couler sur le sol et sur ses skets. En voyant ça, son regard change et il retire sa queue brusquement en me disant : - « Tu crois normal que ce qui sort de ta bouche arrive sur mes rekins ? Tu vas me nettoyer ça et faire retourner toute cette bave de petasse dans ta bouche et en profiter pour bien nettoyer. » Il s’asseoit alors sur le canapé, tends ses skets vers moi, se penche en avant et d’un geste rude port mon visage sur ses rekins. Soumis naturellement à ce jeune mec, je me suis mis à lécher consciencieusement ses skets durant 10 bonnes minutes tandis que je le voyait écrire sur son téléphone. Il se redresse alors et lâche : - « Je vais devoir bouger bientôt donc on va accélérer. » Il me tire alors par les cheveux, me pose à genoux sur le canapé et remonte mon cul à hauteur de sa queue. Je l’entends cracher puis je sens ses doigts humides passer sur mon trou et tenter sans succès d’entrer. - « Pas le temps de te préparer, j’dois marquer le territoire avant de partir, mais t’inquiète, je repasse juste après pour t’en remettre une cartouche. » Et il plonge sa queue direct en moi en serrant bien ma taille pour que je ne lui échappe pas. Je me sens comme transpercé et j’ai l’impression de ne pas réussir à retrouver mon souffle. Mais lui n’en a rien à faire et se mets à me pilonner direct en rythme de croisière. Je m’accroche comme je peux au dossier du canapé alors que je sens mon cul être ravagé et que les coups de reins ne s’arrêtent pas. En moins de 5 minutes il se mets à tambouriner mon trou et à hurler : - « Oh putain ! Prends tout sale petasse. J’t’engrosse ! Haaaaaa ! » Je sens sa queue se contracter dans mon cul plusieurs fois, puis il se retire d’un coup, provoquant un gémissement de ma part. Je m’affale sur le canapé et je sens direct son fourré qui coule de mon trou sur mes cuisses et sur le tissu. Je le regarde se rhabiller rapidement puis il se tourne vers moi et me dit : - « File ton numéro de tel et le code de la porte en bas. Je reviens dans une 2 heures Max. » Heberlué je le regarde et je lui donne, sans savoir pourquoi. Il se penche alors vers moi, m’embrasse tendrement et me murmure à l’oreille : - « Merci bébé. Au fait, moi c’est Hicham. Je reviens vite. Surtout garde mon jus en toi. » Je le vois partir et fermer la porte, ses pas dans l’escalier, puis le silence. Je suis seul dans mon appart, le cul rempli de foutre, la queue raide, dans comprendre ce qui vient de se passer. Mais je sais que j’ai déjà hâte qu’il revienne. (Suite prochainement.)